Bijoux

Sertis dans des bagues, boucles d’oreilles, bracelets, colliers, pendentifs, broches ou épingles, l’éclat de ces gemmes se révèle dans les ventes aux enchères en ligne de bijoux et pierres précieuses.
Tiffany’s, Cartier, Boucheron, Dior, Chaumet, Van Cleef & Arpels, Harry Winston ! … ces marques de luxe font rêver et “Diamonds are a girl’s best Friend” (Les diamants sont les meilleurs amis d’une femme) comme chantait Marylin Monroe. Emeraudes, saphirs et rubis le sont aussi.
Si les diamants sont éternels, colliers de perles et sautoirs s’offrent aujourd’hui dans ces ventes Live et ventes online lors d’enchères luxe de Bijoux & Pierres précieuses, et tout particulièrement les perles fines de plus en plus rares, qu’il s’agisse de créations de joailliers ou de bijoux vintage.
Ces billes nacrées aux irisations crémeuses et rosées le disputent aux pierres fines : améthystes pourpres, aigues-marines bleu lagon, grenats couleur rouge sang, pierre de lune azurées et opales iridescentes. Mais sur Drouot.com les ventes aux enchères de joaillerie ne font pas seulement le bonheur des dames. Allure et parure se conjuguent aussi au masculin, notamment avec d’élégants boutons de manchette. Retrouvez sur Drouot.com les plus belles ventes aux enchères en ligne de bijoux à Paris, dans toute la France et à l’étranger (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, etc.)

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Lots recommandés

BRAQUE (Georges). Verve, vol. VII, n° 27 et 28. Paris, Tériade, 1953. Grand in-4, cartonnage de l'éditeur illustré d'une lithographie originale de Braque. Nombreuses illustrations en noir et en couleurs, dont des lithographies originales de Georges Braque (2), Henri Matisse (3 dont 1 sur double page), Henri Laurens (2), Alberto Giacometti (2), André Masson (3 dont 1 sur double page), Fernand Léger (3 dont 1 sur double page), Miro (3 dont 1 sur double page), Borès (2), Gromaire (2), Marc Chagall (7 dont 1 sur double page). Textes de Alberto Giacometti, Albert Camus, Jean-Paul Sartre… Dos légt jauni, lég. rousseurs éparses sur la couv., qqs petites rousseurs par endroits à l'intérieur. On y joint : - N°31-32 (vol. VIII) de la Revue Verve consacré à BRAQUE. 1954-1955.In-4 cartonnage éd. Double numéro entièrement consacré à Braque, illustré de 12 lithographies en couleurs, dont une à double page, de 8 héliogravures et de 132 illustrations en noir : reproductions de dessins inédits extraits des carnets de travail de Braque ; la couverture a été spécialement composée par l'artiste.Édition originale des textes de Will Grohmann, Antoine Tudal et Rebecca West. - Verve n°2. Printemps 1938. In-4 broché, couverture de Georges Braque. Textes de Georges Braque, Pierre Reverdy, André Gide, André Malraux, James Joyce, Ernest Hemingway, André Suarès, Georges Bataille, Henri Michaux et Roger Caillois. Lithographies (reproductions) de Kandinsky et André Masson. État moyen, couv. piquée avec qqs lég. salissures, manques de papier au dos, rousseurs intérieures.

Estim. 900 - 1 000 EUR

FRANCISCO DE PAULA DÍAZ Y CARREÑO (Séville, 1836 - Madrid, 1903). "Portrait d'Isabelle II, 1853. Huile sur toile. Présente l'étiquette au dos de la Commission de saisie et de protection du patrimoine artistique. Provenance : Général Narváez. Signé et daté en bas à droite. Dimensions : 63 x 53,5 cm ; 73 x 62,5 cm (cadre). Cette œuvre suit le modèle officiel de la reine Isabelle II, établi par Federico de Madrazo y Kuntz. L'œuvre s'inspire de la version de Madrazo exposée à l'ambassade d'Espagne à Rome, bien que, dans ce cas, seul le buste de la reine soit visible. L'œuvre originale montre une jeune Élisabeth II d'une vingtaine d'années vêtue d'une luxueuse robe de cour en satin bleu ornée de volants de dentelle et de perles. La reine, dont les cheveux sont coiffés en deux bandeaux sur le visage et rassemblés sur la nuque, porte une spectaculaire couronne en forme de poire, composée de diamants et de perles, à laquelle est épinglé un délicat voile de dentelle. Le décolleté, large et généreux, laisse apparaître ses épaules et est orné d'un splendide collier de perles. La galanterie et la solennité que la protagoniste parvient à transmettre, ainsi que les détails délicats de la peinture, ont fait de cette œuvre de Madrazo l'une des plus reproduites et copiées, atteignant ainsi une grande renommée et une grande diffusion. Francisco de Paula Díaz a étudié le droit entre 1852 et 1859. Pendant cette période, Díaz Carreño combine ses études de droit avec le dessin et la peinture à l'Escuela Superior de Pintura, Escultura y Grabado de la rue Alcalá. Pendant ces années d'apprentissage, il travaille dans l'atelier privé de Federico de Madrazo et participe, avec un tableau, à la première Exposition nationale des beaux-arts en 1856, alors qu'il est encore un étudiant de 19 ans. Dans le catalogue de l'exposition, Díaz est reconnu comme un disciple de Federico. Díaz Carreño ne participe pas aux deux expositions nationales suivantes, en 1858 et 1860, bien qu'il poursuive ses études artistiques jusqu'en 1861. Il s'installe alors à Rome, grâce à une bourse accordée par Isabelle II pour y étudier pendant deux ans. Il revient à Madrid en 1864. Après la mort de son père, il perd une partie de sa position sociale aisée et est contraint d'augmenter ses revenus en vendant de petites peintures de genre et des copies de maîtres anciens réalisées au musée du Prado. Ses dessins, aquarelles et lithographies scientifiques constituent une autre source de revenus, et il est possible qu'il ait participé, dans l'atelier de Federico de Madrazo, à l'exécution de certaines des répliques des portraits officiels réalisées par ce dernier. L'œuvre porte au dos une étiquette de la Junta de Incautación y protección del patrimonio artístico (Conseil de saisie et de protection du patrimoine artistique). Provenance : Général Narváez.

Estim. 5 000 - 6 000 EUR