Tableaux

Le temps, vite ! Dans les ventes live et ventes online de Tableaux, les tableaux anciens règnent sur un vaste domaine couvrant sept siècles, des icônes gréco-byzantines aux paysages romantiques.
Après 1870, les tableaux impressionnistes et modernes leurs emboîtent le pas jusqu’à la Seconde Guerre mondiale avec les écoles impressionniste et néo-impressionniste suivis des fauves, des cubistes, des surréalistes…
A partir de 1945, les tableaux d’après-guerre et contemporains recouvrent les productions artistiques de l’expressionnisme abstrait à l’Arte Povera, en passant par le Spatialisme et le Pop art.
Les peintures proposées dans les ventes online de Tableaux font défiler de façon étourdissante toute l’histoire de l’art : tableaux religieux, natures mortes, vanités, tableaux de fleurs et tableaux de genre des écoles hollandaises et flamandes, sujets historiques et scènes mythologiques, tableaux d’histoire, paysages de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècles…Les révolutions picturales de la fin du XIXe et l’aventure des avant-gardes du XXe siècle se rejouent aussi sous nos yeux aux enchères, jusqu’aux subversions de l’art le plus actuel de Soulages, Combas, Vasarely, Arman,Capron, Mitoraj, Sonia Delaunay, Garouste, Hartung, Tal coat , etc.
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Lots recommandés

Cabinet anversois en bois fruitier et bois noirci, bois doré et corne façon écaille rouge, en partie du XVIIe siècle A Flemish simulated tortoiseshell inlaid, ebonised, fruitwood and giltwood cabinet on stand, Antwerp, part 17th century Of rectangular form, opening with ten variously sized drawers simulated as twelve drawers, each with inset simulated tortoiseshell horn panels and with giltwood scrolling motifs, four columns with corinthian capitals, with a central door inset to the reverse with a Flemish 17th century oil painting on copper depicting the sacrifice of Abraham, and enclosing a columnated and mirrored interior above a drawer, the superstructure with a further panelled door flanked by columns and two drawers below a mirrored gallery, the later base with baluster turned legs joined by a panelled undertier, and terminating in turned feet, with a detached trade label inscribed 'Scriban Louis XIII ancien, Ecaille, ébène et dorure' et 'Henri Becker, rue des... Kolven...', restorations and alterations, 114.5cm wide, 49.5cm deep, 217cm high (45in wide, 19in deep, 85in high). Footnotes: L'antiquaire Henri Becker était établi Kolveniersstraat à Anvers, encore à cette époque Rue des Arquebusiers (en 1918, les premiers effaçages de certains noms de rues en français voient le jour). This lot is subject to the following lot symbols: W Y W Lot is located in the Bonhams Warehouse and will only be available for collection from this location. Y Subject to CITES regulations when exporting items outside of the EU, see clause 13. For further information on this lot please visit Bonhams.com

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

Non signé - Henner, Jean Jaques (attribué), 1829 Bernweiler, Alsace - 1905 Paris, peintre français du réalisme académique, cours de dessin chez Charles Goutzwiller (1810-1900) à Altkirch, plus tard il se rendit à l'École des Beaux-Arts de Strasbourg pour étudier la peinture dans l'atelier de Gabriel-Christophe Guérin (1790-1846), En 1846, il s'installe à Paris et devient l'élève de Michel-Martin Drolling puis, à partir de 1851, de François-Édouard Picot à l'École des Beaux-Arts de Paris. Durant cette période, il travaille principalement sur des portraits, dont ceux de sa famille et d'autres personnes de sa région natale en Alsace, encouragé par ses professeurs, Henner participa en 1858 à une exposition de l'Académie Française, avec son œuvre 'Adam et Eve trouvent le corps d'Abel' il remporta le Prix de Rome, auquel était lié un séjour d'études à la Villa Médicis à Rome, Henner resta en Italie jusqu'en 1865 et se consacra principalement à l'étude des œuvres de Titien et de Corrège, Durant cette période, il se spécialise dans la représentation de figures féminines nues dans un environnement paysager, dont les contours sont peints de manière floue dans la pénombre ou la lumière crépusculaire. Après son retour à Paris, Henner se consacre à nouveau à la peinture de portraits, en plus de ces figures féminines, pour la plupart mythologiques. Grâce à sa manière de peindre fidèle à la nature, ces portraits atteignirent une grande popularité auprès du public fin de siècle, aujourd'hui beaucoup de ses œuvres sont visibles au Musée Jean-Jacques Henner à Paris, l'une de ses œuvres les plus célèbres est le portrait d'une Alsacienne en costume traditionnel L'Alsace, qu'il peignit en 1871 à la demande d'un groupe d'épouses d'industriels de Thann, qui l'offrirent à Léon Gambetta, le tableau symbolise l'Alsace perdue et devint très populaire sous la Troisième République, "Nu couché", huile/toile, nu féminin allongé sur un drap rouge velouté, ses cheveux bruns sont couronnés de feuilles et de fleurs, non signé, désigné au dos dans le châssis et indiqué dans l'ancienne étiquette adhésive, craquelé, pertes de couleurs partielles, toile partiellement endommagée, env. 66x113cm, cadre, env. 84x135cm

Aucune estimation

Adrien LEPRIEUR (Paris 1671-1732) - Portrait présumé de Marie Chardon des Roys (1677-?), née Ligier de la Prade Huile sur toile (toile d'origine) 81 x 65 cm Signée et datée au dos: 1715 ou 1725 Présenté dans un beau cadre en tilleul sculpté Provenance: - Considéré par une longue tradition familiale comme un portrait d'une membre de la famille Chardon des Roys - Vente Vassy-Jalenques, Clermont-Ferrand, 24 juillet 2014, lot 378, présenté aux côtés de trois autres portraits de membres de la même famille Notre portrait permet de compléter nos connaissances sur la carrière de Leprieur, ami et bras-droit de Hyacinthe Rigaud pendant 14 ans. Au delà de son évidente qualité, l'élégante effigie présente l'intérêt de reprendre presqu'à la lettre une posture inventée par Hyacinthe Rigaud dès 1696 pour son portrait de la marquise de Sourches (collection privée, château de Parentignat, Puy de Dôme). Notre modèle est représentée à mi-corps, sans mains, coiffée d'une courte perruque « à cruches » finissant par une longue boucle posée sur une épaule. Sa robe de brocard d'argent à large gorge, les manches relevées agrémentées de perles étaient complétées d'une large écharpe galonnée aux reflets de soie bleue. Marie Ligier de la Prade, née au sein d'une famille de médecins clermontois, épouse en 1705, à Clermont-Ferrand, Claude Chardon des Roys, garde des sceaux en la sénéchaussée d'Auvergne et siège présidial de Riom, puis trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Riom. Nous remercions M. Stephan Perreau pour les informations sur Adrien Leprieur et sur notre portrait, rendues disponibles sur son site consacré à Hyacinthe Rigaud, lesquelles ont contribué à l'écriture de cette notice

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Alexandre CABANEL (Montpellier 1823 - 1889 Paris) - Portrait en buste de Nathalie, baronne Seillière (1846- 1929), née de Laborde Huile sur toile 66 x 55 cm. Signée et datée en haut à gauche: 1869 Exposition: Alexandre Cabanel, 1823-1889: la tradition du beau, Montpellier, Musée Fabre, 9 juillet-5 décembre 2010, Cologne, Wallraf-Richartz Museum, 4 février-15 mai 2011, Bibliographie: Cat.exp. Alexandre Cabanel, 1823-1889: la tradition du beau, Michel Hilaire, Sylvain Amic, (dir.), Paris, Somogy, 2010, p. 463, n°240. Deuxième fille de Léon, marquis de Laborde (1807-1869), directeur des archives de l'Empire et grand voyageur, Nathalie épouse, en 1865, Frédéric Seillière (1839-1899), héritier d'une famille d'industriels, qui sera plus tard titré “baron Seillière” par Sa Sainteté Léon XIII en 1885 Anecdote singulière: le frère aîné de Frédéric, Aimé (1835-1870), épousa, en 1865, Marie (1844-1867), soeur aînée de Nathalie, qui ne devait vivre que deux ans de plus. Aimé épousa ensuite, en 1869, Marguerite (1849-1922), troisième soeur de Nathalie. Parmi leurs descendants, on compte des membres des familles suivantes: Blanchy, de Buor de Villeneuve, de Cacqueray de Saint-Quenti, de Cagny, Colonna de Giovellina, Droulers, d'Espous, Gangneron, de Geoffre de Chabrignac, Jehannot d'Huriel de Bartillat, de Jouvencel, de Juge de Laferrière, de La Fouchardière, de Lander, Lemoyne de Forges, de Lencquesaing, Maistre, Martin de La Bastide d'Hust, de Mascureau, de Nicolay, de Pierre de Bernis, Reille, Sallé de Chou, de Terrasson de Montleau, Villedey, de Vincens de Causans

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Kumi SUGAI (1919-1996) Paysage urbain, 1954 Huile sur toile signée en bas à droite. Signée deux fois et datée au dos. 29,5 x 29,5 cm Exposition : Kumi Sugaï, Paris, Galerie Craven, 1954 (Timbre de la galerie au dos). Intégré de manière théorique à la “très jeune Ecole de Paris” par Michel Ragon en 1954, et rattaché à des mouvements franco-français comme beaucoup d’autres artistes d’alors, l’Oeuvre de Kumi Sugaï répond pourtant à des critères bien personnels et sont d’une inventivité rare. Influencé très tôt par les estampes japonaises et le lyrisme qui les accompagne, Sugaï quitte son Japon natal pour s’installer à Paris en 1953. Très vite, il intègre le cercle artistique de l’époque et bénéficie d’une première exposition collective du 1er au 29 octobre 1953 - organisée par John Craven - en hommage à Francis Picabia (qui décèdera un mois plus tard des suites de sa longue maladie). Sugaï présente à cette occasion L’Oiseau , peinture figurative et déjà si abstraite d’un oiseau qui composent son bestiaire des années 1953 à 1954. Seulement une année plus tard, et comme le précise le critique Jean-Clarence Lambert - auteur de la première monographie de l’artiste, cette exposition collective lui ouvre la porte d’une première exposition personnelle. En 1954. Toujours chez John Craven et où notre toile sera donc exposée. A l’occasion de cette exposition, l’artiste rencontre Jean-Clarence Lambert et André-Pieyre de Mandiargues. Ils seront immédiatement intrigués et convaincus du potentiel du jeune artiste japonais. Roger Van Gindertael, autre critique d’art belge, voit dans le travail de Sugaï une influence certaine de Paul Klee. De prime abord, notre toile peut paraître relever d’un expressionnisme abstrait évident. Or c’est à la période figurative des Paysages de l’artiste que cette toile doit se rattacher. Les scènes urbaines qui constituent ces paysages sont, comme l’expliquait Paul Klee, des “images abstraites avec des souvenirs”, le tout organisé à la façon d’un jardin japonais. Natif de Kobe, l’artiste intègre son histoire personnelle et choisit la ville comme sujet d’inspiration, aux dépens de la campagne qu’il trouve ennuyeuse. Mandiargues décrira ces peintures comme des “villes-paysages, mêlant à la fois le point de vue vertical avec l’horizontal (prédominant)”. Des paysages flottant et hors-sol donc, peut-être en continuité de ces fameuses images d’un monde flottant (ukiyo-e) tant appréciées des frères Goncourt.

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

František KUPKA (1871 - 1957) Danseuse Tanagra Huile sur toile, signée et dédicacée à Ninie …es 20 ans vers le bas vers la droite et porte au dos une étiquette manuscrite avec le titre de l'œuvre. 55 x 46 cm (restaurations) Provenance : - Atelier de l'artiste - Offert par Kupka à André Durst (fils d'Auguste Durst) - Par descendance à l'actuelle propriétaire Ninie est le surnom d'Eugénie Straub (1879 - 1963) la seconde femme de l'artiste qu'il rencontre en 1904 et épouse en 1910. La dédicace Ninie …[l]es 20 ans doit vraisemblablement correspondre soit au 20 ans de leur rencontre (1904 - 1924) soit au 20 ans de leur mariage (1910 - 1930). En 1896 Kupka s'installe 83, boulevard de Clichy. Sa première compagne Maria Bruhn, le rejoint à Paris en 1897 et ils s'installent à La Bretèche. Maria décède en 1898 et l'héritage qu'elle laisse à Kupka lui permet de louer un atelier 10, rue Fromentin. Puis en 1899, Kupka loue un atelier 84, boulevard de Rochechouart jusqu'en 1902 puis il s'installe 57 rue Caulaincourt. En 1904 il rencontre sa future femme Eugenie Straub, épouse d'un officier alsacien et mère d'une petite fille de trois ans, Andrée. En 1906 il déménage à nouveau pour s'installer avec Eugénie Staub et sa fille 7, rue Lemaître à Puteaux dans une maison atelier où il a comme voisin Jacques Villon et son frère Raymond Duchamp Villon. Le 15 mars 1910 il épouse Eugenie Straub. A partir du 15 juillet 1929… Kupka loue un atelier dans la même rue au 137, rue Lemaître. Il loue cet atelier au peintre Auguste Durst (1842 - 1930). Kupka gardera cet atelier jusqu'à son décès en 1957. Le fait que Kupka ait repris son tableau postérieurement à sa création initiale soit 1924, soit 1930, explique la signature et la dédicace légèrement tronquées. Nous remercions Pierre Brullé qui a aimablement confirmé l'authenticité de cette œuvre et qui nous a indiqué que ce tableau a vraisemblablement dû être peint à deux époques différentes et que très probablement l'écriture sur l'étiquette avec le titre est probablement de la main d'Eugénie. Un certificat de Pierre Brullé en date du 11 avril 2024 sera remis à l’acquéreur. Expert : Cabinet Louvencourt et Sevestre-Barbé ATTENTION : Pour pouvoir enchérir en live sur ce lot, merci de bien vouloir vous rapprocher de la maison de ventes par e-mail à contact@hdvgrasse.com WARNING : To be able to bid live on this lot, please contact the auction house by mail before to register, at contact@hdvgrasse.com

Estim. 150 000 - 200 000 EUR