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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
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Lots recommandés

1958 Ferrari 250 LWB California #1057 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 1057 GT · Certifiée par Ferrari Classiche · Restauration de très haut niveau, par les meilleurs artisans italiens · Douzième exemplaire produit, historique connu · Un des plus beaux cabriolets de l’Histoire de l’Automobile · Sans réserve En décembre 1958, l'importateur Ferrari aux États-Unis, Luigi Chinetti, reçoit dans son magasin de New-York cette splendide Ferrari 250 GT Spyder California. Une véritable nouveauté puisque la production n'a démarré que quelques mois plus tôt et, pour Chinetti, une satisfaction puisqu'il s'agit d'un modèle que, avec John von Neumann (pilote Ferrari californien), il a réclamé au constructeur de Maranello. Et c'est lui qui a imaginé l'appellation "California". D'ailleurs, la voiture qui arrive chez lui est le douzième exemplaire produit, prototype compris. Elle ne tarde pas à être vendue à un premier acheteur new-yorkais, Robert Gumper, qui va la conserver une décennie avant de traverser le pays en 1970 pour rejoindre son deuxième propriétaire, Robert Ramlose, en Californie. A partir de 1974, la voiture est entreposée avant d'être achetée par un amateur australien qui la garde jusqu'en 1988. Elle est ensuite exportée en Allemagne où elle connaît quatre propriétaires successifs et, en 2003, est vendue à un collectionneur français qui la fait immatriculer en Angleterre. C'est en 2011 que l'actuel propriétaire en fait l'acquisition, par l'intermédiaire de Lukas Hüni. Il est alors estimé que cette 250 GT Spyder, qui se présente de teinte rouge avec intérieur noir, a été restaurée au moins deux fois par le passé. Comme son état n'est pas exempt de reproches, son nouveau propriétaire décide une remise en état complète, avec mise à nu de la carrosserie. Il confie la responsabilité du projet aux meilleurs artisans italiens situés autour de Modène : Toni Auto, atelier situé juste en face de l'ancienne entrée de Ferrari (via Abertone Inferiore à Maranello) et fondé en 1975 par le regretté Franco Toni, ancien mécanicien au département course de Ferrari. Son fils a pris la relève et la famille met aujourd'hui son expérience au service des plus grands collectionneurs de Ferrari. L'ensemble châssis/carrosserie est envoyé à l'atelier Brandoli, entreprise familiale ouverte en 1980 par Egidio Brandoli, ancien responsable de la section restauration chez Scaglietti. La coque est soigneusement débarrassée de sa peinture et laisse place à un ensemble très bien préservé pour une voiture de plus de 50 ans. Les rares défauts trouvés à l'arrière sont rectifiés dans les règles de l'art et les panneaux sont ajustés pour présenter un parfait alignement, comme il sied à une voiture de ce niveau. Elle est ensuite envoyée à la Carrozzeria Cremonini, à Lesignana dans les faubourgs de Modène, pour recevoir sa peinture en plusieurs étapes qui s'achèvent par une finition à la main. La teinte d'origine n'étant pas connue, le propriétaire choisit le "“Canna di Fucile”, code 106-E-8, qui se révèlera un excellent choix pour souligner la ligne élégante de la voiture. La réfection de l'aménagement intérieur est confié à Luppi Tappezzeria, à Modène ; les baquets incorrects qui équipent la voiture sont remplacés par des sièges de la bonne spécification à dossiers inclinables et la sellerie est entièrement refaite en cuir Connolly beige, code VM3218, avec moquette assortie. Le volant Nardi est refait chez le fabricant, une capote neuve est réalisée et tous les instruments, accessoires et appareils électriques sont contrôlés et remis en état quand nécessaire. Du côté du moteur, il apparaît que le numéro d'origine a été effacé, ce qui suppose un remplacement. Un bloc neuf est donc coulé par Ferrari Classiche et frappé par l'usine du numéro de châssis de la voiture, avant d'être remonté avec le maximum de pièces d'origine vérifiées et refaites, à l'exception des chemises et pistons, remplacés par des neufs. La dernière phase de la restauration est effectuée chez Toni Auto où, après installation du faisceau électrique et ultimes vérifications, les fluides sont versés dans la mécanique et le moteur est mis en route, prenant vie dans l'émotion de ceux qui en ont assuré la restauration. Cette voiture a fait l'objet d'une certification Ferrari Classiche et, en plus de différents documents historiques, est accompagnée d'un livre illustré de photos, qui présente le détail de son histoire et de sa restauration. Son état impeccable correspond aux exigences de Staffan Wittmark qui est particulièrement sensible au design et qui bénéficie de par ses activités professionnelles, d'un regard esthétique particulièrement acéré. Dans son élégante teinte gris canon de fusil, cet exemplaire rend un magnifique hommage à ce modèle qui fait partie des plus mythiques d

Estim. 7 000 000 - 10 000 000 EUR

1967 Ferrari 330 GTS No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 10781 Moteur n° 10781 • Certifiée par Ferrari Classiche • Restauration complète de haute qualité par Cremonini, Toni Auto, RBBC, Maieli • Un des 99 exemplaires construits seulement • Cinq propriétaires connus depuis l’origine • Ex Greg Norman, légende australienne du golf • Sans réserve Par rapport à la 275 GTS à laquelle elle succède en 1966, la Ferrari 330 GTS (tout comme la 330 GTC, version coupé) affiche une calandre plus effilée rappelant la "Superamerica" et une mécanique plus aboutie. En plus d'un moteur de 4 L plus puissant (il développe 300 ch à 7 000 tr/mn), elle reçoit une transmission modifiée : la boîte-pont située à l'arrière est dorénavant reliée au moteur par le biais d'un tube de poussée, ce qui permet de réduire les vibrations et d'éviter les fréquents contrôles d'alignement de l'arbre de transmission. Elle garde bien entendu sa personnalité de voiture de grand tourisme sobre, élégante, rapide et confortable. Il s'agit sans doute d'un des cabriolets Ferrari les plus discrets, dont la ligne affiche une pureté rarement égalée. Une des caractéristiques de la voiture que nous présentons, un des joyaux de la Collection W, est qu'elle n'a connu qu'un nombre limité de propriétaires. Une autre originalité est d'avoir été vendue neuve aux États-Unis par le biais de Modern Classic Motors à Reno, au Nevada, la concession de Bill Harrah connu pour sa spectaculaire collection de voitures. Détail amusant, Bill Harrah est aussi à l'origine d'une version spéciale de la 330 GTS dotée d'un toit "targa" avec arceau, toit amovible et lunette arrière très effilée. Sorti d'usine en 1967, le présent Spider 330 GTS est le 72ème des 99 exemplaires produits. De couleur rouge avec intérieur en cuir noir, cette voiture est livrée neuve à son premier propriétaire, George Zenzefilis, de Camarillo (Californie), qui la garde cinq ans avant de la céder en 1972 à Robert Sengleman, de Westlake Village, également en Californie. Particulièrement attaché à sa voiture, celui-ci l'utilise pendant 18 ans, puis il la confie à Barrett-Jackson pour sa vente aux enchères de janvier 1990, en Arizona. Entre 1990 et 1995, elle est enregistrée à New York et appartient à Greg Norman, légende australienne du golf qui possède à l'époque une collection de Ferrari. A partir de 1995, elle est entre les mains d'un amateur californien dont l'identité reste confidentielle, et c'est grâce à l’aide de l’un de ses amis proches que notre collectionneur en fait l'acquisition en 2014. Il s'agit donc du cinquième propriétaire, nombre particulièrement limité pour une aussi longue période. La voiture avait alors 75 364 miles qui était probablement son kilométrage d’origine. Après son achat, cette voiture est envoyée en Italie et plus précisément à Maranello chez Toni Auto, entreprise ouverte en 1975 par Franco Toni, ancien mécanicien du service course de Ferrari ayant également travaillé au Garage Francorchamps, représentant belge de la marque. Silvano, fils de Franco, a rejoint son père et Toni Auto s'est bâti une solide réputation dans le domaine de la restauration de Ferrari. La 330 GTS leur est donc confiée pour une restauration complète. En bon état de préservation, la carrosserie est mise à nu par l’atelier RBBC, avant d'être envoyée à côté de Modène à la Carrozzeria Cremonini, autre atelier fort d'une solide expérience de restauration. La couleur choisie est "Blu Notte Metallizzato" (code M18943), un bleu nuit qui s'accorde parfaitement avec le magnifique dessin de la carrosserie et qui sera aussi la couleur choisie par Staffan Wittmark pour sa 330 GTC. Le châssis et les parties internes de carrosserie reçoivent comme il se doit une peinture noire satinée et tous les enjoliveurs chromés font l'objet d'un traitement particulier. Parallèlement aux opérations sur la carrosserie, Toni Auto se charge de la remise en état mécanique concernant moteur, transmission, suspensions, freins, direction et système électrique. Une fois tous les composants remontés, la voiture est envoyée chez Interni Auto Maieli, à Canedole di Roverbella, pour toute la partie sellerie. L'intérieur est entièrement refait avec du cuir Connolly Vaumol beige (code VM 3218), associé à une moquette bleu foncé et une capote neuve, en tissu noir. Un jeu de jantes Borrani RW 4039 à rayons chromés apporte la touche finale à la présentation exceptionnelle de cette 330 GTS, soigneusement vérifiée et mise au point par Toni Auto. Elle est accompagnée de son manuel d’utilisation dans sa pochette, et, comme toutes les voitures de la collection W, d'un dossier historique important, de sa certification Ferrari Classiche et d'un livre édité spécialement pour en présenter l'histoire et les photos des différentes étapes de la restauration. Spécia

Estim. 1 800 000 - 2 200 000 EUR

1973 Dino 246 GTS No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 03706 Moteur n° 8837 • Certifiée par Ferrari Classiche • Vendue neuve en France, où elle est restée jusqu’en 2013 • Restauration complète de haute qualité par Cremonini, Toni Auto, RBBC, Maieli • Mécanique entièrement d'origine • Rarissime GTS européenne • Sans réserve La Dino 246 GT est un véritable jalon dans l'histoire de Ferrari car il s'agit du premier modèle de série de la marque doté d’un moteur central-arrière. De plus, elle est désignée par le prénom "Dino" du fils d'Enzo Ferrari, mort prématurément en 1956 alors qu'il travaillait sur un projet de V6. En forme d'hommage, ce type de moteur a donc été ensuite désigné par son prénom. Le V6 de la Dino a la particularité d'avoir été fabriqué par Fiat. En effet, pour homologuer ce moteur pour la Formule 2, il était nécessaire d'en produire plus de 500 exemplaires par an, quantité supérieure aux capacités de l'usine Ferrari. D'où l'idée d'en équiper aussi une Fiat sportive, qui sera la Fiat Dino, dans une version moins puissante. Dans la Dino version Ferrari, ce V6 à 65° et quatre ACT commence sa carrière sous forme 2L pour la Dino 206 GT dévoilée en 1968. En plus de sa mécanique originale, cette petite berlinette présente une forme qui est un véritable chef-d'œuvre d'équilibre et de fluidité. Au Salon de Turin 1969 apparaît une version 2,4 litres, la 246 GT, qui permet au modèle d'atteindre sa maturité, avec plus de couple et de confort de conduite sur un empattement légèrement plus long. Et enfin, au Salon de Genève 1972 est présentée la 246 GTS dotée d'un toit amovible façon "targa", aboutissement de cette "petite Ferrari". La Dino 246 GTS de la collection W fait partie des tous premiers exemplaires produits car il s'agit de la neuvième des 1 282 Dino 246 GTS fabriquées entre 1972 et 1974. Sa teinte d'origine est "Rosso Dino" (code 20-R-350), avec un intérieur en vinyle noir (code 16). Elle est vendue neuve en France par l'intermédiaire de l'importateur Charles Pozzi à un M. Chazal, au nom de qui elle est immatriculée le 20 février 1973. Datant du 6 avril 1981, la deuxième immatriculation connue, 2476 EB 94, correspond au département du Val-de-Marne. Le 8 juillet 1988 elle change à nouveau d'immatriculation pour être enregistrée 146 WC 31 au nom d'un J. Meneghetti, en Haute-Garonne. En juillet 2013, cette voiture est retirée de la circulation et entreposée avant d'être cédée le 23 juin 2014, via Modena Sport, représentant officiel Ferrari et Maserati dans la banlieue de Toulouse, à Silvano Toni, de Maranello, la ville où se trouve Ferrari. Silvano Toni utilise alors sa propre entreprise, Toni Auto, pour se lancer dans une restauration complète de la voiture. Une fois toute la mécanique déposée, il confie la coque à RBBC, de Modène, qui en fait rectifier les défauts par un ancien tôlier de Scaglietti, qui a travaillé à l'époque sur les Dino. A la suite de cela, la carrosserie est envoyée à la Carrozzeria Cremonini, à Modène également, où elle reçoit apprêt et peinture avant un soigneux lustrage à la main. Silvano Toni décide de remplacer le rouge, un peu voyant, par un plus discret "Grigio Fumo", gris fumé, qui épouse à merveille les lignes élégamment galbées de la 246 GTS. Il reçoit ensuite une sellerie neuve en cuir Connolly Vaumol beige (code VM 3218), ainsi qu'une moquette en laine noire. Toutes les entreprises impliquées dans la remise en état sont unanimement reconnues pour leur compétence dans leur spécialité. Une fois la restauration terminée, la première sortie publique de cette voiture sera la réunion organisée les 9 et 10 septembre 2017 sur le circuit de Fiorano, à Maranello, pour les 70 ans de Ferrari. Entretemps, elle a été achetée par Staffan Wittmark qui a été charmé par cette combinaison de couleur, et qui en prend livraison le 27 septembre 2017. Campée sur ses belles jantes Cromodora, cette Dino 246 GTS a fait l'objet d'une certification Ferrari Classiche. Comme pour les autres voitures de la Collection W, un livre grand format illustré de photos de grande qualité a été édité spécialement pour présenter l'histoire et la restauration de cet exemplaire remarquablement remis en état, d'une présentation répondant aux critères particulièrement exigeants de son propriétaire. Swedish title Chassis no. 03706 Engine no. 8837 • Certified by Ferrari Classiche • Sold new in France, where it stayed until 2013 • Full, high-quality restoration by Cremonini, Toni Auto, RBBC and Maieli • All matching numbers and completely restored mechanically • Extremely rare European GTS • No reserve The Dino 246 GT was truly a milestone in Ferrari’s history, as it was the company’s first mid-rear engined model. Moreover, it bore the name ‘Dino’, the first name of Enzo Ferrari’s s

Estim. 500 000 - 700 000 EUR

1963 Porsche 356 C Carrera 2 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 127697 Moteur n° P 97369 • Vendue neuve au baron de Rothschild via Sonauto • Restauration de haut niveau, état irréprochable, moteur d'origine • Modèle rare, la plus puissante des 356 commercialisées • Propriété de Valentin Kaiser pendant près de 30 ans • Moteur et combinaison de couleurs d'origine • Sans réserve Sortie d'usine à la fin de l'année 1963, cette rare Porsche 356 Carrera 2 a été livrée en janvier 1964 à Sonauto, importateur Porsche en France, pour être vendue neuve au baron David de Rothschild. Comme l'indique sa fiche de fabrication, elle était à l'origine gris 6401 A avec intérieur en simili rouge. On retrouve ensuite la voiture dans le nord de la France avant qu’en 1985 elle soit achetée par Valentin Kaiser, directeur du Centre Porsche Classic de Vélizy, près de Paris. Ce dernier nous a confirmé qu’il avait acheté auprès d’un industriel du nord, deux 356 Carrera le même jour ! Il nous a confirmé que la voiture était équipée de son moteur d’origine et que la boîte de vitesses avait été changée. Il va ensuite restaurer la voiture dans la configuration qu’il trouvait la plus désirable : rouge signal avec sièges en cuir noir. Il l'a conservée presque 30 ans dans un parking bien protégé. C'est là que Roberto Bertaccini, de Cremonini Classic (à côté de Modène), l'a découverte et en a fait l'acquisition. Acheminée jusqu'à l'atelier modénais, elle a fait l'objet d'une seconde restauration, là aussi de grande qualité, avec démontage complet. Le moteur a été envoyé au mécanicien suisse Armin Baumann pour vérification et la sellerie confiée à Ferraresi Interni Auto pour être entièrement refaite en cuir rouge, dans le respect de la couleur d'origine. La carrosserie a été préparée par Cremonini puis repeinte dans la teinte grise d'origine, n°6401 A. Une fois la restauration terminée, cette voiture a été achetée en 2014 par un autre collectionneur, puis par Staffan Wittmark. Elle a bénéficié en 2020 d'une révision par Porsche Haninge, en Suède. Aujourd'hui, cette Porsche Carrera 2 C se présente dans un état que l'on peut qualifier de "concours". La tôlerie et la peinture sont parfaites et l'intérieur est proche du neuf, avec ses sièges magnifiques, son tableau de bord impeccable avec autoradio d'époque, son volant bois et ses moquettes irréprochables. Le coffre avant reçoit la roue de secours ainsi que le cric, la trousse à outils et un chargeur de batterie, et le coffre arrière présente encore le badge "Sonauto - Paris". Cette voiture est accompagnée d'un livre complet édité spécialement et qui reprend son historique, les documents qui la concernent et tout un ensemble de photos. Rappelons que la Carrera 2 C est la plus puissante des Porsche 356 commercialisées, à la suite de la première Carrera 1500 GS présentée au Salon de Francfort 1955. Née en 1961, elle recevait le 4-cylindres à plat refroidi par air issu de la 550, doté de deux ACT par banc et d'un système de double allumage, ici dans une cylindrée de 2 litres. Véritable "compétition-client", elle atteignait 200 km/h, ses freins à disques l'arrêtaient de façon efficace et elle restait facile à utiliser grâce aux indispensables équipements de confort. Enfin, c'est un modèle particulièrement rare puisque la production de Carrera 2 n'a pas dépassé 436 unités. L'exemplaire que nous présentons présente de nombreux avantages : belle provenance française, appartenance à une personnalité du monde des affaires, conservé par un des plus grands connaisseurs de Porsche en France et état hors du commun faisant suite à une restauration de haut niveau, moteur d'origine, couleurs d'origine. A ce titre, c'est une des Carrera 2 C les plus intéressantes du marché, ce qui ne saurait échapper aux amateurs du genre. Swedish title Chassis no. 127697 Engine no. P 97369 • Sold new to Baron David de Rothschild by Sonauto • High-quality restoration, impeccable condition, original engine • Rare model, the most powerful 356 ever sold • Owned by Valentin Kaiser for nearly 30 years • Original engine and colour combination • No reserve This rare Porsche 356 Carrera 2 left the factory at the end of 1963 and was delivered in January 1964 to Sonauto, Porsche’s importer in France, who sold it new to Baron David de Rothschild. As its build card indicates, it was originally grey (6401 A) with a red leatherette interior. The car then showed up in northern France, before it was bought in 1985 by Valentin Kaiser, the director of the Porsche Classic Centre in Vélizy, near Paris. Kaiser confirmed that he bought two 356 Carreras on the same day from an industrialist in the north! He also confirmed that the car had its original engine but that the gearbox had been changed. He then restored the car in what he c

Estim. 500 000 - 700 000 EUR

1991 Porsche 964 Carrera 2 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° WP0ZZZ96ZMS400084 • État d'origine exceptionnelle • 32 763 km d'origine seulement • Options intéressantes, toit ouvrant, climatisation • Sans réserve Cette voiture se caractérise par un état d'origine remarquable, qui s'explique par son faible kilométrage (32 763 km d'origine) et les soins apportés par ses quatre propriétaires successifs. Livrée neuve en septembre 1990 en Suède par Porsche Karlstad, elle affiche une teinte rouge "Indischrot" qui, aux yeux du propriétaire actuel, est celle qui se marie le mieux avec cette génération, et qui était d’ailleurs l’une des couleurs de lancement. La carrosserie est superbe dans sa peinture, probablement d'origine, et les alignements sont conformes aux exigences du constructeur. En excellent état, le compartiment avant ne présente pas de trace de choc et comporte sa trousse à outils ainsi que l'étiquette rappelant la teinte de la voiture. L'intérieur en cuir noir d'origine est impeccable, avec des sièges et moquettes superbement conservés et un tableau de bord sans défaut. En plus d'un système de climatisation et d'un désirable toit ouvrant, cette Carrera 2 bénéficie de la boîte Porsche semi-automatique Tiptronic. Elle est vendue avec son carnet d'entretien tamponné de toutes les révisions, son manuel d'utilisation, une facture de la dernière révision effectuée en 2020 chez Porsche Haninge, divers rapports de contrôle technique, un double de clés et un livret dans lequel sont consignées toutes les sorties de la voiture depuis l'origine. L'exemplaire que nous présentons, dans son état extrêmement bien préservé, fait honneur aux qualités de ce modèle fiable et performant. • Exceptional original condition • Only 32,763km from new • Interesting options, sunroof, air-conditioning • No reserve This car is characterized by its remarkable original condition, which can be accounted for by its low mileage (32,763km from new) and the care lavished on it by its four successive owners. Delivered new in September 1990 by Porsche Karlstad in Sweden, it is finished in ‘Guards Red’, the colour which, in the eyes of its current owner, goes best with this generation of 911 and which was, moreover, one of the colours offered at launch. The bodywork looks superb in this paint, which is probably original, and the panel alignment meets the manufacturer’s standards. In excellent condition, the front compartment shows no signs of accident damage, and the tool kit and sticker indicating the paint code are present. The black leather interior is impeccable, with superbly well preserved seats and carpets and a faultless dashboard. As well as air-conditioning and the desirable sunroof, this Carrera 2 has Porsche’s semi-automatic Tiptronic transmission. It will be sold with its fully-stamped service book and owner’s manual, an invoice for the last service carried out in 2020 by Porsche Haninge, various safety inspection reports, both sets of keys and a booklet listing all the trips made by the car since new. The example we are presenting, in such extremely well preserved condition, does justice to the qualities of this reliable high-performance model.

Estim. 60 000 - 90 000 EUR

1972 Porsche 911 Carrera 2.7L RS No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 3600074 Moteur n° 6630086 • Moteur d'origine, couleurs d'origine • Historique suivi et documenté • Carnet d’entretien d’origine ! • La première voiture de la Collection W • L'un des 100 premiers châssis construits • Sans réserve Cette voiture est étonnante à plusieurs titres : c’est une des toutes premières Porsche 2.7 RS produites, elle est proche de son état d'origine et elle a passé la majeure partie de son existence en Suède où elle a été importée en 1975 après avoir été vendue neuve à Ratingen, en Allemagne, par l'intermédiaire du garage Porsche Jacob Fleischhauer, de Cologne. Elle était de couleur blanc "Grand Prix" avec jantes rouges et sièges en similicuir et velours Perlon (code intérieur 12), et bénéficiait des options sièges sport (code 409), projecteurs H3 longue portée (code 432), haut-parleurs et antenne (code 440), et ceintures de sécurité trois points (code 549). C'est la configuration qui est encore la sienne aujourd'hui. Elle est accompagnée de sa pochette d'origine contenant le manuel d'utilisateur et le carnet d'entretien tamponné à plusieurs reprises jusqu'à 1977, ainsi que la carte de référence des clés. Un dossier de factures permet de retracer la vie de cette voiture en Suède, et ses différents propriétaires. On peut noter que le troisième était Lars Widenborg, préparateur et restaurateur connu, et que notre correspondant sur place Niklas Hannah se souvient avoir vu avec cette voiture dans les rues de Stockholm en 1977 et 1978 ! Il est probable qu’il ait participé à des courses historiques dans les années 1980 avec la voiture. La documentation permet de déterminer que, en 1999, le compteur affichait 38 000 km et que, en 2005, ce chiffre était de 47 700 km. Tous ces éléments font de cette Porsche Carrera 2.7 RS une exception, et c'est bien ce qui a séduit Staffan Wittmark quand il l'a découverte en 2009 dans le garage Porsche de Haninge. Conscient de son historique, il en a fait l'acquisition et a engagé de nombreux frais pour qu'elle reste fonctionnelle, comme en témoigne un ensemble de factures totalisant plus de 20 000 €. C'est d'ailleurs une de ses premières voitures de collection : elle a contribué à lui a donner le goût pour les voitures proches de leur configuration d’origine et c'est à partir de là qu'il confiera ses voitures à entretenir au garage Porsche de Haninge. Aujourd'hui, cette Porsche Carrera 2.7 RS montre une rare authenticité avec sa peinture légèrement passée, ses phares longue-portée, ses jantes Fuchs rouges d'origine et sa trousse à outils dans son coffre avant. La gâche de la portière conducteur nécessite un réglage mais l'aménagement intérieur est en grande partie d'origine, comme les contreportes et le tableau de bord. Les sièges semblent avoir été refaits, de même que le gainage du volant. Rappelons que, conçue pour obtenir l'homologation en Groupe 4, la Carrera RS 2.7 bénéficiait de nombreux allègements, d'un moteur 210 ch et d'attributs aérodynamiques dont le fameux aileron arrière en "queue de canard". Son succès a dépassé les espérances du constructeur puisque les 500 exemplaires requis ont été atteints dès la fin du Salon de Paris 1972 où elle était dévoilée. En tout, la production a dépassé 1 500 unités, et ce modèle va évoluer en fonction des nouveautés et des règlements, entretenant une tradition de "compétition-client" dont peu de marques peuvent se prévaloir. C'est sans doute une des raisons du succès actuel du constructeur. Etant le 74ème châssis de 2.7 RS produit, magnifiquement authentique et affichant un historique suivi et documenté, cette Porsche 911 Carrera RS constitue l'opportunité exceptionnelle d'acquérir un exemplaire qui a gardé toute son intégrité d'une des Porsche les plus emblématiques de l'histoire de la marque. Swedish title Chassis no. 3600074 Engine no. 6630086 • Original engine and colours • Continuous, well-documented history • Original service book! • The first car in the W Collection • One of the first 100th chassis built • No reserve This car is amazing in many ways: it is one of the first Porsche 2.7 RS built, it is close to its original condition and has spent most of its life in Sweden, where it was imported in 1975 after being sold new at Ratingen, in Germany, through the Porsche garage Jacob Fleischhauer, in Cologne. It was finished in ‘Grand Prix’ white with red wheels and seats finished in leatherette and Perlon velour (interior code 12); it had the options of sports seats (code 409), H3 long-range driving lamps (code 432), loudspeakers and an aerial (code 440), and three-point seat belts (code 549). It remains in this specification today. It comes with its original wallet containing the owner’s manual and service book, with several stamp

Estim. 350 000 - 550 000 EUR

1957 Chevrolet Corvette No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° E57S105992 • Forme séduisante pour ce millésime 1957 • Puissant V8 • Restauration ancienne bien préservée • Sans réserve Vendue neuve aux États-Unis, cette Corvette cabriolet est arrivée en Europe à la fin des années 80, puis en 1998 en Suède. Elle a fait l'objet d'une révision complète en 2015 et c'est l'année suivante que Staffan Wittmark en a fait l'acquisition, séduit par le dessin de cette sportive d'outre-Atlantique. C'est d'ailleurs la seule voiture américaine de sa collection. En décembre 2023, elle a été confiée à l'atelier SRO, au Castellet, pour une réfection complète du circuit d'alimentation, avec rinçage du réservoir et du carburateur, remise en état de la pompe, remplacement des canalisations et de la jauge à essence. A cette occasion, le liquide de refroidissement a été vidangé, le radiateur ayant été refait peu avant. Aujourd'hui, cette voiture présente l'aspect qui correspond à une restauration ancienne joliment patinée. L'habitacle est dans un bel état, avec ses sièges rouges, le petit levier de la boîte manuelle à quatre rapports et l'impressionnant tableau de bord dont les instruments s'étalent sur toute la surface, de part et d'autre d'un autoradio à l'allure ancienne. Un porte-gobelet a été rajouté dans l'accoudoir central. Le compartiment moteur semble conforme à l'origine et la voiture a été très peu utilisée ces dernières années. La version 1957 est particulièrement attrayante sur le plan du style et son moteur V8 lui apporte la puissance permettant de tenir le haut du pavé. Ce cabriolet constitue une belle représentante de cette grande classique, réponse de Chevrolet à la déferlante de voitures de sport européennes aux États-Unis au début des années 50. • Appealing design of this 1957 model • Powerful V8 • Well-preserved older restoration • No reserve Sold new in the United States, this Corvette convertible arrived in Europe at the end of the 1980s, and in Sweden in 1998. It underwent a complete overhaul in 2015 and was acquired the following year by Staffan Wittmark, who was won over by the design of the American sports car. It is, moreover, the only American car in his collection. In December 2023, it was sent to the SRO workshop at Le Castellet for a complete rebuild of the fuel system: the fuel tank and carburettor were flushed and cleaned, the pump repaired, and the fuel lines and gauge replaced. At the same time, the coolant was drained, the radiator having been rebuilt shortly before. Today, the car has the appearance of an older restoration with an attractive patina. The interior is in fine condition, with its red seats, the little lever for the four-speed manual gearbox and the impressive dashboard with its array of instruments spread across its entire width, on both sides of a classic-looking radio. A cupholder has been added to the centre armrest. The engine compartment appears to be to the original specification and the car has seen very little use in recent years. The styling of the 1957 version is especially attractive and its V8 engine gives it the power to lead the pack. This convertible is a fine representative of this great classic, which was Chevrolet’s response to the flood of European sports cars reaching the States at the start of the 1950s.

Estim. 70 000 - 100 000 EUR

1971 Mercedes-Benz 280 SE 3,5L cabriolet No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° WDB 111 027 12 003452 • Restauration de très grande qualité • Vitres électriques, climatisation • Combinaison de couleur particulièrement élégante • Sans réserve Cette Mercedes 280 SE 3,5L est sans aucun doute une des plus belles survivantes de ce modèle d'exception. Elle a bénéficié d'une restauration intégrale par Clark & Carter Restorations, spécialiste extrêmement réputé, basé à Braintree, au nord-est de Londres, et dont les restaurations ont remporté de nombreux prix lors des concours d'élégance les plus en vue comme celui de Pebble Beach. Sur cette voiture, la qualité des travaux de tôlerie est proche de la perfection, tout comme la peinture "Beige Grau" (code DB728) métallisée, appliquée avec un soin extrême. Le compartiment moteur est comme neuf et abrite le célèbre V8 de 200 ch qui donne à cette confortable automobile des performances de voiture de sport. L'intérieur est de la même qualité, avec des sièges en cuir "Saddle Brown" quasiment neufs et un tableau de bord dont les bois revernis et les garnitures en cuir ne présentent pas de trace d'usure. Les contreportes sont tout aussi impeccables, de même que la capote marron tirant sur le bordeaux parfaitement tendue. Cette voiture, qui est accompagnée de son manuel d'utilisation d'origine, présente l'avantage d'être équipée de vitres électriques, d'un autoradio Becker et d'une boîte de vitesses automatique, pour un meilleur agrément de conduite. Ce modèle rare (un peu plus de 1 200 exemplaires de 1969 à 1971) est considéré comme une des meilleures Mercedes jamais produites. Dans un état proche de la perfection, cette voiture sera tout aussi à l'aise sur les routes de campagne pour une balade au soleil que sur les pelouses des rassemblements ou des concours d'élégance où elle ne manquera pas d'attirer les regards des connaisseurs les plus exigeants. Swedish title Chassis no. WDB 111 027 12 003452 • Very high-quality restoration • Electric windows, air-conditioning • Particularly elegant colour combination • No reserve This Mercedes 280 SE 3.5 is without doubt one of the finest surviving examples of this exceptional model. It was completely restored by Clark & Carter Restorations, a highly renowned specialist based at Braintree, north-east of London, whose restorations have won numerous prizes at the leading concours d'élégance such as Pebble Beach. The standard of the work carried out on the body of this car is close to perfection, as is the metallic ‘Beige Grey’ paintwork (code DB728), which has been applied with the utmost care. The engine compartment is like new and houses the famous 200bhp V8 which gives this comfortable motorcar the performance of a sports car. The interior is to the same standard, with virtually new ‘Saddle Brown’ leather seats, while there are no signs of wear to the varnished wood and leather trim of the dashboard. The door cards are just as immaculate, as is the perfectly taut reddish-brown hood. The car, which comes with its original owner’s manual, has the advantage of being equipped with electric windows, a Becker radio and automatic transmission, to make it more pleasant to drive. This rare model (of which just over 1200 were built from 1969-1971) is considered one of the best Mercedes ever made. In near-perfect condition, the car will be equally at home on country roads for a drive in the sun as on the lawns of classic car meetings and concours d'élégance, where it will not fail to attract the attention of the most demanding connoisseurs.

Estim. 280 000 - 400 000 EUR

1962 Porsche 356 BT6 Super 90 cabriolet No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 156126 Moteur n° 804533 Titre de circulation suédois Châssis n° 156126 Moteur n° 804533 • Restauration de très grande qualité • Moteur Super 90 d'origine • Superbe couleur Oslo Blau • Histoire 100% suédoise • Sans réserve La particularité de cette voiture est d'avoir passé toute son existence en Suède ! Importée par Scania-Vabis et vendue neuve à Stockholm en février 1962, elle était de couleur bleu "Oslo" (code 6203) et a été utilisée par cinq automobilistes successifs de 1964 à 1972, tous au nord du pays. L’un d’eux vivait même à Skellefteå, ville située à seulement 200 kilomètres du cercle polaire ! Elle a changé de mains deux fois dans les années 2000 avant d'être achetée en 2014 par Staffan Wittmark, qui ne l'a pratiquement pas utilisée. Elle avait été intégralement restaurée et se présente aujourd'hui dans un état absolument superbe. La carrosserie et la peinture ne montrent pas de défaut et le beau compartiment arrière est équipé du moteur d'origine dont la présentation semble sans reproche. Le compartiment avant a été refait lui aussi, y compris le bac à batterie qui est un des points sensibles du modèle, et il reçoit la trousse à outils et le cric. La capote crème est comme neuve, avec sa lunette arrière souple dénuée de trace, et l'habitacle est d'une rare qualité de présentation. Les sièges en cuir beige clair, les contreportes et les moquettes ne montrent aucun signe d'usage et les instruments sont magnifiques dans leur entourage chromé, de même que le volant avec son beau cerclo-avertisseur. Un autoradio Blaupunkt agrémente l'ensemble. En 2020, cette voiture qui porte encore son immatriculation de 1974 a fait l'objet d'une révision chez Porsche Haninge, en Suède. Cette 1600 S cabriolet, modèle qui fait partie des 356 les plus appréciées avec son moteur Super 90, bénéficie d'un ensemble de certificats d'immatriculation qui documentent son existence en Suède, ainsi qu'un certificat d'origine et divers autres documents. Dans son superbe état, elle permettra à son nouveau propriétaire de profiter pleinement des sensations de conduite grisantes de celle qui a rendu Porsche célèbre. Swedish title Chassis no. 156126 Engine no. 804533 • Restored to a very high standard • Original Super 90 engine • Superb ‘Oslo Blau’ colour • 100% Swedish history • No reserve What makes this car stand out is that it has spent its entire life in Sweden! Imported by Scania-Vabis and sold new in Stockholm in February 1962, it was finished in ‘Oslo Blue’ (code 6203) and was used by five owners in turn from 1964-1972, all of them in the north of the country. One of them even lived in the town of Skellefteå, just 200km from the Arctic Circle! It changed hands twice in the 2000s before it was bought in 2014 by Staffan Wittmark, who hardly used it. It had been completely restored and is currently in absolutely superb condition. The body and paintwork are unblemished, while the handsome rear compartment is still home to the original engine, which is faultless in appearance. The front compartment has also been restored, including the battery tray, which is one of the critical points on this model, and houses the tool kit and jack. The cream hood is like new, with its unmarked flexible rear screen, and the interior is of exceptionally high quality. The light beige leather seats, door cards and carpets show no sign of wear and the instruments with their chrome rings are magnificent, as is the steering wheel with its attractive horn ring. A Blaupunkt radio complements the rest of the interior. In 2020, the car - still with its registration number from 1974 - was given a service by Porsche Haninge, in Sweden. This 1600 S cabriolet, one of the most highly regarded 356 models, with its Super 90 engine, comes with a set of registration papers charting its life in Sweden, as well as a certificate of origin and various other documents. In truly superb condition, it will allow its new owner to enjoy to the full the thrill of driving the car which made Porsche famous.

Estim. 120 000 - 160 000 EUR

1972 Porsche 911 2,4 S Targa No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9112310949 Moteur n° 6322501 • Modèle rare, trappe à huile extérieure • Moteur d'origine • Restauration de qualité • Carnet de service d’origine • Sans réserve Cette voiture est bien documentée grâce à son certificat d'authenticité et son carnet d'entretien d'origine. Sortie d'usine en janvier 1972, elle a été livrée au mois de juillet suivant à un amateur de Chioggia, au sud de Venise, en Italie. Conforme à la règlementation italienne de l'époque (notamment au niveau de l'éclairage), elle était de teinte blanc ivoire (code 1110) avec intérieur en simili noir et comportait plusieurs options : sièges sport, appuie-tête, phares antibrouillard halogènes, vitres teintées. Au début des années 1980, elle était encore dans la région avant de rejoindre les États-Unis où elle a été utilisée par deux propriétaires successifs, dont un en a fait le sujet de sa carte de vœux pour Noël 1994. Apparemment, il surnommait sa voiture "Rudolph II". En 2015, elle est revenue en Allemagne où elle a été achetée par Staffan Wittmark pour constituer une paire avec sa 911 2,4L S de même époque et de même couleur, elle aussi à trappe à huile à l'extérieur (disposition qui n'a duré qu'un seul millésime) : il disposait ainsi des deux versions coupé et Targa dans une présentation identique. Entièrement restaurée, cette voiture est en très bel état et le compartiment arrière, d'aspect très satisfaisant, est doté du moteur d'origine. Les moquettes et le toit Targa ont été refaits mais les sièges et contreportes semblent d'origine et montrent une jolie patine d'usage. Un autoradio Becker Grand Prix équipe le tableau de bord. En plus du certificat d'origine et du carnet d'entretien mentionnés plus haut, le dossier historique comprend le manuel d'utilisation dans sa pochette et un ensemble de factures de la période américaine. Ce très bel exemplaire représente l'occasion d'acquérir une version rare et particulièrement appréciée de la célèbre 911 qui n’a existé qu’un seul millésime. Swedish title Chassis no. 9112310949 Engine no. 6322501 • Rare model, outside oil filler • Original engine • High-quality restoration • Original service book • No reserve Thanks to its certificate of authenticity and original service book, this car is well documented. It left the factory in January 1972 and was delivered the following July to an enthusiast from Chioggia, south of Venice. In accordance with the Italian legislation at the time (in particular with regard to lighting), it was finished in light ivory (code 1110) with a black leatherette interior, and had several options: sports seats with headrests, halogen fog lamps and tinted glass. At the start of the 1980s, it was still in the region, before leaving for the United States, where it was used by two successive owners, one of whom made it the subject of his Christmas card in 1994. Apparently, he nicknamed his car ‘Rudolph II’. In 2015, it returned to Germany, where it was bought by Staffan Wittmark to form a pair with his 911 2.4 S of the same period and colour, both cars having the outside oil filler (a feature which lasted only one model year); he thus had identical-looking coupé and Targa models. Completely restored, the car is in excellent condition and the rear compartment, which is most satisfactory in appearance, houses the original engine. The carpets and Targa roof have been restored, but the seats and door cards appear to be original and have an attractive patina. A Becker Grand Prix radio is fitted in the dashboard. As well as the certificate of origin and service book mentioned above, the history file includes the owner’s manual in its wallet and a set of bills from its time in America. This very fine example represents an opportunity to acquire a rare and particularly appreciated version of the famous 911 which existed for only a single model year.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

FRANCIS BACON (Dublin, 1909 - Madrid, 1992). Panneau droit du "Triptyque 1974-1977". 1981. Gravure à l'eau-forte et à l'aquatinte sur papier Guarro, exemplaire A.P 11/15. Éditeur de Polígrafa, Barcelone. Signé et justifié au crayon. Dimensions : 39 x 29,5 cm (empreinte) ; 65 x 50 cm (papier) ; 68,5 x 53,5 cm (cadre). Gravure de Francis Bacon d'après le panneau droit du triptyque qu'il a réalisé après la mort de son amant George Dyer, qui s'est suicidé dans un hôtel parisien en 1971. En 2008, le triptyque a failli battre le record de l'artiste lorsqu'il a été vendu à Londres pour 26,3 millions de livres. Il s'agit de l'un des "triptyques noirs" exécutés par Bacon après le suicide de Dyer. Le parapluie noir comme symbole inquiétant était déjà présent dans les œuvres précédentes de l'artiste, mais dans ce triptyque, les références littéraires ou artistiques sont diluées, ce qui rend la lecture plus complexe. Il s'agit d'une œuvre subjuguante. Peintre anglo-irlandais né à Dublin dans une famille britannique, Francis Bacon est un artiste clé dans le développement de l'art du XXe siècle en raison de son imagerie brute, choquante et chargée de plasticité. Il a passé son enfance entre l'Irlande et l'Angleterre et, à la puberté, son père l'a exclu de sa famille en raison de ses tendances homosexuelles. En 1925, il est envoyé à Berlin avec un ami de la famille, qu'il finit par séduire. Entre 1927 et 1928, il vit entre Berlin et Paris, et c'est au cours de ces années qu'il découvre le "Massacre des Innocents" de Poussin, œuvre qui éveille en lui un intérêt pour le cri et la bouche. C'est au cours de ces années qu'il décide de devenir peintre, après avoir visité une exposition comprenant plusieurs œuvres de Picasso. Il retourne à Londres et commence sa formation artistique avec l'Australien Roy de Maistre, études qu'il complète de manière autodidacte. Mais ce n'est qu'au milieu des années 1940 (vers 1944) que son triptyque "Trois études pour des figures au pied d'une crucifixion" marque le point de départ de sa carrière artistique. Cette œuvre, considérée comme l'une des plus originales et des plus dérangeantes de l'art du XXe siècle, marque le début de la maturité artistique de Bacon, dont l'œuvre se concentrera dès lors sur le thème de la vie dans la mort et de la mort dans la vie, reflétant son propre caractère autodestructeur. À partir de ce moment-là, son œuvre sera également caractérisée par des figures humaines exposées et vulnérables, expression de "la solitude, de la violence et de la dégradation", selon ses propres termes. La reconnaissance de son travail de maturité est presque immédiate et, en 1949, le MoMA de New York acquiert l'une de ses œuvres. Déjà bien ancré sur la scène artistique internationale, il présente en 1955 sa première rétrospective à l'Institute of Contemporary Arts de Londres. En 1959, il présente une exposition individuelle dans le cadre de la Biennale de São Paulo et, en 1962, une nouvelle rétrospective lui est consacrée, cette fois à la Tate Gallery de Londres. Au cours des années suivantes, Bacon a organisé d'importantes expositions de son œuvre au Guggenheim Museum de New York (1963), au Grand Palais de Paris (1971) et au Metropolitan de New York (1975), ainsi que des rétrospectives au Hirshhorn Museum and Sculpture Garden de Washington D.C., au Los Angeles County Museum of Art, au MoMA de New York et au Musée national d'art moderne de Paris. Plus récemment, la grande rétrospective de l'œuvre de Bacon organisée par la Tate Britain en 2008 a été la plus importante à ce jour. Bacon est actuellement représenté dans les plus grands musées du monde, notamment le MoMA et le Guggenheim de New York, l'Art Institute of Chicago, le MUMOK et l'Albertina de Vienne, le Reina Sofia et le Thyssen-Bornemisza de Madrid, le SMAK de Gand et la Tate Gallery de Londres.

Estim. 7 000 - 8 000 EUR

Globe terrestre de Delamarche. Paris, 1850, marqué "Globe adopté par le conseil de l'Université, Maison Delamarche, Rue du Battoir, Paris 1850", le globe se présente sous la forme d'une sphère en papier mâché recouverte de plâtre et recouverte de 12 segments de papier imprimés et coloriés à la main, méridien circulaire plein en papier mâché gradué en 4 x 90°, support en bois ébonisé à quatre branches avec anneau d'horizon, le support en papier de l'anneau d'horizon avec indication des points cardinaux, des signes du zodiaque et des divisions en degrés. Empreinte en Amérique du Nord (env. 1 cm), traces d'utilisation. Diamètre : env. 22 cm. Hauteur : env. 43 cm. Charles François Delamarche (1740-1817). L'atelier de Delamarche à Paris était une entreprise familiale. Le père Charles-François était le successeur de Fortin et donc aussi celui de Claude Buy de Mornas et de Didier Robert de Vaugondy, dans la continuité d'une tradition cartographique à Paris. Son fils Félix reprit l'affaire après 1817, qui resta dans la famille jusqu'en 1847, date à laquelle elle passa à Grosselin. Cf. bibliographie : Allmayer-Beck, Modelle der Welt, Brandstätter 1997, p. 256. Un globe terrestre réalisé par Delamarche. Paris 1850, signé " Globe adopté par le conseil de l'Université, Maison Delamarche, Rue du Battoir, Paris 1850", 12 gores de globe imprimés et colorés à la main montés sur sphère en plâtre et carton, cercle méridien en papier mâché, support en bois ébonisé à quatre bras, l'horizon avec calendrier en papier indiquant les saisons, les directions de la boussole, le zodiaque, les jours et les mois. Diamètre c. 22 cm, hauteur c. 43 cm.

Estim. 1 000 - 1 500 EUR

1965 Porsche 911 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 302849 Moteur n° 902972 • Restauration de grande qualité • Fait partie des plus anciennes 911 • Moteur d'origine • Achetée auprès du spécialiste Stentenbach • Sans réserve Livrée neuve en Allemagne à Porsche Gramling, de Karlsruhe, en décembre 1965, cette voiture a été immédiatement exportée aux États-Unis, en Caroline du Sud où elle a connu deux propriétaires. Comme en témoigne la fiche de suivi de fabrication qui l'accompagne, elle était de teinte "Polorot" avec intérieur noir, et dotée d'un toit ouvrant qu'elle n'a plus aujourd'hui. Elle est ensuite revenue en Europe et, basée à Aix-la-Chapelle dans les années 90, elle était utilisée pour participer à des rallyes de régularité. Plus récemment, compte tenu de son importance historique, elle a fait l'objet d'une restauration de très grande qualité, par la société Classic Cars, spécialiste Porsche de Lollar, en Allemagne, avant d'être achetée par Staffan Wittmark par l'intermédiaire du spécialiste allemand bien connu Stentenbach Classics. La remise en état a visiblement été effectuée dans les règles de l'art et la voiture est aujourd'hui en superbe état, avec ses ouvrants bien alignés et sa peinture grise bien appliquée et rappelant le "Slate Grey" Porsche. Staffan Wittmark considère que c’est la couleur qui se marie le mieux avec les toutes premières 911, et on retrouve une 911 de 1966 de la même couleur dans la collection. Le compartiment moteur est superbe, avec son moteur d'origine alimenté par deux carburateurs Solex triple corps et le coffre avant, complètement refait, témoigne de la qualité des travaux. L'intérieur a été entièrement restauré lui aussi : les sièges en cuir rouge et les moquettes noires sont neufs, les bois de tableau de bord et les compteurs dominés par un gros compte-tours central ont été remis en état. L'ensemble est absolument magnifique et le kilométrage de 2 km au compteur semble être celui parcouru depuis la restauration. Cette voiture fait partie des plus anciennes 911 en existence puisque la commercialisation du modèle a commencé fin 1964. Auréolée de la pureté esthétique et mécanique de cette première version, encore équipée de son moteur d’origine, elle parlera au cœur des amateurs, d'autant plus dans la présentation impeccable dont elle bénéficie. Swedish title Chassis no. 302849 Engine no. 902972 • High-quality restoration • One of the oldest 911s • Original engine • Bought from the specialist Stentenbach • No reserve Supplied new in December 1965 to Porsche Gramling at Karlsruhe in Germany, this car was immediately exported to South Carolina, in the United States, where it had two owners. As can be seen from its build card, it was finished in ‘Polorot’ with a black interior and had a sunroof, which is no longer present. It subsequently returned to Europe and was based at Aachen in the 1990s, when it was used to compete in regularity rallies. More recently, given its historical significance, it underwent a very high quality restoration by Classic Cars, a Porsche specialist at Lollar, in Germany, before it was bought by Staffan Wittmark through the well-known German specialist Stentenbach Classics. The restoration was evidently carried out to the highest standards and the car is now in superb condition, with well aligned panels; the grey paint has been well applied and recalls Porsche’s ‘Slate Grey’. Wittmark considers this to be the colour which goes best with the very first 911s and his collection includes a 911 from 1966 in the same shade. The engine compartment is superb, with the original engine fed by twin triple-barrel Solex carburettors, while the completely restored front compartment attests to the quality of the work carried out. The interior has also been fully restored: the red leather seats and black carpets are new, and the wood trim to the dashboard and the instruments - dominated by the large rev counter in the middle - have been refurbished. The whole car is absolutely magnificent and the distance recorded on the odometer of just 2km appears to be that covered since its restoration. This car is one of the oldest 911s in existence, as the model only went on sale at the end of 1964. With the aura of aesthetic and mechanical purity of the first version, still equipped with its original engine, it will speak to the hearts of enthusiasts, especially as it is so immaculately presented.

Estim. 220 000 - 280 000 EUR

Philippe GARNIER DE LA BAUDINIERE (1955) "Playtime" Relief bois monochrome vert signé en bas à gauche. Contresigné et titré au dos. 85 x 73 cm Encadrement en placage de loupe de thuya. On y joint : Philippe GARNIER DE LA BAUDINIERE (1955) "Cantate 7, 2017" Gouache sur papier cartonné signée en bas à gauche. Contresignée au dos. A vue 28 x 18 cm Encadrée sous verre. Philippe Garnier de la Baudinière est un artiste Français né en 1955. Originaire de Blois, il s'installe à Paris pour exercer son premier métier de décorateur. Peu à peu, sa fréquentation des peintres, des musées et sa rencontre avec Bernard Lorjou, chef de file de l'École du Val de Loire à partir de 1973, forment la base de sa culture artistique. S'affranchissant de toutes influences, contraintes et idées théoriques, l'oeuvre de Philippe Garnier de la Baudinière se situe dans la mouvance de l'abstraction géométrique En 2018 l'artiste a été choisi par le cabinet d'architecture Jean Michel Wilmotte pour participer au projet de restauration de l'Hotel Lutétia à Paris. Ses monochromes sont mis à l'honneur ainsi que des multiples accrochés dans de nombreuses suites donnant sur le Boulevard Raspail. L'artiste a été retenu en 2018 par la holding Bollinger pour leur château dans le Sancerrois et dernièrement par Atelier27 Paris pour l'Hotel Claridge de Londres et le Royal Mansour de Casablanca. Une exposition de ses oeuvres a eu lieu en août 2023 place des Lices à Saint Tropez.

Estim. 200 - 300 EUR

CARLOS CRUZ DÍEZ (Caracas, 1923-2019). Sans titre, 1992, de la suite Olympic Centennial. Sérigraphie sur papier Vélin d'Arches 270 grammes, exemplaire 171/250. Signé, daté et justifié à la main. Dimensions : 63 x 90 cm. L'artiste franco-vénézuélien Carlos Cruz-Diez vit et travaille à Paris depuis 1960. Il est l'un des protagonistes les plus importants de l'art optique et cinétique, un courant artistique qui revendique "la conscience de l'instabilité du réel". Ses recherches le révèlent comme l'un des penseurs de la couleur au XXe siècle. Le discours plastique de Carlos Cruz-Diez gravite autour du phénomène chromatique conçu comme une réalité autonome qui évolue dans l'espace et le temps, sans l'aide d'une forme ou d'un support, dans un présent continu. Les œuvres de Carlos Cruz-Diez font partie de collections permanentes prestigieuses telles que celles du Museum of Modern Art (MoMA) de New York, de la Tate Modern de Londres, du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, du Centre Pompidou de Paris, du Museum of Fine Arts de Houston et du Wallraf-Richartz Museum de Cologne, entre autres. La Suite olympique est composée de 50 lithographies et sérigraphies choisies pour représenter diverses tendances artistiques contemporaines. Elle a été publiée pour commémorer le premier centenaire de l'olympisme moderne. Les artistes choisis se définissent par divers mouvements et courants picturaux, depuis le conceptualisme et le minimalisme de "Ben" Vautier, l'abstraction lyrique de Yasse Tabuchi, la peinture d'Oleg Tselkov qui se concentre sur la figure humaine, intensément expressive et traitée avec des formes fortes et des couleurs intenses qui cherchent à refléter les conflits et la violence de son époque, et enfin l'œuvre d'André Arabis, clairement abstraite et géométrique.

Estim. 1 500 - 1 800 EUR

Rare lunarium de Ernst Schotte. Berlin, vers 1877, le globe porte la mention "Die Erdkugel nach den neuesten u. besten Quellen bearbeitet, Berlin Ernst Schotte & Co.", le globe est une sphère en papier mâché recouverte de 12 segments de papier lithographiés, les frontières des pays sont partiellement colorées à la main, demi-méridien en laiton avec graduation 2 x 90°, monté sur une base en bois tourné et ébonisé avec un dispositif rotatif pour la rotation d'un globe lunaire en bois, la base avec un horizon en papier monté avec indication des saisons, des mois, des signes du zodiaque et une graduation. Traces de vieillissement. Diamètre du globe terrestre : env. 24 cm. Globe lunaire : env. 5 cm. Hauteur : env. 46 cm. Première édition d'un lunarium du programme d'édition du fabricant de globes berlinois Ernst Schotte & Co. datable des environs de 1877 (cartographie du tracé du Congo selon Stanley et Livingston). Cf. bibliographie : Lehmann, R., Berliner Globenhersteller 1790-1970, 2010, p. 54 et suivantes. Un rare Ernst Schotte Lunarium. Berlin c, 1877, le globe terrestre est signé "Die Erdkugel nach den neuesten u. besten Quellen bearbeitet, Berlin Ernst Schotte & Co.", 12 gores de globe lithographiés montés sur une sphère en carton, les bords partiellement colorés à la main, demi-méridien en laiton gradué, support en bois ébonisé tourné avec une sphère lunaire tournante. Signes de l'âge. Diamètre du globe c. 24 cm, sphère de lune c. 5 cm, hauteur c. 46 cm.

Estim. 1 200 - 1 800 EUR