Armes, militaria, souvenirs historiques

Souvenir du général Ambroise Joseph Colin de Verdière, Baron (1780/1840) : Cadre ovale laqué noir renfermant ses décorations : - Croix de commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur en or, émaillée, modèle Louis-Philippe ; diamètre 60 mm, poids brut environ 40 g ; poinçon tête de bélier ; elle est présentée avec un fragment de cravate. (Un petit éclat sur deux branches, à l'avers). - Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis Restauration, en or, émaillée, modifiée sous Louis-Philippe (fleurs de lys entre les branches enlevées) ; avec son ruban à bouffette ; largeur 42 mm, poids brut environ 17 g. (Petits manques à l'émail bleu des centres). - Croix d'officier de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne, créé par Ferdinand VII le 10 juillet 1815, en or, émaillée ; largeur 35 mm, poids brut environ 14 g. (Petits manques aux émaux). Époque Restauration, campagne d'Espagne. - Plaque de grand officier de l'ordre de Saint- Ferdinand d'Espagne en argent, émaillée, centres en or émaillés ; largeur 79 mm, poids brut 44 g. Époque Restauration, Louis-Philippe. De chaque côté des décorations, une grosse étoile en argent. Bon état. Souvenirs du général Ambroise Joseph COLIN de VERDIÈRE, Baron (1780/1840) : Ambroise COLIN de VERDIÈRE, engagé volontaire comme hussard au 10e régiment, en 1796 ; sous-lieutenant au 21e régiment de chasseurs, en 1797, avant de devenir aide-de-camp de son père le général de VERDIÈRE ; maintenu dans ses fonctions au grade de lieutenant, en 1798 ; servit en Hollande, puis à l'armée du Rhin, 1800/1801 ; mis à la disposition du général de ROCHAMBEAU, le 30 octobre 1801 ; employé à Saint-Domingue, il remplit les fonctions d'aide-de-camp de ce général, le 21 octobre 1802, avec le grade de capitaine, le 26 février 1803. Aide-de-camp du général JUNOT, le 15 décembre 1803 ; puis capitaine au 8e régiment de chasseurs à cheval, le 9 novembre 1805 ; il fit campagne à la grande armée, 1805, et à l'armée d'Italie contre l'Autriche, 1809. Nommé chef d'escadron au 8e régiment de chasseurs à cheval, en août 1809 ; puis admis avec son grade au 2e régiment de chevau-légers lanciers de la garde impériale, le 8 janvier 1812 ; il participa aux campagnes de Russie, 1812, et d'Allemagne, 1813. Blessé à la bataille de la Bérézina, le 28 novembre 1812 ; promu colonel dans la ligne, le 28 novembre 1813, il reçoit le commandement du 7e régiment de chasseurs à cheval, en décembre 1813, et participe à la campagne de France, en 1814. Maintenu sous la Première-Restauration à la tête de son régiment, devenu régiment de chasseurs d'Orléans, le 8 octobre 1814 ; il conserva ses fonctions aux Cent-Jours. Mis en non activité, le 13 novembre 1815 ; il est remis en activité, comme colonel du régiment de hussards du Jura (n° 1), le 26 novembre 1817. Il prit part à l'expédition d'Espagne, à l'armée des Pyrénées, 1823. Il est promu maréchal de camp le 29 juin 1823, commandant supérieur de la place de Burgos, puis de Madrid, le 9 août 1823. Mis en disponibilité, le 25 décembre 1923. Inspecteur général de cavalerie, en 1825, dans la 16e division militaire, le 29 juin ; commandant de la 4e subdivision de la 10e division militaire, le 27 décembre 1826 ; commandant du Jura, sous la monarchie de juillet, le 30 décembre 1830, il est compris en cette qualité à l'état-major général, le 22 mars 1831, puis appelé au commandement du département du Doubs, le 16 décembre 1832.

Shako d'officier supérieur, colonel du 72e régiment d'infanterie de ligne, fût en feutre taupé, calotte en cuir noir, à la partie haute deux galons en passementerie d'or, celui du dessus plus large, bourdalou en velours noir muni, à l'arrière, d'une boucle ; visière en cuir noir ornée de feuillages à la partie haute et bordée d'un jonc en laiton doré ; plaque en laiton doré, estampée aux armes de France modèle 1814/1815, ornée de chaque côté d'une grenade, numérotée : “72” en chiffres guillochés rapportés ; jugulaires à écailles en laiton doré, bossettes ornées d'une grenade enflammée ; bandeau intérieur en cuir à dents de loup ; pompon recouvert de sequins en passementerie de vermeil, surmonté d'un grand plumet blanc, manque des sequins ; hauteur 24,5 cm. (Plumet blanc postérieur). Époque Première-Restauration, 1814/1815. Très bon état. Ce shako est reproduit dans la revue La Giberne, 2e semestre 1907, page 69 ; ancienne collection LE GOUEST.

Ordre du Dragon d'Annam, insigne d'officier en vermeil ciselé en pointes de diamant ajourées, centre en or et émail, dragon émaillé, ruban à rosette blanc bordé orange, donné à titre militaire avant 1896. 90 x 48 mm. TTB à SUP

Insigne de l'ordre du Kim Boi créé en 1889, en or, constitué de deux flancs repoussés et muni de pampilles en fils de soie de couleurs et de perles ; 65 x 49 mm, poids brut 16,34 g ; présenté dans écrin non d'origine. Époque, Indochine-Annam, fin XIXe, début XXe. Très bon état

Chaînette de gala en vermeil portant trois miniatures: un Kim Khánh de classe moyenne (basse) de l'ère Thành Thái (1889-1907), avec la formule GIA THỆN SANH NĂNG, pampilles métalliques, fabrication de Chobillon, 12 x 9 mm; une étoile de l'ordre du Nichan Iftikhar de Tunisie au chiffre de M'hamed Bey (1855-1859); un insigne de l'ordre de l'Étoile d'Anjouan TTB

Rare croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis avec couronne royale, réduction, en or, émaillée, anneau cannelé, pointes boulées ; poinçon tête de coq ; avec son ruban ; largeur 25 mm, poids brut 8 g. Époque Restauration. Très bon état

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis en or, émaillée, anneau cannelé ; grand ruban avec système de fixation en argent ; largeur 29,5 mm, poids brut 17 g. Époque Louis XVI. Très bon état

Croix de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur, 2e type, couronne soudée, rare modèle de belle qualité en argent, émaillé, centres en or émaillés en deux pièces ; grand ruban cousu ; diamètre 36 mm, poids brut 14,6 g. (Quelques petits manques aux émaux). Époque Premier-Empire. Très bon état.

Belle croix de chevalier de l'ordre de Malte demi-taille, en or, émaillée, surmontée d'une couronne fixe, bélière mobile en forme de ruban lié, branches épaisses ; largeur 20 mm, hauteur 44 mm sans la bélière et 54 avec, poids brut 13,3 g. (Sans ruban). Probablement Époque XVIIIe. Très bon état.

Plaque de grand-croix de l'ordre de la Légion d'honneur, en argent à pointes de diamant, centre en argent en trois pièces, épingle basculante et deux crochets au dos, signée : “OUIZILLE LEMOINE JOAILLERS BIJOUTIERS DE LA LÉGION D'HONNEUR RUE DU BAC N° 1 PARIS” ; poinçon à la tête de sanglier ; diamètre 92 mm, poids 69,7 g. Époque Second-Empire. Très bon état.

Beau pistolet à silex d'officier de la Manufacture de Versailles, canon octogonal très légèrement tromblonné, portant une gorge pour la visée sur la première partie du pan supérieur, la culasse qui était bleuie est munie, sur le côté gauche, d'une vis permettant le nettoyage de la lumière garnie de platine, canon poinçonné, sur chaque pan incliné, de la barrette : “BOUTET” dans un rectangle sur fond d'or, signé en lettres d'or : “BOUTET” et “À VERSAILLES” et numéroté : “186”, culasse et bouche décorées d'un large filet d'or, celui de l'extrémité porte un guidon réglable, longueur 24 cm, calibre 12 mm rayé cheveu ; queue de culasse portant également une gorge et une hausse fixe ; platine à corps plat ornée de cannelures à l'arrière, signée : “Boutet à Versailles”, chien à col de cygne, bassinet à volute, le serre-pierre du chien porte le numéro : “2”, queue de détente réglable ; garnitures en fer unies et découpées, les deux pièces de contre-platine sont découpées et finement gravées de fleurons, de feuillages et d'un cartouche avec deux maisons, clou de calotte ovale ciselé de facettes ; crosse en noyer à fût court, poignée quadrillée, l'extrémité formant calotte en ébène est découpée d'un motif formant des vagues ; longueur totale 37,5 cm. Époque fin Premier-Empire. Très bon état. BOUTET Nicolas Noël, né en 1761 † en 1833, célèbre directeur de la manufacture de Versailles, de l'an II à 1818 ; il travailla principalement sur les armes de récompense, les armes d'honneur et les armes de luxe, aussi bien blanches qu'à feu ; celles-ci ont atteint une renommée mondiale, par leur qualité d'exécution et l'originalité de leurs modèles. Il avait à Paris un dépôt de la manufacture, 1236 rue de la Loi (rue de Richelieu) en l'an XI, ensuite, 87 rue de Richelieu en 1807 ; on le retrouve, en tant qu'arquebusier privé, en 1823, 23 rue des Filles Saint-Thomas, où il exerça jusqu'en 1831. Il eut un fils, Pierre Nicolas, né en 1786 † en 1816, ce qui explique quelques fois l'inscription : “BOUTET et fils”.

Cadeau de Roland Bonaparte au capitaine Galli Revolver d’officier Chamelot Delvigne type 1874 Six coups, calibre 11-73mm. Canon rond, à pans au tonnerre gravé « H FAURE LEPAGE A PARIS », poinçonné « CHAMELOT DELVIGNE ». Barillet cannelé. Plaquettes de crosse en ébène. Dans son écrin plaqué de noyer verni, décoré de filets en laiton, orné d’un écusson « A Mr Le capitaine Galli Souvenir affectueux Roland Bonaparte » gainé de velours mauve, marqué dans le couvercle « H. FAURE LEPAGE PARIS ». Avec sa clef. Vers 1885. B.E. Belles rayures. Finition bronzée (quelques usures). On retrouve plusieurs officiers portant ce nom répandu en Corse. Toutefois, il pourrait s’agir de Dominique Jean GALLI (1841-1906), capitaine au 113e régiment d’infanterie, chevalier de la Légion d’honneur (1886), capitaine à partir de 1881.

Sabre arabe de type « Cimeterre » Monture en laiton doré. Poignée à pans et garde à deux quillons finissant en sphères à côtes de melon. Lame courbe oxydée à contre-tranchant. Fourreau de velours marron à trois garnitures en laiton doré et découpé. XIXe siècle. A.B.E.

Plaque de grand-croix ou de grand officier de l'ordre de la Légion d'honneur modèle de la Présidence 1851/1852, en argent et vermeil, branches à l'imitation des plaques en cannetille à décor d'écailles, centre en trois pièces en argent et vermeil, marqué : “BONAPARTE 1ER CONSUL - HONNEUR ET PATRIE” ; entre les branches, deux drapeaux tricolores en vermeil, émaillés, le ruban noué, tricolore, à la partie inférieure, également en vermeil émaillé ; épingle basculante au dos, avec deux crochets ; poinçons à la tête de sanglier et d'orfèvre ; diamètre 87 mm, poids brut 78 g. Époque Présidence. Très bon état.

Revolver à percussion système Lagreze « Brun Breveté » Six coups, calibre 11 mm. Canon à pans, gravé « Brun Bté à Paris ». Plaquettes de crosse en noyer marbré. Vers 1850-1860. E.M. (piqûres uniformes, mécanique à revoir)

Carabine à silex d'officier de la Manufacture de Versailles, canon octogonal légèrement tromblonné, bleui, signé sur le pan supérieur : “BOUTET DIRECTEUR ARTISTE”, hausse fixe au tonnerre, point de mire réglable, calibre 14 mm, rayé cheveu alterné de neuf grosses rayures, longueur 48 cm ; queue de culasse unie ; platine à corps plat festonnée et découpée à l'arrière, signée : “MANUFRE À VERSAILLES”, chien à col de cygne, queue de détente réglable ; garnitures en fer découpées, vis et rosettes de contre-platine gravées ; crosse en noyer à joue, sculptée d'un feuillage, poignée quadrillée ; baguette en bois fruitier terminée par un embout en fer tourné ; longueur totale 86 cm. (Bleu probablement repris). Époque Directoire, vers 1795/1798. Très bon état. Ce modèle de carabine est proche de celles offertes par la Manufacture de Versailles aux Directeurs, mais un peu plus simple.

Croix d'officier de la Maison impériale d'éducation de la Légion d'honneur, en or, émaillée, surmontée de la couronne impériale, centre en or émaillé, marqué sur le pourtour de l'avers : “MAISON DE ST-DENIS” (pour les jeunes filles), au revers : “HONNEUR ET PATRIE” et “LÉGION D'HONNEUR” ; poinçon au hibou sur la bélière ; ruban à rosette ; largeur 35 mm, poids brut 18,7 g. Époque Second-Empire. Très bon état

PRÉSENT CARTIER OFFERT PAR LA REINE ELIZABETH II (1926-2022) - Épingle de cravate en or 9k au chiffre de la Reine Elizabeth II, dans son écrin d’origine de la Maison CARTIER de Londres en maroquin rouge frappé également de son chiffre à l’or. Elle est accompagnée d’un courrier adressé au matelot Claude Sellier pour le remercier du succès et de la sécurité du séjour que Sa Majesté effectua à bord du “Borde Fretigny”, signé par son secrétaire Edward Ford. À Paris, le 11 avril 1957. H. 6,6 cm. Poids brut : 1,25 g.

Coffret-nécessaire contenant une paire de pistolets d'officier à silex, transformés à percussion, canons octogonaux légèrement tromblonnés en acier damas à ruban, grisés et ornés de filets d'or, tonnerres poinçonnés deux fois : “N B” dans des rectangles sur fond d'or, signés sur deux pans, en lettres d'or : “Boutet” et “à Versailles” et numérotés sur les pans inférieurs, près des fûts : “153”, les extrémités sur les pans supérieurs portent le numéro : “1” et “2”, ainsi qu'un point de mire réglable en acier bleui, calibre 12 mm rayé cheveux ; platines à corps plats, gravées sur le pourtour et signées en lettres d'or : “Boutet” ; garnitures en fer découpées et jaspées, finement gravées, pontets à ergot gravés, l'un d'une tête de chevreuil, l'autre d'une tête de chien et terminés, à l'avant, par une fleur de lys stylisée ; crosses en noyer à fût court, poignées quadrillées, entrées de clavettes et pièces de pouce en or monogrammées : “C” surmonté d'une couronne de Marquis ; longueur 35 cm. Coffret en acajou portant, sur le couvercle, une plaque ovale en laiton monogrammée en lettres gothiques : “C B” ; intérieur gaîné de peau de chamois beige orangé ; complet de tous ses accessoires : moule à balles en acier jaspé avec démonte-culasse d'origine ; l'intérieur de ce coffret a été réadapté au moment de la transformation à percussion, avec certains accessoires nouveaux : tournevis, boîte à capsule et poire à poudre, le gainage est plus tardif ; il est présenté avec sa clef. Époque Restauration, transformé à cette époque ou sous Louis-Philippe. Très bon état. On joint une lettre manuscrite du 28 août 1931, annonçant au futur propriétaire l'envoi de ce coffret, ainsi qu'une partie de son histoire.

Barrette de réductions d'Ordres français et étrangers en argent (800e) et émail, dont : Légion d'Honneur ; Couronne d'Italie ; Saint Sava de Serbie ; Bénin ; Ethiopie ; Belgique ; Angleterre. (manques et un élèment à ressouder). Poids brut : 15.90 g. Longueur : 12 cm.

Bài d'officier d'ordonnance de l'Empereur, NGỰ TIỀN - VÔ HỘ GIA. Plaquette en ivoire découpé et liseré, caractères gravés et ocrés. Nœud de passementerie en soie doré et rouge. 100 x 69 x 37 mm, poids brut: 47,86 g

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis, réduction, en or, émaillée, anneau cannelé ; poinçon tête de bélier ; avec un petit ruban en forme de rosette ; largeur 21 mm, poids brut 7,5 g. Époque Louis XVI. Très bon état

Poignard caucasien « Kindjal » Poignée à deux rivures et fourreau en cuir brun à décor gaufré, entièrement recouvert de fer damasquiné d’argent à décor de rinceaux feuillagés. Lame à gouttière. Long. 50 cm. B.E.

Médaille ou insigne uniface de l'Association des Vainqueurs de la Bastille, médaillon ovale à bélière, en laiton doré, gravé de lauriers, centre argenté représentant le cachet des Vainqueurs de la Bastille ; beau ruban noué, bleu à bords blanc et rouge, brodé d'un médaillon en fils d'or, noué par un ruban tricolore, représentant, au centre, les trois ordres avec un coeur rouge au milieu, il est marqué en-dessous, en fils d'or : “Liberté - 14 JUILLET 1789” ; hauteur 55,5 mm, largeur 41 mm. Époque révolutionnaire. Très bon état.

Forte épée de cavalerie « Wallonne » Fusée filigranée (rétractée). Monture en fer, pommeau en oignon, garde à une branche, coquille bivalve ajourée d’étoiles. Quillon recourbé, poinçonné. Forte lame à gouttière médiane, poinçonnée au talon « P » sous couronne (restes de marque d’Amsterdam), gravée dans la gouttière « ME FECIT SALINGEN ». Fourreau en cuir brun à chape en fer (postérieur). Deuxième partie du XVIIe siècle. A.B.E.

ARTHUS BERTRAND Années 1960-70 Original bracelet en argent (800‰) et or 18k (750‰) représentant les insignes et médailles de la Dynastie Pahlavi (la dernière dynastie iranienne ayant régné de 1925 à 1979) rehaussés d'émail polychrome et des motifs ronds en céramique peinte Longueur : 17,5 cm Poids brut : 25 g

SERBIE - Croix de 4e classe (chevalier) de l’ordre de Takovo (institué en 1865), en vermeil et émaux (éclats et manques à l’émail). Sans son ruban. Poids brut : 20,66 g. L. 3,5 cm.

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis, réduction en or, émaillée, avec ruban à bouffette ; largeur 18 mm, poids brut 4,8 g. Époque fin Louis XV, Louis XVI. Très bon état

Autriche-Hongrie - Ordre de François Joseph Croix de Commandeur en or et émail (éclats). Centre ouvrant. Anneau poinçonné GR (Resch). 32x65 mm. Poids net 24 g. T.B. (manque la croix de couronne) Joint : une croix de commandeur de la Couronne d’Italie, en or et émail. Sans suspente ni ruban.

Croix de chevalier de l'ordre de Saint-Louis en or, émaillée, pointes boulées ; les fleurs de lys ont été transformées d'une façon inhabituelle et non pas enlevées complètement sous Louis-Philippe ; avec son ruban ; largeur 30,5 mm, poids brut 8,2 g. (Quelques manques d'émail aux centres). Époque Restauration, Louis-Philippe. Bon état.

Baïonnette modèle 1874 "Gras". Lame à dos gravé « Mre D'armes de Saint-Etienne Aout 1878 », fourreau en tôle de fer bronzé au même matricule que la garde. Lg. : 65 cm. A.B.E. (Patine crouteuse) ON JOINT Ensemble de trois armes blanches comprenant : - Sabre Yatagan. Poignée à plaquettes de corne blonde, monture recouverte de laiton, lame gravée, fourreau recouvert de cuir à deux garnitures en laiton et fer. Fourreau postérieur en cuir. Etat moyen. XIXème siècle. Lg. : 72 cm. - Couteau algérien Flissah, monture en fer et laiton, lame gravée, fourreau en bois sculpté. Lg. : 41 cm. Assez bon état. - Petite épée Taza de style. (Accidents et manques). Lg. : 75 cm.

Croix de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur, 3e type, en argent, émaillée, centres en or émaillés en deux pièces ; poinçon au faisceau de licteur ; avec son ruban ; diamètre 37 mm, poids brut 18,4 g. (Quelques manques aux émaux). Époque Premier-Empire. Bon état

Lot de deux poignards décoratifs, type Kriss, en bois et métal. 47-48 cm (oxydation)

Pistolet à silex d'officier de marine de type 1779, dit “à tête de chien de mer”, canon octogonal puis rond, signé sur le pan supérieur : “DESAGA”, calibre 13 mm ; platine à corps rond signée : “À TULLE”, chien à espalet, bassinet en fer ; garnitures en fer ; crosse en noyer à fût court, sculptée d'une tête de chien de mer ; baguette en fer ; longueur 24,5 cm. (Manque le centre en fer d'un oeil). Époque fin XVIIIe. Bon état DESAGA Henri Simon, 1779, arquebusier à Tulle.

Sabre Consulat-Empire, modèle d'officier Avec un fourreau. Long. avec fourreau : 104 cm. Lame seule : 90,8 cm.

Epée de membre de l’Institut d’Egypte Fusée à plaquettes de nacre ornée d’un motif d’Isis Pharia. Monture en laiton doré et ciselé, garde à une branche ornée d’un motif de fleurs de lys. Clavier ciselé et ajouré à la palmette. Lame triangulaire de Solingen gravée et dorée au tiers Reste de fourreau en cuir à chape en laiton doré. (manque la bouterole) Epoque Restauration. E.M. (quillon cassé, oxydations)

Croix d'officier de l'ordre de la Légion d'honneur, en or, émaillée, pontet émaillé rouge ; poinçon à la tête d'aigle ; ruban à rosette ; diamètre 41 mm, poids brut 22,5 g. (Quelques petits manques aux émaux verts et à l'émail bleu du centre, au revers). Époque Second-Empire. Très bon état

Plateau de ceinturon d'officier du 1er régiment de cuirassiers dit “de la Reine”, en laiton ciselé et doré, aux armes de France et de Savoie surmontées de la couronne royale ; 74,5 x 86,5 mm. (Fabrication ancienne, postérieure). Époque fin XIXe, XXe. Très bon état

Paire de pistolets d'officier de marine, à silex à platines inversées, transformés à percussion, de type 1779, dits “à tête de chien de mer”, l'un des canons est signé : “MANIE À TULLE - TORDU”, calibre 14 mm ; platines gauche et droite à corps ronds ; garnitures en laiton, crochets de ceinture en fer ; crosses en noyer à fût court, sculptées d'une tête de chien de mer, les yeux en argent ; baguettes en bois fruitier à embout de corne blonde ; longueur 25,5 cm. Époque fin XVIIIe. Très bon état.

Carabine à percussion, prix de tir donné par le ministre de la Marine. Fort canon octogonal bleui avec hausse à curseur et point de mire réglable, marqué au tonnerre, sur le pan supérieur : “ÉCOLE NORMALE DE TIR - ANNÉE 1863”, sur le pan gauche : “1ER PRIX D'INSTRUCTION PRATIQUE” et, sur le pan droit : “DONNÉ PAR LE MINISTRE DE LA MARINE”, le dessous porte le poinçon d'épreuve de Liège : “E L G” et le calibre : “15.0”, longueur 75,5 cm, calibre 15 mm rayé ; queue de culasse gravée de feuillages ainsi que toutes les vis ; platine avant entièrement gravée de feuillages, ainsi que le chien, elle est signée en lettres d'or : “BAILLOT & HEBERARD À PARIS” ; garnitures en fer gravées en suite ; crosse en noyer veiné à fût long, poignée finement quadrillée, elle porte, sur le côté droit, près du talon, une plaque en argent destinée, probablement, à marquer le nom du récipiendaire ; baguette en fer ; longueur totale 114 cm. (Le bleui, sur le dessus du canon, est existant sur un peu plus du quart, la partie avant a été blanchie ; le bleu existe encore, en-dessous, sur toute la longueur). Époque Second-Empire. Bon état. BAILLOT puis BAILLOT & HEBERARD, arquebusier à Paris (1845/1872), fabrique d'armes de chasse à Liège et à Saint-Étienne ; travail à façon pour armuriers : canons, platines, garnitures en blanc, etc. 44, rue Neuve Saint-Eustache - 68, rue d'Aboukir.

Poignard d’Afrique du Nord, dit Koumyah Poignée en corne blonde. Monture et fourreau en argent ciselé. B.E.

Mousqueton à percussion genre 1816 T de cavalerie portant des poinçons turcs (tughra), canon de 49,8 cm, poinçon sur le pan supérieur au tonnerre ; platine de type français avec la même marque ; garnitures en fer à tringle courte, embouchoir en fer maintenu par une épingle à pivot ; crosse en noyer ; longueur totale 89 cm. Époque, Turquie, seconde moitié du XIXe. Bon état

Casque à pointe d’infanterie saxonne, modèle 1895 Bombe en cuir. Jonc en laiton. Plaque aux armes de la Saxe. Cocardes aux armes du Reich et de la Saxe. Coiffe et jugulaire en cuir. Marquage « 56,5 » E.M.

Grande paire de pistolets à percussion de présent, pour le Moyen Orient ou l'Afrique du Nord, longs canon brunis, gravés de nuées et de fleurons, méplats dorés sur le dessus, culasses dorées et gravées, longueur 35,5 cm, calibre 15,5 mm ; queues de culasses gravées et dorées ; platines avant gravées d'arabesques, signées : “LEPAGE MOUTIER ARQR DU ROI” ; belles garnitures en laiton doré, découpées, gravées et ciselées de nuées, fortes calottes à longues oreilles ; crosses en noyer à fûts longs sculptées de feuillages et ornées de pastilles émaillées à la manière des tufenks turcs, pièces de pouce en laiton doré, découpées, les canons sont fixés à l'aide de clavettes à tiroir, sur fond d'argent ; baguettes en bois fruitier à embout de laiton ; longueur totale 53,5 cm. (Manquent neuf pastilles sur l'un des pistolets ; une tête de vis de contre-platine accidentée). Époque, France, Paris, probablement pour la Turquie, Louis-Philippe. Très bon état.

Excellent sabre wakizashi à lame avec marque de polissage, hamon ou trempe d'origine clairement visible. Koshirae (garniture, garde et fourreau) d'origine. Tsuka ou poignée recouverte de peau de requin ou de galuchat, avec ito en soie noire. Tsuba ou garde-main en fer noir. Saya ou fourreau laqué avec quelques défauts. Conserve le Kogatana (petit couteau placé dans la garde). Japon, XVIIe-XVIIIe siècle. 61,5 cm de long sans le fourreau.

Excellent sabre wakizashi à lame avec marque de polissage, hamon ou trempe d'origine clairement visible. Koshirae (garniture, garde et fourreau) d'origine. Tsuka ou poignée recouverte de peau de requin ou de galuchat, avec ito en soie noire. Tsuba ou garde-main en fer noir. Saya ou gousse d'une époque plus tardive. Japon, XVIIe-XVIIIe siècle. 64 cm de long sans le fourreau.

Croix de commandeur de l'ordre de la Légion d'honneur en or, émaillée, centres en or en deux pièces, poinçon à la tête d'aigle ; diamètre 60 mm, poids brut 46,7 g ; présentée avec sa cravate, dans un écrin de la maison : “Louis AUCOC Fils Georges AUCOC Succr fabricant joaillier bijoutier 9, rue du 4 Septembre Paris”. (Deux petits manques aux émaux rouges de la bélière ; léger fêle sur une branche au revers). Époque Second-Empire. Très bon état

Croix de chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur, demi-taille, en argent, émaillée, modèle Restauration modifié probablement aux Cent-jours ou au Second-Empire ; elle est présentée dans un cadre ovale en laiton ciselé et doré et posée sur un fond de velours grenat entouré de la dédicace : “A. RÉGNIER. 18 JUILLET 1783 - 21 7BRE 1836” ; diamètre 25,5 mm. (Petits manques à l'émail bleu du centre). Époque Restauration, Second-Empire (?). Bon état

Sabre briquet du type de la Garde impériale, pour la Garde nationale Poignée recouverte de cuir avec filigrane. Monture en laiton, garde à une branche. Remontée avec une lame de Solingen, gravée et bleuie au tiers. Vers 1830. A.B.E. SF. (remontage)

Bijou de rose croix. En argent en forme de croix rayonnante sous couronne. Centres églomisés décorés de la croix et du pélican. A l'avers, branches, rayons et couronne sont sertis de pierres du Rhin et verroteries taillées à facettes. A.B.E. 1ere partie du XIXe siècle