Objets de vitrine

RARE NÉCESSAIRE DE VOYAGE PAR BIENNAIS, ATTRIBUÉ À JOSEPH PONIATOWSKI - Nécessaire de voyage en acajou de forme ovale, à deux poignées latérales rentrantes épousant la courbe du corps, incrusté de laiton doré présentant un décor aux formes géométriques et lignes entrecroisées, le couvercle bordé d’un quart de jonc et orné au centre d’un écu gravé du monogramme entrelacé “JP” attribué à Joseph Poniatowski (1763-1813), et d’une frise de losanges et de pastilles alternés, entre deux filets. Intérieur en acajou massif comportant plusieurs étages d’accessoires de voyage : 1) Premier niveau : Pièces en argent (toutes poinçonnées au 1er coq, Paris, 1798-1809) : - une chocolatière cylindrique couverte à manche vissé droit, le couvercle à doucine bordé d’une frise de palmettes, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - une tasse couverte cylindrique à anse plate moulurée, le couvercle percé d’une frise d’étoiles dans la doucine et bordé d’une frise de palmettes, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - une deuxième tasse couverte, de même taille et de même forme que la précédente, mais le couvercle non percé. - dans cette tasse s’emboîte, gainée de moire verte, un élément cylindrique en deux parties, celle du bas vissée, faisant office de sucrier, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - un élément cylindrique à couvercle à doucine, bordé d’une moulure d’écaille servant de boîte à thé, orfèvre : Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811. - un deuxième élément cylindrique en deux parties vissées, celle du haut formant encrier de voyage, celui du bas formant sablier. - une mentonnière, orfèvre : JBP un lion debout à gauche une étoile. - deux paires de flacons en cristal taillé montés vermeil (sans poinçon), gravés de frises de guirlandes, l’un de la première paire portant son étiquette d’origine «Eau de miel» : H. 8,1 cm (col de l’un accidenté avec un manque) ; pour la deuxième paire : H. 8,5 cm (l’un sans bouchon intérieur et avec un petit éclat au col). - trois éléments cylindriques en ébène : l’un à couvercle vissé dégageant une tige de trois porte-bobines de fil, et bouton tourné obturant un porte aiguille (?), L. 7,1 cm, D. 2,1 cm ; et deux petits étuis cylindriques couverts, L. 6,3 cm. - un bain d’oeil en vermeil en deux parties vissées, celle du bas formant entonnoir, orfèvre : IB un coeur en sautoir. - un bassin ovale en argent simplement mouluré. En acier : deux tire-bottes, une paire de ciseaux, un tire-bouchon, un crochet à gants et une boucle. 2) Deuxième niveau sous le bassin : - une paire de coupelles les bords évasés en argent uni (1798-1808), orfèvre : LFD un croissant pour l’un, et Marie Joseph Gabriel GENU, reçu maître en 1788, retiré en 1811 pour l’autre. Poids total : 152 g. - deux couverts de table en vermeil (1798-1808), à filets, orfèvre : Pierre Nicolas SOMME, reçu en 1760, biffé avant le 30 septembre 1806. - deux cuillères à café en vermeil (1798-1808), orfèvre : Jean Antoine ALAZARD, reçu en 1787. Poids de l’ensemble : 305 g. - un rasoir, la lame marquée ‘Anderson London’. - un autre rasoir rapporté, à manche ovale, médaillon et extrémité argent, gravé ‘Jles Guillon’. - un poinçon, la prise en forme de tonneau. - deux poignées en fer ciselé. 3) Troisième niveau : - un petit couteau à virole, bouterolle et écu argent, lame ronde. - un compas en argent, poinçon ouvrage étranger de petite garantie, avant 1809. - une brosse à dents en vermeil (sans poinçon), bordée d’une frise double. - un mètre pliant double-face gravé d’un côté en centimètres et de l’autre côté en inches. - un tire-ligne avec une extrémité de rechange. - un tournevis, manche en bois. - deux « grattoirs » tournés. - un cure-oreille portant à une extrémité trois cure-dents repliables. - pierre à aiguiser dans son étui en maroquin rouge au petit fer et médaillon argent, signé « Biennais au singe violet ». - un petit canif en écaille à deux lames et extrémité acier. - une pince à épiler en vermeil (sans poinçon). - un crochet de ceinture en vermeil (1798-1808), orfèvre IB, L. 4,4 cm. - un lève-langue. 4) Plateau du fond : grâce à un mécanisme secret, un dernier espace dissimulé s’ouvrant en dévissant partiellement la charnière permet de ranger des pièces de 20 et 50 francs ainsi que des billets ou lettres (malheureusement vide). 5) Dans le couvercle vient s’incruster un miroir (vitre manquante) pouvant être utilisé soit posé grâce à son chevalet, soit suspendu grâce à un anneau mobile. Très bon état, quelques accessoires manquant ou remplacés. Avec sa clé trèfle. Époque Premier Empire, avant 1809. Poinçons au 1er coq pour Paris, 1798-1809. Par Martin-Guillaume BIENNAIS (1764-1843), Au Singe Violet, Paris. Signature sur la tranc

GUEUZE "MERLO" Plaque émaillée publicitaire des Brasseries Merlink S.A Dim. : 42 x 24,5 cm. Manque avec éclats d'émail, oxydations, état d'usage FRAIS REDUITS POUR CE LOT 11,9% HT SOIT 14,28% TTC

France Eventail XIXe - EVENTAIL XIXème siècle, monture en nacre ajourée à décor d'un putto, panier et fleurs dans des entrelacs dorés. Feuille peinte sur velin à décor de scènes romantiques en extérieur, signé Dunzel, conservé dans une boîte cartonnée et tissus de chez Duvelleroy à Paris Décoration de fleurs au dos L: 62 cm H: 33 cm

Paire de miroirs - dans leurs cadres en bois doré à décor palmettes aux angles. Petits éclats. Début du XIXe siècle, miroirs postérieurs. H. 86 x L. 71 cm.

Cuiseur à oeufs (œufrier) - à base ovale en tôle laquée jaune imprimée de scènes pastorales de style Troubadour sur les deux faces, muni de deux anses à la grecque. Intérieur muni de six compartiments à oeufs à la coque. Usures. Époque Restauration ou fin de l’Empire. H. 24,5 x L. 25,7 cm.

Ensemble de 15 sulfures en verre - ou boules presse-papier, à décor de fleurs polychromes dit mille-fleurs ou millefiori. Certaines signées. Probablement Murano, Baccarat, Clichy ou autres manufactures de prestige Diamètre : 5 à 8,5 cm environ

DUNHILL - Cave à cigares ATTENTION : Le retrait de ce lot se fera sur rendez-vous impératif, le vendredi 3 mai ou le mardi 7 mai 2024 dans le 19ème arrondissement (Métro : Crimée). Local situé en rez-de-chaussée. Enlèvement à la charge des acquéreurs : prévoir des moyens de manutention pour les meubles. [L'adresse exacte vous sera communiquée après entier paiement du bordereau, lors de la prise du rendez-vous]

Entourage de Carlo VANDI (1700-1768), d’après Pierre SUBLEYRAS (1699-1749). - Portrait du pape Benoit XIV (1740-1758). Miniature ovale peinte sur cuivre, représentant Prospero Lambertini (1675-1758) en buste. Dans un cadre ovale en bois doré surmonté de ses armoiries. Milieu du XVIIIe siècle. H. 16,5 x L. 13,5 cm (à vue). H. 29,5 x L. 17,5 cm (cadre). Oeuvres en rapport - Pierre Subleyras, Portrait en buste du pape Benoit XIV, 1746, Metropolitan Museum, New York, inv. 2009.145 (ill. 1). - Carlo Vandi, Portrait en buste du pape Benoit XIV, XVIIIe s., Museo di Palazzo Poggi, Bologne (ill. 2).

Commode et armoire vitrine en acajou Pieds en patte de lion. Epoque Empire H. 88 L. 131 P. 61 et H. 214 L. 120 P. 47

Stylo-plume DUPONT Montparnasse en métal argenté et doré. Plume en or 18 K? Remplissage à cartouche. Avec écrin. ATTENTION : Le retrait de ce lot se fera sur rendez-vous impératif, le jeudi 2 mai ou le lundi 6 mai à Versailles (RER : Versailles Château Rive Gauche). Appartement situé en étage, avec ascenseur. Enlèvement à la charge des acquéreurs : prévoir des moyens de manutention pour les meubles. [L'adresse exacte vous sera communiquée après entier paiement du bordereau, lors de la prise du rendez-vous]

Assiette légèrement creuse en faïence fine, - estampillée au centre du monogramme bleu MC sous couronne de Princesse du Sang de la princesse Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, duchesse du Berry. Bon état, légères usures. Manufacture de Choisy-le-Roi, époque Restauration. Marque en creux au revers. D. 24,6 cm. Provenance Service des Offices de la Maison de S.A.R. Madame la Duchesse de Berry.

LOUIS XVI, ROI DE FRANCE (1754-1793) - Gravure à l’eau-forte titrée “Le sacre de Louis XVI. Estampe allégorique”. Par Louis-Joseph MASQUELIER (1741-1811) et François Denis NEE (1732-1817), d’après Charles MONNET (1732-1817). Non signée. Annotation “Champagne n°1” en bas à droite. Encadrée. H. 42,4 x L. 30,2 cm (à vue). H. 49 x L. 36,8 cm (cadre). Oeuvre en rapport Louis-Joseph Masquelier (1741-1811) et François-Denis Née (1732-1817), d’après Charles Monnet (1732-1817), “Allégorie gravée à l’occasion du Sacre de Louis XVI”, 1774, Bibliothèque nationale de France. Historique Louis-Joseph Masquelier, né dans le Nord de la France, s’installe à Paris pour se perfectionner dans l’art de gravure dans les ateliers de Jacques-Philippe le Bas. Là-bas, il fait la rencontre de François-Denis Née, de qui il deviendra très proche et avec qui il collaborera tout au long de sa vie professionnelle. Le 11 juin 1775, Louis XVI est sacré roi en la cathédrale de Reims, suivant la tradition remontant à l’époque de Pépin le Bref. Sur l’estampe, le futur Roi Louis XVI va s’unir à la France, représentée sous les traits de Marie-Antoinette. Il est amené vers elle par Minerve, déesse de la sagesse. Il est accompagné de pairs du royaume, vêtus de pourpre et d’hermine. Pour sa part, Louis XVI porte le manteau bleu caractéristique du sacre doublé d’hermine. Par le sacre, le roi de France devient un évêque laïc. La figure de la Religion observe la scène depuis les cieux, tenant un calice, sans doute rempli du vin de la communion, réservé aux prêtres et au Roi lui-même uniquement. Cette figure assoit la légitimité du roi en le présentant comme le digne représentant du royaume selon la volonté de Dieu.

SÈVRES - Médaillon en biscuit de porcelaine blanc sur fond bleu façon Wedgwood au profil gauche du prince de Joinville, François d’Orléans (1818-1900), fils du roi Louis-Philippe, légendé avec en bas sa date de naissance “1818”. Dans un cadre rond en bois noirci. Légère usure. Époque Monarchie de Juillet. D. 10 cm (à vue).

LOUIS XVIII, ROI DE FRANCE (1755-1824) - Médaillon en biscuit de porcelaine dure façon Wedgwood figurant le profil gauche de Louis XVIII, roi de France et de Navarre, en blanc sur fond bleu. Dans son cadre rond en bois noirci avec cerclage en laiton doré ciselé. Signé sur la tranche de Brachard l’aîné (actif de 1766 à 1846). Manufacture royale de Sèvres, circa 1817. D. 8 cm (à vue). D. 12,3 cm (cadre).

Cadran solaire en ardoise de forme octogonale - gradué surmontée du proverbe latin “Vulnerant omnes ultima necat”, gravé d’armoiries. Petits manques. XVIIIe siècle. D. 33 cm. Historique “Vulnerant omnes ultima necat. Toutes blessent, la dernière tue. Il s’agit des heures, évidemment. C’est écrit dans le marbre, ou sur la pierre, sous les cadrans solaires. Comme tout ce qui est gravé en latin, la formule s’impose, et semble d’autant plus vraie qu’elle intime l’humilité, paraît indiscutable en vertu même de sa sévérité – les hommes croient toujours aux messages qui leur disent qu’ils ne sont que poussière.” (Philippe Delerm, La vie en relief, Seuil, 2021, p. 222).

Giovanni Battista PIRANESI (1720-1778), dit Piranèse. - “SCENOGRAPHIE CAMPI MARTII veterum aedificiorum reliquias ostendens e ruderibus nostrique aevi aedificijs exemptas cum ejusdem Campi celebrorium monumentor congerie”, planche II de la suite “Campo Marzio dell’Antica Roma”. Eau-forte, circa 1762 (taches). Dans un grand cadre en bois noirci et doré. H. 50 x L. 100 cm (à vue). H. 73 x L. 121 cm (cadre).

Deux sceaux à cacheter. - L'un ART NOUVEAU signé Clem en métal gravé de fleurs, matrice vierge. - Le second en corne matrice à intaille de blason. On y joint deux bâtons de cire rouge et une boîte d'encre couleur or

Rafraîchissoir - à verres en cristal moulé et taillé gravé du monogramme entrelacé L.P. du roi Louis-Philippe (1773-1850) sous couronne royale, à décor sur la partie basse d'une frise à pans coupés, gravée de l'initiale “T” pour Tuileries. Bon état, légères usures. Époque Monarchie de Juillet. H. 9,6 x D. 10,8 cm. Provenance Service du roi Louis-Philippe au château des Tuileries.

Eventail à monture en nacre dorée et argentée. Le panache ajouré. La feuille en soie à décor d'un cartouche central dans lequel figure une scène galante et de cartouches latéraux aux attributs de la musique. Le fond à décor de guirlandes florales et de perles brodées. Fin XVIIIe Hauteur du panache: 27 cm Dans une boite en bois doré (un noeud accidenté). ATTENTION : Le retrait de ce lot se fera sur rendez-vous impératif, le vendredi 3 mai ou le mardi 7 mai 2024 dans le 19ème arrondissement (Métro : Crimée). Local situé en rez-de-chaussée. Enlèvement à la charge des acquéreurs : prévoir des moyens de manutention pour les meubles. [L'adresse exacte vous sera communiquée après entier paiement du bordereau, lors de la prise du rendez-vous]

MÈCHE DE CHEVEUX DE CHARLES EDWARD STUART (1720-1788), DIT BONNIE PRINCE CHARLIE - Enveloppe inscrite “Cheveux de / Charles Edouard” d’un côté, et de l’autre “à Madame / La Marquise de Scoraille / avec le souvenir affectionné / de Caroline Lovett”, contenant une mèche de cheveux noué sur un papier plié inscrit en anglais : “Hair of the / Prince Charles Edward / 1745 / Given by the Prince to Flora Macdonald / whose grand-nièce / Mrs Helen Macdonald / gave a portion to / Mrs Lovett”. L. 11,5 cm (enveloppe). Provenance - Donné par le Prince Charles Edouard Stuart (1720-1788) à Flora MacDonald (1722-1790), héroïne jacobite. - Puis à sa grande-nièce Helen MacDonald. - Donné à Caroline de Beelen-Bertholff (c. 1831-?), épouse de George Lovett en 1850. - Donné à Jeanne-Reine dite Amélie de Scorrailles-Chanterelle (1815-1894), marquise de Scorrailles-Langhac. - Puis par descendance.

CARTIER Paris - Verre à pied ou coupe à champagne en argent ornée des trois anneaux de différentes couleurs entrelacés, le fût à tige reposant sur une base formant un disque. Modèle Trinity Poinçon d'argent 925 (925°/°°) et poinçon Cartier Paris Poids : 184 grammes H : 21 cm

Lalique France, tête d épervier, mascotte en verre moulé-pressé opalescent, signée « Lalique France », base en marbre vert (h: 7cm sans la base)

Paire de papiers peints pour des bas-lambris, - marouflés postérieurement sur toiles, à décor d’une frise figurant des putti au centre de cornes d’abondance affrontées et d’urnes de style antique dans un camaïeu ocre imitant le bronze doré sur un fond gris veiné imitant le marbre. Petits manques. Époque Empire. H. 54 x L. 123 cm.

FRANCE - Croix de guerre 1914-1916 en bronze, avec son ruban d’origine à deux étoiles et quatre palmes se terminant par un ruban à noeud. L. 3,7 cm

Lot de huit boîtes différentes. Porcelaine, verre, agate (usée) et laiton. Plus une broche Limoges avec une scène galante. H : jusqu'à 12 cm.

Sceaux ou cachets anciens - "Jeanne d'Arc" Ensemble comprenant : Un sceau ou un cachet en bronze doré représentant Jeanne d'Arc debout en prière, matrice non monogrammée H : 9,5 cm Un sceau argenté à décor du profil de Jeanne d'Arc, fleurs de lys, épée, matrice monogrammée On y joint : Un sceau en argent à décor de fleurs, monogrammé Un sceau en bois et laiton, monogrammé AS Un sceau ou petit buste en bronze doré sur socle en onyx, H : 9 cm Une matrice en bronze Une matrice en bois sculpté en léger relief d'une pièce de monnaie Louis XIV Une matrice en bois sculpté d'une carte à jouer (?) représentant un homme à l'antique tenant une flèche

Frédéric Guillaume III de Hohenzollern (1831-1888) - Buste en terre cuite polychrome figurant l’empereur d’Allemagne et roi de Prusse Frédéric III en uniforme arborant notamment la croix de l’Ordre du Mérite et la croix de Fer. Signé au dos Deponirt (“déposé”). Allemagne, milieu du XIXe siècle. H. 10 cm.

Cave à parfum et flacons - en cristal taillé et doré. On y joint une cave à parfum composée de trois flacons réunis par une monture à décor de cabochons de pierres violettes et personnages. En tout, huit flacons à parfum. Début du XIXème siècle, circa 1820-1830 L max : 19 cm Cave H : 8 cm (certains bouchons rapportés)

NORVÈGE - Croix de chevalier à titre militaire de l’Ordre de Saint-Olaf, en or (750 millièmes) et émaux, avec son ruban. Légers éclats à l’émail. Poids brut : 17,0 g. L. 4,5 cm.

Importante collection de flacons de parfum miniatures

École française d’époque révolutionnaire. - “Louis XVI, le dauphin, la reine. 1789” Dessin original à la plume. Encadré. Étiquette manuscrite collée en dessous du dessin : “Curieux médaillon dessiné à la plume et reproduit en gravure lors de la réunion des États Généraux”. H. 19,5 x L. 15,3 cm (à vue). H. 22,7 x L. 18,2 cm (cadre). Oeuvre en rapport Anonyme, “Le Roi Louis XVI, la Reine et le Dauphin”, 1792-1794, eau-forte éditée chez les frères Kléber, Bibliothèque nationale de France. Historique Il est rare de trouver cette composition en dessin, tant la gravure est connue ; elle représente le roi de France Louis XVI, la reine Marie-Antoinette et leur fils Louis-Charles de France, tous de profils à droite et insérés dans un médaillon surmonté d’une couronne de laurier et d’ornements. En dessous du médaillon est joint un cartouche avec la date de réalisation inscrite à l’intérieur (1789). Ce dessin servira de modèle pour de nombreuses gravures réalisées à la gloire de la monarchie, élevant au rang de martyrs les trois personnages.

D'après Jules MOIGNEZ (1835-1894). Lézard. Epreuve en régule, signée en creux sous la base. XXème siècle. 3 x 14 cm (accident au bout de la queue).

Charles Schneider (1881-1953) coupe ronde sur piédouche, en verre multicouche à fond marbré jaune et violet, signée "Schneider" (7.5x33 cm)

FAMILLE ROYALE DE FRANCE - Gravure séditieuse à l’eau forte titrée “Saule Pleureur”. Par Jean-Dominique-Etienne CANU (1768-1844), après 1793. Lettre de l’estampe présente en bas de l’image : “Saule Pleureur. 1. Louis XVI. 2. La Reine. 3. Le Dauphin. 4. Madame 1ere. 5. Madame Elisabeth.” Dans un cadre en bois noirci. H. 24,3 x L. 15 cm (à vue). H. 30 x L. 20,5 cm (cadre).

ÉCOLE FRANÇAISE D’ÉPOQUE CONSULAT. - Carte titrée “Tableau d’un projet de cantonnement de l’Armée du Rhin au moment de sa rentrée sur le territoire de la République”, représentant l’arrondissement des divisions de l’armée et les différents régiments (infanterie de ligne, infanterie légère, cavalerie, chasseurs, dragons et hussards). Encre et aquarelle sur papier, avec paraphe du Ministre de la guerre Louis-Alexandre Berthier. H. 45,5 x L. 67 cm (à vue). H. 61 x L. 82,5 cm (cadre). Provenance - Ancienne collection Jean Rossignol. - Sa vente, “Collection Jean Rossignol”, Artcurial, 13 décembre 2005. - Collection privée, Paris.

Paire de portraits gravés en médaillon du couple impérial, - l'empereur Napoléon Ier en buste de trois quarts gauche et l’Impératrice Joséphine en buste de trois-quarts droit. Dans une paire de cadres en métal doré à frises perlées. Début du XIXe siècle. D. 5 cm (à vue) ; D. 7,3 cm (cadres).

Gallé, Ets, vers 1900, vase "balustre", en verre multicouche à décor dégagé fleuri, parme, sur fond orangé, signé sur le pied (70x18 cm)

CHINE, Fin XIXème, début XXème siècle - Collection de 16 tabatières ou bouteilles à priser, en verre églomisé, le décor polychrome peint à l'intérieur figurant personnages, animaux et paysages. H : 5,5 à 10 cm

NAPOLÉON IER, EMPEREUR DES FRANÇAIS (1769-1821) - Statuette en bronze à patine brune figurant Napoléon Ier en uniforme les bras croisés, coiffé du bicorne, sur un socle en bois gravé postérieurement d’un texte en allemand “Ich habe daß gewollt”. Légères usures. Seconde moitié du XIXe siècle. H. 25,5 cm.

Trois oeufs d'autruche ATTENTION : Lot à retirer à notre garde-meuble à Saint-Ouen, le 30 avril

Schneider, France, XXe, vase "cratère" en cristal bullé (24.5x21 cm) / On y joint : (x1) sujet animalier en verre moulé dépoli figurant (x1) hibou + (x1) cendrier "fleur", dans le goût de S.Agudo, vers 1960-1970

Gustav RICHTER (1823-1884), d’après. - Portrait de la reine Louise de Prusse (1776-1810) Lithographie avec rehauts de pastels, à vue ovale, dans un cadre rectangulaire en bois surmonté d’une couronne royale en relief. Cadre avec rayures et défauts aux angles. Inscription à l’arrière du cadre : “La reine Louise de Prusse” inscrit au crayon. Seconde moitié du XIXe siècle. H. 38,8 x L. 32,3 cm (cadre).

Lot de 6 figurines en plomb polychrome provenant de diverses séries comprenant : - - Bonparte Ier Consul à cheval sur son socle. Inscription “Bonaparte 1803” au revers. - Napoléon Ier en pied sur son socle. - Le Maréchal Ney en pied sur son socle. Signé “Ernst Veingart”. - Un sergent grenadier de la Garde en pied. Signé “Starlux”. - Le Maréchal Murat en pied. Signé “Ernst Veingart”. - Le Maréchal Lannes en pied. Signé “Ernst Veingart”. H. 6,3 à 8,6 cm.

Neuf cadres miniatures. Divers, en partie sous verre. H : jusqu'à 24 cm.

Ecole du XIXème et XXème siècle - 9 miniatures comprenant scènes galantes, portraits de femme (huiles sur carton), intérieurs de tavernes dans le goût Hollandais du XVIIème siècle, et divers à découvrir ! Cadres : 15 x 15 cm environ

Réunion de quatre sujets en porcelaine émaillée: un ange formant bénitier (restauré, H: 19cm), un oriental (un fêle, H: 11 cm), une poissonnière (restauration, H: 13cm) et un buste d'ange accoudé (6x6x5cm)

Eagle Pencil Co., New-York. Porte-plume en métal argenté à décor torsadé, la plume en métal doré. Porte les mentions gravées "Pat. April 29 1890". Long : 12.2 cm (accident au capuchon ; en l'état).

Six miniatures. Fin 19e s. Gouaches, un portrait en porcelaine ainsi qu'une gemme. H : jusqu'à 9 cm ; cadre, argent, laiton et bois, jusqu'à 15 cm. Partiellement endommagé.

Lot divers en vrac dont nécessaire de cheminée avec écrans. 1 caisse (non fournie).

Deux miniatures. 18e/19e s. Plaque en porcelaine, probablement partie d'un coffret avec chinoiseries, ainsi que couvercle d'une tabatière en émail avec scènes galantes dans un paysage. L : jusqu'à 14 cm.