Bijoux

Sertis dans des bagues, boucles d’oreilles, bracelets, colliers, pendentifs, broches ou épingles, l’éclat de ces gemmes se révèle dans les ventes aux enchères en ligne de bijoux et pierres précieuses.
Tiffany’s, Cartier, Boucheron, Dior, Chaumet, Van Cleef & Arpels, Harry Winston ! … ces marques de luxe font rêver et “Diamonds are a girl’s best Friend” (Les diamants sont les meilleurs amis d’une femme) comme chantait Marylin Monroe. Emeraudes, saphirs et rubis le sont aussi.
Si les diamants sont éternels, colliers de perles et sautoirs s’offrent aujourd’hui dans ces ventes Live et ventes online lors d’enchères luxe de Bijoux & Pierres précieuses, et tout particulièrement les perles fines de plus en plus rares, qu’il s’agisse de créations de joailliers ou de bijoux vintage.
Ces billes nacrées aux irisations crémeuses et rosées le disputent aux pierres fines : améthystes pourpres, aigues-marines bleu lagon, grenats couleur rouge sang, pierre de lune azurées et opales iridescentes. Mais sur Drouot.com les ventes aux enchères de joaillerie ne font pas seulement le bonheur des dames. Allure et parure se conjuguent aussi au masculin, notamment avec d’élégants boutons de manchette. Retrouvez sur Drouot.com les plus belles ventes aux enchères en ligne de bijoux à Paris, dans toute la France et à l’étranger (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, etc.)

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Lots recommandés

CZAPEK & Cie, Genève Demi-Chronomètre Milieu XIXe siècle Montre de présent en or émaillé à l'effigie du Prince Napoléon-Jérôme avec double quantième et chronographe dit diablotine Boîtier rond à charnière, dos émaillé sur un entourage de strass, au centre, un médaillon,émail en grisaille représentant le prince Jérôme Napoléon, la cuvette en or, signée « Czapek & Cie à Genève Place Vendôme 25 Paris ». Cadran émaillé blanc, chiffres romains, heures et minutes excentrées à 9h, compteur des heures à 12h, indication des jours de la semaine et de la date sur deux cadrans auxiliaires à 12h et 3h, une aiguille de chronographe au centre avec minuterie chemin de fer, les secondes auxiliaires à 6h avec cette fonction graduée de 1 à 5 dite « diablotine ». Mouvement mécanique avec remontage à clef, de type demi-chronomètre pour la précision de la marche, différentiel avec double train d'engrenage, deux barillets, balancier spiral compensé, échappement à ancre, une raquette de réglage avance / retard. Diam. : 58 mm Poids brut : 98,4 g. Écrin en maroquin rouge, monogrammé « N » et surmonté d'une couronne impériale, signé à l'intérieur « Czapek & Cie Genève Horlogers de L.L.A.A.L.L le prince Napoléon et la princesse Clotilde 25 Place Vendôme Paris ». Provenance : Transmise par succession depuis le XIXe siècle. UNE MONTRE IMPÉRIALE Le prince Napoléon-Jérôme est né le 9 septembre 1822 à Trieste et meurt le 17 mars 1891 à Rome. Fils de Jérôme Bonaparte et cousin germain de l'empereur Napoléon III, il est une personnalité politique et militaire du Second Empire. Il est alors connu sous le nom de « prince Napoléon » et est familièrement surnommé « Plon-Plon ». Au dos de notre montre, une miniature émaillée en grisaille de fabrication genevoise représente le prince Napoléon. L'écrin mentionnant la princesse Clothilde, dont le mariage avec le prince remonte à 1859, nous pouvons en déduire une datation entre 1859 et la fin du second Empire en 1870. LA DIABLOTINE : UNE COMPLICATION RARE Notre montre est sans doute l'une des plus belles découvertes de ces dernières années dans le domaine des montres à complication de la maison Czapek, compte tenu de l'ajout et de la complexité de la Diablotine dans son mécanisme de chronographe. La diablotine que l'on appelle également la seconde foudroyante indique en effet une graduation au 1/5 de seconde. On note également la présence d'un double quantième, pour la date et les jours de la semaine. A ce jour, une seule montre similaire est connue dans les annales des enchères. Antiquorum, 1991, Hong Kong, lot 285. Outre la diablotine, notre montre possède un autre élément rare pour une pièce de cette époque. Il s'agit d'une miniature émaillée en grisaille. La collection du Patek Philippe Museum, conserve des montres émaillées similaires de la même époque. La dernière à être passée en vente provenait en ligne directe de la famille du prince Napoléon : Napoléon, Plon-Plon (1822-1891) ; prince Victor Napoléon (1862-1926) ; prince Louis Napoléon (1914-1997). Sotheby's, Londres, 4 juillet 2018, lot 69. CZAPEK & PATEK Czapek est certainement l'un des horlogers le plus doués de sa génération. Il fût entre autres le premier associé de Antoine Norbert de Patek. Ces deux émigrés polonais, réfugiés à Genève depuis 1836, fondent en 1839 une manufacture qui prend le nom de « Patek Czapek & Cie. » Au terme de six années de travail en commun, pendant lesquelles ils créeront des garde-temps d'exception, cette entreprise deviendra la fameuse maison « Patek Philippe ». PLACE VENDÔME La ville de Paris joue un rôle important dans le domaine de l'horlogerie. C'est ici qu'en 1844, Patek va rencontrer Philippe. En effet, le brillant horloger Adrien Philippe présente lors de l'exposition nationale du Champ-de-Mars son innovation et brevet sur la couronne de remontoir. Cette création décidera du destin de la maison « Patek Philippe » C'est également à cette époque que la maison Czapek s'établit à Paris au N°25 de la Place Vendôme. L'ÉMAIL PHOTOGRAPHIQUE : UN PROCÉDÉ NOVATEUR Outre les complications rares, les horlogers du XIXe siècle cherchent à intégrer à ces objets de luxe de poche les inventions les plus novatrices des arts industriels, et notamment de la photographie, alors en plein essor. Le célèbre photographe Disdéri, relate dans « L'art de la photographie ,1862 », un procédé mis au point par Lafon de Camarsac vers 1855 : « la vitrification de l'image photographique », notamment sur émail. Le principe est celui de l'inclusion de matières colorantes inaltérables dans une couche photogénique adhésive. Ce procédé permet ainsi de transformer des « dessins héliographiques en peintures indélébiles ». Les bijoutiers et horlogers intègrent rapidement ces photographies inaltérables à leurs créations de montres pendentifs et bracelets, en

Estim. 20 000 - 40 000 EUR

Une statue d'Aphrodite néoclassique modelée sur l'Aphrodite de type "Fréjus", circa 1800 - early 19th century Torse en marbre plus petit que la taille réelle d'une Aphrodite du type Fréjus. Ce modèle de grande classe (vers 420 B.C.) est considéré comme une création de Callimaque. Il existe de nombreuses copies de ce type d'époque romaine, de différents degrés de finesse (y compris des objets de Pergame et de Délos, ainsi que des exemples au musée de Naples et au musée du Louvre). La jambe gauche de soutien et la jambe droite libre, qui est placée sur le côté, sont caractéristiques. La figure est vêtue d'un chiton nu qui s'est détaché de l'épaule gauche, exposant le sein gauche. La tête était auparavant tournée vers le côté de la jambe de soutien. La main droite levée tire le manteau qui est drapé sur le dos au-dessus de l'épaule droite, qui tombe sur le côté au-dessus du bras gauche plié. Le bras gauche est en avant. Les pieds sont cassés juste au-dessus des tabourets. La main gauche avec l'avant-bras et le bras droit sont manquants, ainsi que la tête. Probablement créé délibérément comme un torse. Surface soigneusement nettoyée. Récemment monté sur une base en pierre noire avec une broche en acier lourd, qui ne correspond pas parfaitement à l'axe de la statue et qui penche légèrement vers la droite. Exemplaire de très haute qualité d'une œuvre d'art de grande classe, qui a inspiré de nombreux travaux de sculpture ancienne et d'arts mineurs. Hauteur env. 90 cm (avec base 108 cm), largeur env. 44 cm, profondeur env. 30 cm. Provenance : De la collection du Dr. H. Lanz, Munich. Acquis dans les années 1980 auprès d'une collection privée française à Antibes. Condition : II -

Aucune estimation

Une statue néoclassique en marbre basée sur le paradigme high-classical de l'Aphrodite des Jardins, circa 1800 - early 19th century Statue néoclassique en marbre d'Aphrodite, légèrement moins grande que la vie, basée sur une sculpture classique de haut niveau d'Alcamène dans le Sanctuaire d'Aphrodite dans les Jardins. La sculpture d'Alcamène de la fin du Ve siècle avant J.-C. a été réalisée pour le sanctuaire d'Aphrodite sur le fleuve Ilissos dans la plaine d'Athènes et n'est connue que par des sources écrites. Un fragment de corps supérieur provenant du sanctuaire d'Aphrodite de Daphni, au nord d'Athènes, est considéré comme une variation précoce du type qui a servi de modèle pour de nombreuses variantes d'une "Aphrodite penchée". Des copies d'époque romaine (dont celles du musée d'Héraklion et une particulièrement bonne parallèle à l'exemple actuel du Louvre) donnent une idée plus précise du type. Les caractéristiques sont la tête découverte, le support relativement haut (pilier ou arbre) sous le bras supérieur gauche légèrement lacéré et l'épaule gauche exposée. Le bras droit est plié. La jambe, poussée vers l'avant à un angle, croise la jambe de soutien droite. La figure est habillée d'une chimère artistiquement pliée et attachée à la partie supérieure du corps. La posture et les plis de cette statue sont très proches d'une copie romaine du deuxième quart du Ier siècle A.D. de la statue de grande classe conservée au Louvre. Les pieds sont cassés juste au-dessus des tabourets. La main gauche avec l'avant-bras frontal et l'avant-bras droit sont manquants, ainsi que la tête. Diverses chips modérées. Probablement créé délibérément comme un torse. Surface soigneusement nettoyée. Récemment monté sur une base en pierre noire avec une broche en acier solide. Exemplaire de très grande qualité d'une œuvre d'art importante et de grande classe, qui a inspiré de nombreux travaux de sculpture ancienne et d'arts mineurs. Hauteur env. 108 cm (avec base 135 cm), largeur env. 54 cm, profondeur env. 30 cm. Provenance : De la collection du Dr. H. Lanz, Munich. Acquis dans les années 1980 auprès d'une collection privée française à Antibes. Condition : II -

Aucune estimation