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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
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Lots recommandés

Porsche 911 Carrera 3.0 RS 1974 - Titre de circulation espagnol Attestation FFVE Châssis n° 9114609108 Moteur n° 6840121 - Type: 911/77 Descendante directe et évolution technique de la 2.7 RS, la 3.0 RS sera produite une année seulement à… 54 exemplaires (contre 1 580 exemplaires de 2.7 RS) ! Cure d’amaigrissement (1 060 kg sur la balance) avec usage d’éléments en fibres, moteur type 911/77 réalésé à 2 995 cm3 et poussé à 230 ch, cette authentique rareté est une vraie bête de course développée pour gagner dans sa catégorie, le fameux Gr. 3, ce qu’elle fera avec brio, en signant notamment une 12e place aux 24 Heures du Mans 1970. Notre exemplaire, livré neuf en juillet 1974 à son premier propriétaire, n’est ni plus ni moins que l’avant dernière voiture de cette très exclusive série de 54 voitures ; elle change rapidement de mains en 1975, lorsqu’elle est achetée par le pilote allemand Leo Eigner, qui va faire suivre sa nouvelle acquisition par le concessionnaire et préparateur Hahn, celui-là même qui s’occupe des Porsche engagées dans le très relevé championnat allemand ADAC. Eigner va courir au volant de cette 3.0 RS jusqu’en 1977, prenant le départ de pas moins de 30 courses, avec 10 victoires, neuf 2e place, six 3e place, etc. Un palmarès impressionnant, qui sera complété en 1978 par un autre pilote allemand, Alfred Spaeh, nouveau propriétaire de #9108, qui la vendra en 1979 au collectionneur suisses Sidney Ho. La voiture, stockée depuis 1988, sera rachetée en 2000 par le spécialiste Porsche anglais Edmond Harris, qui entreprendra une restauration totale de la voiture, avant de la vendre à un passionné grec, qui la confiera à son tour à l’incontournable marchand et préparateur Porsche Lee Maxted Page en 2014 ; c’est à ce moment-là que l’actuel propriétaire s’en porte acquéreur, roulant et entretenant par la suite régulièrement #9108, que l’on reverra notamment au départ du Tour Auto 2017, pilotée par Derek Bell et Carlos Beltran. Cette rarissime 3.0 RS, matching colors (Guards Red) et numbers, parfaitement documentée (facture depuis les années 1980, archives Porsche, rapport de Jurgen Barth, etc.) et bénéficiant d’un solide palmarès en période sur les plus mythiques circuits allemands et néerlandais (Hockenheim, Avus, Zandvoort, Zolder, etc.) s’adresse aux amateurs de Porsche les plus exigeants, ceux à la recherche de l’une des 911 de course et de route les plus prestigieuses de la marque ; disposant de son Passeport Technique Historique (PTH valide jusqu’en 2027), elle fera également la joie de celui qui souhaite prendre le départ du Mans Classic ou du Tour Auto avec une auto facile, fiable, performante et polyvalente… Ne serait-ce pas la définition du graal ? Palmarès • 09/11/1975 – Hockenheim Rheintal Race – Leo Heigner – 1er • 21/02/1976 – Hockhenheim Preis der Stadt Stuttgart – Leo Heigner – 1er • 11/04/1976 – Hockhenheim Jim Clark Race – Leo Heigner – 2e • 25/04/1976 – Sembach Airport Race – Leo Heigner – 2e • 09/05/1976 – Kassel Kalden Airport Race – Leo Heigner – 3e • 16/05/1976 – Rhein Mosel Hillclimb – Horst Blind – 2e • 23/05/1976 – Avus Rennen Berlin – Leo Heigner – 2e • 27/06/1976 – Zolder Rundstreckenrace Düren – Leo Heigner 3e • 03/07/1976 – Salzburgring Bavaria Race – Leo Eigner – 5e et 4e • 04/07/1976 – Hockhenheim Preis der Stadt Karlsruhe – Leo Heigner – 1er • 15/08/1976 – Zandvoort Nordsee Cup – Leo Heigner – 3e 12/09/1976 – Ulm Mengen Airport Race – Leo Higner – 5e • 19/09/1976 – Neuffen Schwäbische Alp Hillclimb – Leo Heigner – 2e • 31/10/1976 – Hockhenheim Südwestpokal Race – Leo Heigner – 4e • 07/11/1976 – Hockhenheim – Rheintal Race – Leo Heigner – 7e • 17/04/1977 – Hockhenheim Jim Clark Race – Leo Heigner – Abandon • 24/04/1977 – Sylt Airport Race – Leo Heigner – 1er • 08/05/1977 – Karlsberg Race Saarlouis Airport – Leo Heigner – 2e • 15/05/1977 – Hockhenheim 100 Miles Race – Leo Heigner – 1er • 22/05/1977 – Avus Race Berlin – Leo Heigner – Disqualifié • 05/06/1977 – Salzburg Bavaria Race – Leo Heigner – 1er • 12/06/1977 – Wunstorf Airport Race – Leo Heigner – 5e • 26/06/1977 – Zolder Rundsterckenrace Düre – Leo Heigner – 2e • 07/08/1977 – Maiz Finten Airport Race – Leo Heigner – 1er • 21/08/1977 – Kassel Kalden Airport Race – Leo Heigner – 1er • 27/08/1977 – Hockhenheim – Alfred Späh • 18/09/1977 – Ulm Mengen Airport Race – Alfred Späh • 25/08/1977 – Hockhenheim Preis der Stadt Stuttgart – Alfred Späh – 2e • 19/03/1978 – Zotzenbach Hillclimb – Alfred Späh – 1er • 23/04/1978 – Lorch Taunus Hillclimb – Alfred Späh – 3e • 21/05/1978 – Schwanberg Hillclimb – Alfred Späh –1er • 11/06/1978 – Freiburg Schauinsland Hillclimb – Alfred Späh – 1er • 25/06/19

Estim. 1 000 000 - 1 400 000 EUR

1959 Alfa Romeo Giulietta Sprint Speciale 750 SS “Muso Basso” by Bertone Série : AR10120 00048 Moteur : AR00120 0017 Titre de circulation Suisse Véhicule en importation temporaire au sein de l’UE Certificat Alfa Romeo - Rare version Muso Basso - Restauration ancienne de qualité - Une des rares SS ayant eu un Palmarès. La collaboration entre Alfa Romeo et Bertone donnera naissance à des projets exceptionnels grâce à son dessinateur de génie Franco Scaglione. Les Projet « BAT » (Berlina Aerodinamica Tecnica) et « Disco Volante » donneront naissance à la « Sprint Speciale » sous forme de prototype en 1957 puis en série à partir de 1959. Dès 1960, la voiture évolue pour se conformer aux normes américaines. La première série, type 750 SS fut produite à environ 100 exemplaires pour obtenir l’homologation en vue d’un usage en compétition. On distingue cette série par son absence de pare-chocs et par son nez surnommé « Muso Basso ». L’exemplaire que nous vous présentons, le 48e produit, fut livré neuf par la concession de Porto au Portugal sous l’immatriculation OP 21-55 le 19 aout 1959. Son premier propriétaire n’est autre que Manuel Nogueira Pinto, célèbre pilote portugais des années soixante. Dès réception de son automobile, il s’engage dans plusieurs compétitions. Il remportera une seconde place lors de la course de Vila do Conde en 1959, engagé sous le numéro 11 (cf photographie). Très rapidement, il échange son Alfa Romeo et un camion d’assistance au pilote Frederico José Carlos Themudo (dit Fritz d’Oray) contre une Ferrari 250 GT. Fin 1959, Fritz d’Oray qui est alors pilote de F1 chez Maserati, est engagé par la Scuderia Sérénissime sur une 250 GT SWB pour courir les 24 Heures du mans 1960. N’ayant jamais couru au Mans, il décide de s’entrainer avant les qualifications et le fait avec cette Alfa Romeo Guilietta SS. Blessé avec sa Ferrari lors des qualifications, il passe plusieurs mois à l’hôpital. L ’Alfa Romeo, restée sur le parking se retrouve alors en fourrière. Fritz d’Oray conservera sa Sprint Special jusqu’au milieu des années 60. Cette Guilietta SS, connaitra ensuite un autre propriétaire portugais. En 1980, la voiture change de mains et devient la propriété d’un amateur de Lisbonne, José Augusto Xavier Moreira. Celui-ci la conservera 10 ans. En 1990, notre Guilietta SS quitte pour la première fois le Portugal. Elle est acquise par le docteur Richard Schimmer résidant à Düsseldorf. Celui-ci entamera une restauration de la voiture, étalée sur plus de 10 ans. En 2004, Gerald Bugnon fait l’acquisition de l’automobile, alors inachevée, par l’intermédiaire du Garage Vetter. Celui-ci, se chargera de restaurer la mécanique, laissée intacte en Allemagne et d’achever les travaux débutés. En 2006, les travaux sont terminés. Au total plus de 90 000 CHF seront dépensés pour obtenir un état concours, sellerie, accastillage, mécanique, trains roulants, tout sera revu pour arriver au résultat actuel. Aujourd’hui quasiment 20 ans après la fin du chantier, la voiture reste dans un très bel état, témoignant de la qualité des travaux effectués. Ce chef d’œuvre de l’automobile représente l’apogée du design Bertone des années 50 ! 1959 Alfa Romeo Giulietta Sprint Speciale 750 SS "Muso Basso" by Bertone Series: AR10120 00048 Engine: AR00120 0017 Swiss registration Vehicle temporarily imported into the EU Alfa Romeo certificate - Rare Muso Basso version - Quality restoration - One of the few SS to have won a prize. The collaboration between Alfa Romeo and Bertone gave rise to some exceptional projects thanks to its genius designer Franco Scaglione. The "BAT" (Berlina Aerodinamica Tecnica) and "Disco Volante" projects gave rise to the "Sprint Speciale" in prototype form in 1957 and then in series production from 1959. From 1960 onwards, the car evolved to comply with American standards. Around 100 of the first series, the 750 SS, were produced to obtain homologation for use in competition. This series can be distinguished by its lack of bumpers and its nose nicknamed 'Muso Basso'. The car we are presenting here, the 48th to be produced, was delivered new from the Porto dealership in Portugal under the registration number OP 21-55 on 19 August 1959. Its first owner was none other than Manuel Nogueira Pinto, the famous Portuguese racing driver of the 1960s. As soon as he received his car, he entered several competitions. He took second place in the Vila do Conde race in 1959, entered under number 11 (see photograph). He soon swapped his Alfa Romeo and an assistance truck for the driver Frederico José Carlos Themudo (known as Fritz d'Oray) for a Ferrari 250 GT. At the end of 1959, Fritz d'Oray, then an F1 driver with Maserati, was hired by the Serenissima Scuderia to drive a 250 GT SWB in the 1960 Le Mans 24 Hours. Having never raced at Le Mans, he decided to train befor

Estim. 300 000 - 350 000 EUR

1965 ALFA ROMEO Giulia Sprint GTA Châssis AR613276 Moteur AR 00 559 05026 Sans titre de Circulation Passeport FIA 169 chevaux au banc Certificat Alfa Romeo Introduite en 1965, la GTA était la version de compétition officielle de la Giulia Sprint GT et était produite en variantes de route (stradale) et de course (corsa). Cette dernière, relevait de la responsabilité du département compétition de l'usine Autodelta. La GTA se différenciait par ses panneaux de carrosserie en aluminium, ses vitres latérales et arrières en plexiglas et ses aménagements intérieurs allégés. En conséquence, la GTA pèse 200 kilogrammes de moins qu’une Sprint GT. Le quatre cylindres classique à double arbre à cames d'Alfa de 1 570 cm3 a subi d'importantes modifications pour la GTA, l'angle entre les soupapes étant réduit de 90 à 80 degrés et la taille de ces dernières considérablement augmentée. Comme il n'y avait plus de place entre eux pour une bougie centrale, on a opté pour un double allumage. En version route, le moteur révisé produisait 115 ch avec jusqu'à 150 chevaux disponibles en version course. La GTA a fait ses débuts en course le 20 mars 1966 à Monza où Andrea de Adamich et Teodoro Zeccoli ont triomphé dans la course de quatre heures du Jolly Club. Dès lors, les GTA préparées par Autodelta connurent un succès exceptionnel, remportant le Championnat d'Europe des voitures de tourisme trois années de suite, de 1966 à 1968. Afin de permettre l'homologation, 500 voitures ont été fabriquées pour la course et la route. L’exemplaire que nous vous proposons est une des 500 GTA Stradale fabriquées par Alfa Romeo. Sortie d’usine le 7 juillet 1965, elle fut livrée le 30 aout à la concession Avellino en Italie. Elle était alors Biancospino avec un intérieur en skaï Nero Fumo. Nous retrouvons ensuite sa trace en 1988 en Suisse, elle appartient alors à Hans Ulrich Kohler. La voiture se voit alors délivrer un carnet de passage en douanes FIA délivré par l’Automobile Club Suisse. Elle est alors comme beaucoup repeinte en rouge. En 1989, la voiture change de mains, elle est alors acquise par Helmut Kuen, résidant à St Moritz. Ceux-ci feront restaurer l’automobile par l’atelier du Club del Portello, spécialiste de la marque (pas de factures au dossier). Dans les années 90, la voiture sera acquise par Gerd F. Klein, amateur allemand. En 1999, elle passe entre les mains de Patrick Koller, collectionneur allemand qui la conservera jusqu’en 2006. Cette année-là, la voiture est acquise par Gérald Bugnon. Elle est alors peinte en Jaune. Puis elle intègre son team pour être engagée sur plusieurs rallyes du championnat VHC dont ceux de l’Acropole et de San Marin. En 2009, la voiture est reconfigurée pour un usage piste. Elle est alors engagée aux 6 Heures de Spa en 2010. Courant 2015, une restauration est entreprise. Tout est revu aux spécifications FIA. Un nouveau moteur est développé. Lors de son passage au banc en juillet 2015, celui-ci développait 169 chevaux. Après ce chantier, la voiture sera engagée à plusieurs rallyes en 2016, 2018 et 2020. En 2021, le passeport technique FIA de la voiture est renouvelé. Valide jusqu’en 2030, celui-ci permettra au futur propriétaire d’engager sa voiture au sein des meilleurs évènements mondiaux. Avec une préparation de qualité, cette GTA est une véritable machine de course dont l ’efficacité n’est plus à prouver. 1965 ALFA ROMEO Giulia Sprint GTA Chassis AR613276 Engine AR 00 559 05026 No registration document FIA passport 169 hp on test bench Alfa Romeo certificate Introduced in 1965, the GTA was the official competition version of the Giulia Sprint GT and was produced in road (stradale) and racing (corsa) variants. The latter was the responsibility of the Autodelta factory's racing department. The GTA was distinguished by its aluminium body panels, Plexiglas side and rear windows and lighter interior fittings. As a result, the GTA weighed 200 kilograms less than a Sprint GT. Alfa's classic 1,570 cm3 twin-cam four-cylinder engine underwent significant modifications for the GTA, with the angle between the valves reduced from 90 to 80 degrees and the size of the valves considerably increased. As there was no longer room between them for a central spark plug, a dual ignition system was opted for. In road version, the revised engine produced 115 bhp, with up to 150 bhp available in race version. The GTA made its racing debut on 20 March 1966 at Monza, where Andrea de Adamich and Teodoro Zeccoli triumphed in the Jolly Club four-hour race. From then on, the GTAs prepared by Autodelta enjoyed exceptional success, winning the European Touring Car Championship three years in a row, from 1966 to 1968. To enable homologation, 500 cars were built for racing and road use. The car on offer is one of the 500 GTA Stradale built by Alfa Romeo. It left the factory on 7 July 1965 and was delivered to the Avelli

Estim. 180 000 - 250 000 EUR

1963 Alfa Romeo SZ Coda Tronca Châssis AR 126 00213 Moteur 00120 0820 Titre de circulation Suisse Importation temporaire au sein de l’Union Européenne - Une des dernières SZ produites - Seulement 44 exemplaires produits L’histoire de la SZ Coda Tronca est née d’un accident. En 1961, le pilote Francesco De Leonibus fait recarrossé par Micheloti sa SZ à la suite d’un accident, celui-ci réalise une ligne plus longue et effilée. Sur le circuit de Monza, le pilote Francesco De Leonibus enregistrera une vitesse de pointe époustouflante (222,22 km/h). À la suite de cet exploit, Zagato se mit aussitôt à la conception d’une nouvelle carrosserie pour la SZ. Il redessine la carrosserie d’abord en allongeant le museau ainsi que la queue (l’arrière), puis en modifiant également le pavillon et enfin, pour obtenir une forme encore plus aérodynamique, il décide de tronquer l'arrière de la voiture, en s’appuyant sur les théories de l’ingénieur aérodynamicien allemand Wunibald Kamm. Zagato, n’étant pas équipé d’une soufflerie, réalise une série de tests sur autoroutes, en se servant des pierres angulaires comme référence, et du fidèle designer Ercole Spada comme chronométreur assis au sol. Le résultat final est prêt quelques mois plus tard et Zagato lui-même engage la nouvelle SZ au Grand Prix de Monza en 1961 remportant la course, devant la SZ revue par Micheloti. Pour donner suite à ce succès, la production de la deuxième série de SZ est lancée. Sur le plan mécanique la seconde série reprend tous les attributs de la première SZ. Différence notable, malgré l’allongement de la voiture, elle perd 15 kg et affiche désormais un poids contenu à 840 kg. Grâce à ces améliorations, la vitesse de pointe dépasse désormais largement les 200 km/h, flirtant avec les 215 km/h. L’exemplaire que nous vous présentons, est sorti des ateliers Zagato le 7 décembre 1962. Le 15 janvier 1963, la voiture est livrée par l’importateur Hollandais Louwman Parqui situé à Leidschendam. Il s’agit d’un des rares châssis équipé dès l’origine de freins à disques à l’avant. La voiture passe ensuite entre les mains du collectionneur et concessionnaire Roy Karsten, grand amateur de la marque. Celui-ci l’exposera dans son Showroom à Noordwijk pendant une dizaine d’années, participant dans le même temps à de nombreux évènements dont la commémoration des 80 ans d’Alfa Romeo en 1990. La voiture est alors peinte dans une teinte jaune pale. Vers la fin des années 90, la SZ intègre la collection de Gérald Bugnon, celui-ci roulera avec quelques années avant de débuter une restauration majeure, désirant intégrer sa SZ au sein de son écurie de VHC personnelle il Biscione Corsa Romand. Le chantier est confié aux ateliers Dante, ceux-ci vont construire une nouvelle carrosserie pour la SZ suivant les plans de Zagato. La carrosserie originelle, conservée, sera remise à l’acquéreur. La mécanique, est entièrement revue et perfectionnée tout comme les trains roulants. L’automobile participera à quelques événements avant d’être revue pour un usage plus orienté vers la régularité et les balades. C’est une voiture charnière dans l’histoire de Zagato, apportant des innovations qui seront reprises pour la TZ. Qualités routières exceptionnelles et dessin mythique, voilà deux raisons d’acquérir cette superbe Alfa Romeo SZ. 1963 Alfa Romeo SZ Coda Tronca Chassis AR 126 00213 Engine 00120 0820 Swiss registration document Temporary import into the European Union - One of the last SZs produced - Only 44 produced The story of the SZ Coda Tronca began with an accident. In 1961, driver Francesco De Leonibus had his SZ re-bodied by Micheloti following an accident, and the latter created a longer, tapered line. On the Monza circuit, Francesco De Leonibus recorded a breathtaking top speed (222.22 km/h). Following this achievement, Zagato immediately set about designing a new body for the SZ. He redesigned the body firstly by lengthening the muzzle and the tail (the rear), then by also modifying the roof and finally, to obtain an even more aerodynamic shape, he decided to truncate the rear of the car, based on the theories of the German aerodynamic engineer Wunibald Kamm. Zagato did not have a wind tunnel, so he carried out a series of tests on the motorways, using the cornerstones as a reference and the faithful designer Ercole Spada as a timekeeper sitting on the ground. The final result was ready a few months later, and Zagato himself entered the new SZ in the 1961 Monza Grand Prix, winning the race ahead of Micheloti's revised SZ. Following this success, production of the second series of SZs was launched. Mechanically, the second series retained all the attributes of the first SZ. The notable difference was that, despite the lengthening of the car, it lost 15 kg and weighed just 840 kg. Thanks to these improvements, the top spee

Estim. 600 000 - 800 000 EUR