Armes, militaria, souvenirs historiques

Ordre du Dragon d'Annam, insigne d'officier en vermeil ciselé en pointes de diamant ajourées, centre en or et émail, dragon émaillé (infimes éclats), poinçon de Lemaître sous la couronne, ruban à rosette vert bordé de jaune. 84 x 50 mm. TTB

Croix de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur, 1er type, à grosse tête, en argent, émaillée, centres en or émaillés en deux pièces ; poinçon au faisceau de licteur ; ruban cousu à bouffette ; diamètre 36 mm, poids brut 12,5 g. Époque Premier-Empire. Très bon état.

Croix de chevalier de l'ordre royal des Deux-Siciles, en or, à cinq branches émaillées rouge, surmontée d'une aigle à couronne mobile, centres en or émaillés bleu en trois pièces, marqués, à l'avers : “JOS. NAPOLEO. SICILIARUM. REX. INSTITUTI”, au centre la Crinacrie et, au revers : “PRO RENOVATA PATRIA”, au centre le cheval cabré, anneau lisse poinçonné deux fois à la tête de coq et repoinçonné deux fois à la tête d'aigle ; ruban bleu ; largeur 40 mm, hauteur 61 mm, poids brut 27,5 g. (Quelques petits manques d'émail bleu sur les centres). Époque Premier-Empire. Très bon état.

Ordre du Grand Baillage de Saint Jean de Jérusalem (ordre protestant) Grande croix de chevalier de l'ordre de Malte en or, émaillée, fabrication probablement allemande, couronne fixe surmontée d'un soleil, anneau perpendiculaire cannelé pour cravate, aigles prussiennes entre les branches ; largeur 45,5 mm, hauteur 72 mm, poids brut 23,5 g. (Sans cravate). Époque début XIXe. Très bon état.

Vilmos ZSOLNAY (1840-1900) - Rare verseuse à corps de forme zoomorphe à anse végétale en porcelaine-faience émaillée à glaçure à l'éosine dans les tons irisés bleus et verts à nuances cuivrées Signée du cachet aux cinq églises Zsolnay Pecs Vers 1899 H : 26,5 cm (Infime éclat au bec) Bibliographie : - Gilda Cefariello Grosso, «In Liberty ungherese nelle ceramiche della manifattura Zsolnay», Palombi Editori, Roma 2001, modèle similaire reproduit page 51 - Keramika Zsolnay», mGC Gradec, modèle similaire reproduit page 83 - modèle similaire reproduit page 71 VILMOS ZSOLNAY Vilmos Zsolnay, né le 19 avril 1828 et décédé le 23 mars 1900 à Pécs, est un industriel de la porcelaine hongrois, à la tête de la manufacture de porcelaine Zsolnay de 1853 à 1900. Maîtrisant l'art de la céramique à la perfection, Vilmos Zsolnay expérimenta avec succès différentes techniques d'émaillage et de glaçure. Ses travaux furent plébiscités en 1874, à Vienne, lors de l'Exposition Universelle et en 1878, pendant l'Exposition Universelle de Paris. La «technique Zsolnay» obtint la médaille d'or et Vilmos reçut la Légion d'Honneur pour avoir inventé l'éosine. L'éosine est un vernis de très grande qualité qui donne à la faïence une apparence métallique irisée. Ce lustre coloré fit la fortune de Zsolnay qui remporta de nombreux prix au fil des années ainsi qu'en 1900, à Paris, pendant l'Exposition Universelle.

Croix de chevalier de l'ordre de la Réunion, en or, émaillée, poinçonnée à la tête de coq, à douze branches émaillées blanc, intercalées de flèches, centres en or en deux pièces, pourtour émaillé bleu ; à l'avers, le trône impérial et la devise : “TOUT POUR L'EMPIRE” et, revers au : “N” entouré d'une couronne de lauriers sur fond rayonnant et la devise : “À JAMAIS” ; couronne ciselée d'aigles, émaillée bleu sur la bordure, marquée, d'un côté : “NAPOLÉON” et, sur l'autre : “FONDATEUR” ; ruban bleu clair à bouffette ; diamètre 36,5 mm, poids brut 21,7 g. (Quelques infimes manques d'émail à quelques pointes dont une légèrement tordue ; infime manque à l'émail bleu du revers). Époque Premier-Empire. Très bon état.

Croix de chevalier de l'ordre de la Réunion, en or, émaillée, poinçonnée à la tête de coq, à douze branches émaillées blanc, intercalées de flèches, centres en or en deux pièces, pourtour émaillé bleu ; à l'avers, le trône impérial et la devise : “TOUT POUR L'EMPIRE” et, revers au : “N” entouré d'une couronne de lauriers sur fond rayonnant et la devise : “À JAMAIS” ; couronne ciselée d'aigles, émaillée bleu sur la bordure, marquée, d'un côté : “NAPOLÉON” et, sur l'autre : “FONDATEUR” ; ruban bleu clair ; diamètre 35,5 mm, poids brut 20 g. (Quelques petits accidents à l'émail blanc ; infime éclat à l'émail bleu du revers). Époque Premier-Empire. Très bon état.

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis en or, émaillée, anneau cannelé ; grand ruban avec système de fixation en argent ; largeur 29,5 mm, poids brut 17 g. Époque Louis XVI. Très bon état

Belle croix de chevalier de l'ordre de Malte demi-taille, en or, émaillée, surmontée d'une couronne fixe, bélière mobile en forme de ruban lié, branches épaisses ; largeur 20 mm, hauteur 44 mm sans la bélière et 54 avec, poids brut 13,3 g. (Sans ruban). Probablement Époque XVIIIe. Très bon état.

Faustin BESSON (Dole, 1821-Paris, 1882) - Marie Antoinette au Petit Trianon. Huile sur panneau. Porte une trace de signature en bas à droite en rouge. H. 58 x L. 38,5 cm. Dans un cadre en bois et stuc doré de style rocaille (petits manques). Oeuvres en rapport - Cette composition a été gravée par Eugène-Pontus Jazet (1815-1856) (voir ill. 1) - Une version plus grande de notre composition (H. 91 x L. 68 cm), anonyme, avec des traces de signature en bas à droite, vendue chez Joron-Derem, 28 avril 2023, lot 120 (adjugé 2.730€). - Le Musée des Beaux de Dole conserve une autre version à l’huile sur toile et une esquisse à l’huile sur panneau. Lot présenté avec M. Jean RIDEAU, expert.

Rare croix d'officier de l'ordre de la Légion d'honneur, 2e type, demi-taille, en or, émaillée, centres en or changés sous la Première-Restauration ; petit ruban à bouffette ; diamètre 24 mm, poids brut 6,2 g. Époque début Premier-Empire, modifiée Première-Restauration. Très bon état

Important sabre d’officier supérieur à l’orientale par Boutet à Versailles Poignée en ébène finement quadrillé. Monture en laiton ciselé et doré « à la Marengo ». Calotte en cachet à garde à double chaînette guillochée (cassure et manque à une découpe de la jupe), deux oreillons losangiques et deux quillons en « S » finissant en glands. Lame de prise, arabe, à forte courbure, en damas, avec restes de gravure au talon, montée sur onglets. Fourreau en chagrin noir à couture métallique argent, à trois garnitures en laiton doré : - Chape en un bracelet à décor de vannerie et bracelet simulé à décor d’oves, Signé « Mfture à Versaille ENtse Boutet ». Lamelle d’entrée de lame, en acier bleui. Pitons à pans. - Un bracelet à décor d’oves. - Une bouterole unie à dard en fer. Le piton est allongé au vu de la forte courbure de lame afin de pouvoir écarter suffisamment la lamelle d’acier bleui. Epoque Consulat. A.B.E. (petits coups, éclats en haut de la poignée) Ce modèle de sabre est référencé dans « Des sabres et des épées » de Michel Pétard, Tome Ier, figure 158, comme un modèle d’officier supérieur fait au retour d’Egypte.

Plaque de grand officier de l'ordre de la Légion d'honneur, en argent à pointes de diamant, entièrement repercée, épingle basculante au dos ; poinçon à la tête de lièvre ; diamètre 72,5 mm, poids brut 40,5 g. Époque Restauration. Très bon état.

Croix d'officier de la Maison impériale d'éducation de la Légion d'honneur, en or, émaillée, surmontée de la couronne impériale, centre en or émaillé, marqué sur le pourtour de l'avers : “MAISON DE ST-DENIS” (pour les jeunes filles), au revers : “HONNEUR ET PATRIE” et “LÉGION D'HONNEUR” ; poinçon au hibou sur la bélière ; ruban à rosette ; largeur 35 mm, poids brut 18,7 g. Époque Second-Empire. Très bon état

ARTHUS BERTRAND Années 1960-70 Original bracelet en argent (800‰) et or 18k (750‰) représentant les insignes et médailles de la Dynastie Pahlavi (la dernière dynastie iranienne ayant régné de 1925 à 1979) rehaussés d'émail polychrome et des motifs ronds en céramique peinte Longueur : 17,5 cm Poids brut : 25 g

Sabre arabe de type « Cimeterre » Monture en laiton doré. Poignée à pans et garde à deux quillons finissant en sphères à côtes de melon. Lame courbe oxydée à contre-tranchant. Fourreau de velours marron à trois garnitures en laiton doré et découpé. XIXe siècle. A.B.E.

Bài de mandarin compilateur de 2e rang, BIÊN TU, mandarin du 7e degré, 1re classe. Plaquette en ivoire découpé liseré, caractères gravés signifiant «mettre de l'ordre / réviser». Cordon de suspension rouge et nœud de passementerie en soie dorée, rouge et verte. Ocre partiellement effacé. 85 x 60 x 35 mm, poids brut: 29,86 g

Cadeau de Roland Bonaparte au capitaine Galli Revolver d’officier Chamelot Delvigne type 1874 Six coups, calibre 11-73mm. Canon rond, à pans au tonnerre gravé « H FAURE LEPAGE A PARIS », poinçonné « CHAMELOT DELVIGNE ». Barillet cannelé. Plaquettes de crosse en ébène. Dans son écrin plaqué de noyer verni, décoré de filets en laiton, orné d’un écusson « A Mr Le capitaine Galli Souvenir affectueux Roland Bonaparte » gainé de velours mauve, marqué dans le couvercle « H. FAURE LEPAGE PARIS ». Avec sa clef. Vers 1885. B.E. Belles rayures. Finition bronzée (quelques usures). On retrouve plusieurs officiers portant ce nom répandu en Corse. Toutefois, il pourrait s’agir de Dominique Jean GALLI (1841-1906), capitaine au 113e régiment d’infanterie, chevalier de la Légion d’honneur (1886), capitaine à partir de 1881.

Beau pistolet à silex des Balkans Canon rond, à pans au tonnerre, signé. Platine avec traces de signature et chien à corps plat. Bassinet pare-étincelles et ressort à roulette. Monture entièrement recouverte de métal doré, argenté et niellé, à décor de trophées et feuillages. Début du XIXe siècle. Long. 54 cm. A.B.E.

Bel insigne des Deux Épées dit “médaillon de vétérance”, modèle d'officier à bélière, en laiton estampé, ajouré et doré, de très belle qualité, au centre les deux épées croisées réunies par un long ruban, fond de velours décoloré, hauteur 41 mm, largeur 28 mm. Époque fin XVIIIe. Très bon état

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis, réduction en or, émaillée, avec ruban à bouffette ; largeur 18 mm, poids brut 4,8 g. Époque fin Louis XV, Louis XVI. Très bon état

Croix de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur, 2e type, couronne mobile, en argent, émaillée, centres en or émaillés en deux pièces ; poinçon au faisceau de licteur ; avec son ruban ; diamètre 37,5 mm, poids brut 16 g. (Petits manques aux émaux ; petit enfoncement sur la tête de l'Empereur). Époque Premier-Empire. Bon état

Ensemble de grand officier ou de grand-croix de l'ordre de la Légion d'honneur : - Croix de commandeur en or, émaillée, centres en or en deux pièces, poinçon à la tête d'aigle ; présentée avec un fragment de cravate ; diamètre 59 mm, poids brut 39,8 g. - Plaque de grand-croix en argent à pointes de diamant, poinçons à la tête de sanglier et d'orfèvre ; épingle basculante à l'arrière avec deux crochets ; diamètre 94 mm, poids 98,6 g. L'ensemble présenté dans un coffret de grand-croix de la maison : “Arthus Bertrand Béranger & Magdelaine 46, rue de Rennes Paris”. Époque Troisième-République. Très bon état

Intéressant mousqueton à silex d'officier de la garde royale ou de la garde nationale, canon à pans au tonnerre puis rond, poinçonné sur les trois pans : “B R” surmontés d'une couronne royale, entre deux branches de lauriers, dans un ovale et : “R” ; il est gravé, sur le dessus, en lettres gothiques fantaisies : “A. LE PAGE” ; longueur 74 cm, calibre 17,5 mm ; queue de culasse matriculée : “22” ; platine modèle an IX, polie glace (peut-être bleuie à l'origine, il reste des traces sur le chien) ; garnitures en bronze, sous-garde et pontet du type de celui des gardes du corps du Roi, terminé par une fleur de lys, talon de crosse en fer monogrammé sur le retour : “A B” ou “A P” ; crosse en noyer veiné, poinçonnée : “J N” et matriculée : “J 22” ; baguette en fer ; longueur totale 114 cm. Époque Restauration. Très bon état.

Important sabre à l’orientale d’officier supérieur d’état-major Poignée à plaquettes d’ébène (fêle), deux boutons de rivure et œillet de dragonne. Garde à longue chaînette double, deux quillons droits finissant en olive, oreillons ornés au centre d’une toile d’araignée en cercle. Lame à forte courbure en damas, à dos. Fourreau en bois recouvert de chagrin à couture métallique, à chape et bouterole en laiton ciselé et gravé, entièrement amati à l’avers et décoré de rinceaux feuillagés. Deux bracelets à fond amati à décor de mufle léonin à l’avers et feuillages quadrilobés au revers. Premier tiers du XIXe siècle. A.B.E. (lamelle en acier bleui pour le passage de la lame à refixer)

Poignard caucasien « Kindjal » Poignée à deux rivures et fourreau en cuir brun à décor gaufré, entièrement recouvert de fer damasquiné d’argent à décor de rinceaux feuillagés. Lame à gouttière. Long. 50 cm. B.E.

LOUIS XVIII (1755-1824) - Lettres patentes d’anoblissement par le roi Louis XVIII du Capitaine de Vaisseau Jacques Epron-Desjardins (1766-1837), datées du 16 décembre 1815 et accompagnées de l’empreinte du sceau royal en cire verte figurant d’un côté Louis XVIII en tenue de sacre et assis sur le trône, de l’autre ses armes couronnées et surplombant l’ordre du Saint-Esprit, dans sa boîte en étain. La déclaration du Roi stipule que l’officier de Marine pourra “prendre la qualité d’écuyer pour lui et toute sa descendance”, ses armoiries sont décrites comme “d’azur à un mât alésé d’argent, la voile du même chargée de la lettre M de sable et accosté de deux étoiles d’or : l’écu timbré d’un casque taré de profil orné de ses lambrequins”, et sont peintes polychromes en haut à gauche. La déclaration est adressée à la cour royale de Rennes pour faire valoir ce que de droit, et porte les signatures autographes de Louis XVIII “Louis” et deux fois celle du Garde des sceaux de France, François Barbé-Marbois (1745-1837). Feuille en vélin in-plano. Diamètre du sceau : 12,5 cm. Historique Jacques Epron-Desjardins commandait L'Argonaute, navire de ligne de soixante-quatorze canons, lors de la défaite de Trafalgar en 1798, ce qui lui valut le déshonneur aux yeux de Bonaparte. Ayant atteint le grade de Capitaine de vaisseau et ayant été nommé chevalier de la Légion d'Honneur en 1804, il fut encore promu officier et reçut l'ordre de Saint-Louis en 1814. Dès le début de la Restauration, il fut anobli par Louis XVIII, ce 16 décembre 1815. Il finit sa carrière dans la Marine en tant que Contre-amiral, pour enfin servir comme maire de Saint-Servan de 1830 à 1835.

Russie - Ordre royal de Saint-Stanislas (fondé en 1765) Bijou de 3e classe (chevalier) en or et émail, poinçons de titre à la Kokochnik et de la maison Eduard. (déformations aux pommettes) Dans l'écrin d'origine en maroquin rouge aux armes impériales et au nom et à la classe de l'ordre, avec deux coupes de ruban. Début du XXe siècle. Diam. 4,1 cm. Poids brut 10,4 g. TB à TTB.

Forte épée « Wallonne » Fusée filigranée de fer. Monture en fer, pommeau en oignon, garde à deux branches principales, poucier, coquille bivalve ajourée d’étoiles et de cercles. Quillon recourbé, poinçonné. Forte lame marquée « 1.4.1.4 » et au loup de Passau. Fin du XVIIe siècle. A.B.E. SF.

Dague de chasse de récompense, garde en laiton argenté, quillons en “S” ciselés d'un pied de chevreuil, clavier ciselé de deux corps de chasse et d'une tête de cerf, calotte en forme de tête de félin avec un retour orné d'un médaillon entouré de perles, fusée de corne ; lame de type yatagan à une forte gorge gravée à l'eau-forte de trophées et de rinceaux ; fourreau recouvert de chagrin à deux garnitures en laiton argenté, arrière de la chape gravé : “Gd Collège Stanislas - 1ère Section - 2ème Prix d'Armes - Mr Jouart - 1869 - Profr Mr Bertrand”, bouterole entièrement repoussée, sur les deux faces, de feuillages et de rinceaux, dard en forme de bouton cannelé ; longueur 67 cm. (Léger accident au cuir, à l'extrémité). Époque Second-Empire. Très bon état, à nettoyer

Médaille commémorative de la Fédération 1790, ronde, en bronze doré, à bélière, sur l'avers le serment sur l'autel de la patrie, marquée en-dessous : “À PARIS LE 14 JUILLET 1790”, au revers, dans une couronne de chêne : “CONFÉDÉRATION DES FRANÇAIS” ; beau et large ruban tricolore formant un noeud sur le dessus, brodé en fils de soie des trois ordres avec un bonnet phrygien rouge et les armes de France, en-dessous, une couronne de feuillages marquée au centre : “LA LOI - LA NATION - LE ROI”, puis : “1790” en fils d'or ; diamètre 41 mm, largeur du ruban 68 mm, hauteur 15 cm. Époque révolutionnaire. Très bon état.

Autriche-Hongrie - Ordre de François Joseph Croix de Commandeur en or et émail (éclats). Centre ouvrant. Anneau poinçonné GR (Resch). 32x65 mm. Poids net 24 g. T.B. (manque la croix de couronne) Joint : une croix de commandeur de la Couronne d’Italie, en or et émail. Sans suspente ni ruban.

Paire de pistolets d'officier de marine, à silex à platines inversées, transformés à percussion, de type 1779, dits “à tête de chien de mer”, l'un des canons est signé : “MANIE À TULLE - TORDU”, calibre 14 mm ; platines gauche et droite à corps ronds ; garnitures en laiton, crochets de ceinture en fer ; crosses en noyer à fût court, sculptées d'une tête de chien de mer, les yeux en argent ; baguettes en bois fruitier à embout de corne blonde ; longueur 25,5 cm. Époque fin XVIIIe. Très bon état.

Pistolet à silex d'officier de marine de type 1779, dit “à tête de chien de mer”, canon octogonal puis rond, signé sur le pan supérieur : “DESAGA”, calibre 13 mm ; platine à corps rond signée : “À TULLE”, chien à espalet, bassinet en fer ; garnitures en fer ; crosse en noyer à fût court, sculptée d'une tête de chien de mer ; baguette en fer ; longueur 24,5 cm. (Manque le centre en fer d'un oeil). Époque fin XVIIIe. Bon état DESAGA Henri Simon, 1779, arquebusier à Tulle.

Carabine WINCHESTER modèle 94 AE n° 6411279 modèle 94 AE, en calibre 30 x 30 WIN, à répétition manuelle, système d'alimentation magasin, long totale 107cm. Canon rayé. Beau bronzage POUR POUVOIR ENCHÉRIR SUR LES ARMES DE CATÉGORIE C MERCI DE NOUS FOURNIR LES DOCUMENTS SUIVANT : - PERMIS DE CHASSE et VALIDATION / LICENCE DE TIR - JUSTIFICATIF D'IDENTITE, Recto/Verso - N° SIA

École française de la seconde moitié du XVIIe siècle, d'après Simon Vouet (Paris 1590-1649). - La Vierge à l'Enfant demandant le sein. Huile sur panneau. Petit soulèvement horizontal au milieu à droite. H. 21 x L. 15 cm. Dans un cadre rapporté en bois doré. Historique Cette vierge délicate fut très certainement réalisée d'après la gravure de Jean Boulanger (Amiens, 1608-1660), éditée en 1661, avec pour modèle un dessin de François Tortebat (Paris, 1616-1690), lequel fut réalisé d'après l'oeuvre peinte de Simon Vouet. L'œuvre peinte était considérée comme perdue jusqu'à sa réapparition en ventes aux enchères, à Stockholm, en 2008 (Bukowski's, 28/05/2008, 89 x 73,5 cm, vendue 3.650.000 couronnes, soit environ 390.000€). Elle est dans le même sens que la gravure et donc que notre tableau. Notre version diffère par l'ajout, en partie supérieure, de ce drap vert formant un dai. La gravure était accompagnée de ce poème : "jure ocule dextraque manu pressa ubera signat / queis lactens veré lac deus est homini" ("En voyant cette main droite se presser contre le sein / et y demander le lait, on voit bien que Dieu s'était fait homme"). Lot présenté par M. Pierre-Antoine MARTENET, expert en Dessins et Tableaux anciens.

Rare croix de chevalier de l'ordre royal des Deux-Siciles de l'époque de Ferdinand IV de Bourbon, demi-taille en or, branches émaillées rouge, surmontées d'une fleur de Lys et d'une couronne royale articulée, centres en trois pièces en or, émaillés, à l'avers une fleur de Lys et autour l'inscription : “FELICITAT. REST. X. K. J. MDIIICXV”, au revers le cheval courant, au-dessus de la Crinacrie et, autour la devise : “FERDI. BORBO. UTRIUS. SICIL. R. P. F. A.” ; ruban bleu ; largeur 26 mm, hauteur 39 mm, poids brut 5,6 g. Époque, Sicile, 1815. Très bon état.

Plateau de ceinturon d'officier du régiment du comte de Provence, futur Louis XVIII, en laiton doré estampé, rectangulaire, à angles arrondis, bordé d'un double filet, au centre les armoiries royales surmontées d'une couronne princière, sur fond de drapeaux et d'une croix, en laiton ciselé et doré, ce motif rapporté sur le fond ; 65,5 x 109 mm. Époque vers 1770/1789. Très bon état

FRANCE - Rare aigle d’or du 1er type (1804-1806) de l’Ordre de la Légion d’honneur, en or (750 millièmes) et émail, revers avec aigle à droite, avec son ruban à bouffette. Bon état, petits manques à l’émail bleu. Époque Premier Empire. Poids brut : 9,7 g. L. 3,5 cm. Ø: 3.5 cm

Fusil de chasse à silex, double canon en table poinçonné au tonnerre, calibre 16 mm ; platines à corps plats gravées et signées : "Pitiote à St-Étienne" ; belles garni-tures en argent poinçonnées, ciselées de scènes de chasse ; crosse en ronce de noyer, à joue, sculptée, poignée quadrillée terminée par une tête de sanglier, petite pièce de pouce en or ; longueur 125,5 cm. (Le canon a perdu son bleui ; manque la baguette). Époque Restauration, vers 1820. Très bon état. POINÇONS : 1er titre des départements, tête d'homme dans un hexagone, 1819 ; de garantie, 1819 ; orfèvre : "C. C.", dans un losange horizontal. PITHIOT ou PITIOTE, arquebusier à Saint-Étienne, an XIII/1836. Catégorie D - vente libre aux plus de 18 ans. Ce lot est présenté par Monsieur Bernard CROISSY, expert en militaria. 06 07 64 29 15 - bernard.croissy@wanadoo.fr

Fusil juxtaposé à platines Harkom & son à chiens, calibre 12/65 (n°1913). Canons de lisses de 76cm, crosse de 365mm, double détente, chokage lisse et ½, canons en damas en bon état, très légèrement marqués à l'intérieur, aucun jeu, gravures volutes anglaises, vendu en mallette originale bois avec nécessaire d'entretien, tournevis manche ébène. Catégorie D - vente libre aux plus de 18 ans.

Poignard « Kindjal » Monture et fourreau gravé de rinceaux en argent, entièrement gravé et niellé. Lame courbe à gouttière, poinçonnée. Fourreau recouvert de chagrin à deux garnitures. Long. 36,5 cm. B.E.

Glaive de sous-officier de type 1816, garde en laiton, croisée ornée d'un fleuron et de deux palmettes, poignée à écailles bordées, pommeau rond ciselé d'un coq dans un médaillon ; lame modèle 1816 à trois gorges ; fourreau de cuir à deux garnitures en laiton ; longueur 67,5 cm. (Le fourreau arrive à 5 mm de la garde, le cuir a probablement séché). Époque Louis-Philippe. Bon état

Sabre d’officier de cavalerie légère, modèle An IX Poignée recouverte de cuir avec filigrane. Monture en laiton. Garde à trois branches et deux oreillons en navette. Calotte à longue queue gravée « D.M. » surmontée de deux étoiles en argent de général. Lame courbe à dos plat, contre-tranchant et pans creux. Fourreau acier à deux bracelets. Début du XIXe siècle, utilisé par un général au début du XXe siècle. B.E.

Revolver modèle 1874 CIVIL, en calibre 11 mm, 6 coups, simple et double action, carcasse en acier, barillet cannelé, fabrication de la " Mre d'Armes de St-Etienne ", portière gravée, plaquettes de la poignée en noyer finement quadrillée, anneau de calotte. Mécanisme fonctionnel. Rebronzé postérieurement. Apte au tir, longueur : 24,3 cm, BE.

Fusil à silex de type dragon 1822, modèle non identifié, probablement de fabrication privée de Saint-Étienne, canon poinçonné sur le pan gauche de Saint-Étienne et numéroté : “17” (peut-être 1817), signé en-dessous : “BROSSARD - ROSET”, longueur 97,3 cm, calibre 17,5 mm ; platine du fusil d'artillerie 1816, longueur 144 mm ; toutes les garnitures en laiton, sauf la sous-garde et les battants en fer ; crosse en noyer à joue, sans marquage ; longueur totale 136 cm. (Manque l'épinglette de l'embouchoir et la baguette ; un éclat au bois, réparé, au-dessus de l'arrière de la platine). Il est présenté avec une baïonnette. Époque Restauration. Bon état

FRANCE - Rare aigle d’or du 3e type (1808-1812) de l’Ordre de la Légion d’honneur, en or (750 millièmes) et émail, avec partie de ruban à bouffette. Petits éclats à l’émail. Époque Premier Empire. Poinçon au 1er coq (1798-1809). Poids brut : 23,1 g. L. 4 cm. Ø: 3.9 cm

Sabre d’officier de maréchaussée modèle 1787 Fusée entièrement filigranée. Monture et garde en laiton décoré. Longue lame droite à dos plat, pans creux et gouttière, gravée au tiers, avec restes d’or (oxydations). A.B.E. SF.

Épingle en or 18k (750e) et argent (800e) stylisant une épée, la garde ornée d'un saphir et d'un rubis dans un décor de diamants taillées en rose, surmontée de 3 perles boutons, le fourreau retenu par une chaîne en or 18k (750e) alternée de perles. Travail français du XIX° siècle, poinçon H.W non identifié. Poids brut: 3.90 g. Longueur: 7 cm

Rare reliquaire - à paperolles et verre soufflé polychrome dans son cadre rectangulaire en bois sculpté et doré d’origine, orné au centre d’une figure de la Vierge Marie couronnée en pied, dans un entourage de guirlandes, paniers fleuris et rinceaux. Le tout entouré de diverses reliques de saints et surmonté par une couronne fleurdelisée. Quelques éléments en verre décollés dans le médaillon central. Italie, XVIIIe siècle. H. 32 x L. 37 cm.