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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
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1955 Mercedes-Benz 300 SL "Papillon" No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 198.040 5500641 Moteur n° 198.980 5500663 • Restauration magnifique par Paul Russell • Equipée de rares jantes Rudge chromées à fixation centrale d’origine • Mécanique d'origine, historique connu • Magnifique combinaison de couleurs • Sans réserve Châssis tubulaire, moteur 6-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Merveilleuse trouvaille, les portes "papillon" qui vont lui donner son nom ne répondent pas à un subterfuge esthétique, mais à la structure du châssis qui monte haut sur les côtés pour la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende : elle le mérite et les amateurs ne vont pas s'y tromper. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes sont un véritable "Who's Who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso, le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, le roi Hussein de Jordanie... sans parler d'amateurs d'automobiles comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunningham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue sur la route. A l'époque, rares sont celles qui dépassent 230 km/h en toute sécurité et qui couvrent le 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Ce qui fera dire au magazine "Auto Sport" : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Ses titres de Championne d'Europe des Rallyes en 1955 et 1956 contribueront à établir son aura en course. Sortie d'usine le 18 août 1955, la Mercedes 300 SL "papillon" que nous présentons a fait l'objet de la commande numéro 759 097. Elle était de couleur blanche (code DB 50) et fait donc partie des 152 exemplaires livrés dans cette teinte, sur les 1 400 coupés 300 SL produits. De plus, elle bénéficiait de l'option des cinq jantes Rudge à fixation centrale qui n'a concerné d'origine que moins de 400 exemplaires. Et qui est encore plus introuvable dans le cas des jantes chromées, équipement particulièrement rare, surtout apprécié des clients américains. Rappelons que la 300 SL exposé au Salon de New York 1954 était doté de ces mêmes jantes chromées. Le 23 août 1955, cette 300 SL "Papillon" a été embarquée pour les États-Unis pour être livrée à Mercedes-Benz Distributors Inc., à New-York. Au milieu des années 60, elle était localisée en Floride et ses propriétaires successifs ont été identifiés par le spécialiste Éric Lemoine, comme suit : J. K. Klein, Miami Lakes (Floride) en 1977 ; Robert Dunigan, San Jose (Californie) en 1985 ; Terrel Sarkis (Massachusetts) en 1995 ; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) en 1999 ; Dick Gale, San Francisco (Californie) en 2000, puis son fils Richard Gale en 2009. A partir de 1985, alors qu’elle appartenait à M. Sarkis, elle a fait l'objet d'une restauration complète sur plusieurs années, par "Gullwing Service Company", a` Essex, premier atelier de restauration créé par le talentueux Paul Russell. L’ensemble des factures de la restauration a été réunis dans un livre relié du plus bel effet. Rappelons que celui-ci fait partie des maisons de restauration les plus réputés des États-Unis et que la première voiture à laquelle il s'est intéressé était justement la Mercedes 300 SL "Papillon", d'où le nom de son atelier. Il compte des quantités de récompenses décrochées lors des concours d'élégance les plus réputés, mais ne s'attache pas qu'aux aspects esthétiques, comme il le précise lui-même : "Une voiture ne doit pas se contenter d'avoir belle allure, elle doit aussi fonctionner correctement. Nous sommes extrêmement satisfaits lorsque nous parvenons à préserver une voiture ancienne à son meilleur niveau, tant de performances que de beauté." C'est de ces services de grande réputation dont a bénéficié la présente 300 SL, avec une remise en état extrêmement soignée. A cette occasion, elle a été repeinte de couleur noire (code DB 40) et a reçu une sellerie en cuir rouge (code 1079) de toute beauté. Au cours des dix années suivantes, elle n'a parcouru que 758 miles (1 220 km). Le 3 avril 2011, elle a été importée en Suède puis immatriculée le 9 juin au nom de Staffan Wittmark. Depuis, elle a passé sans problème les contrôles techniques en 2013 et 2016. Aujourd'hui, elle se présente dans un état exceptionnel car la restauration n'a absolument pas souffert des années qui se sont écoulées.

Estim. 1 400 000 - 1 800 000 EUR

1957 Mercedes-Benz 300 SL roadster No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 198.042 7500119 Moteur n° 198.980 7500135 • La 51ème 300 SL roadster construite • Palmarès en course avec son premier propriétaire Gunther Philipp • Améliorations d'époque faites à l’usine, jantes Rudge à fixation centrale • Restauration de haut niveau par un des meilleurs spécialistes • Historique exceptionnellement documenté • Sans reserve Une des particularités de cette voiture est d'avoir été livrée neuve à un acteur autrichien célèbre, Gunter Placheta, dont le nom de scène était Gunther Philipp. Sportif accompli, champion de natation (il détenait le record autrichien du 100 mètres brasse), il commence par étudier la philosophie, la psychologie et la médecine avant d'ouvrir un cabinet à Eberstazell. Passionné de théâtre, il crée en 1946 avec trois amis une troupe de cabaret, "Die kleinen Vier" et, en 1949, décide d'abandonner son activité de médecin pour se consacrer entièrement à son métier d'acteur. Sa filmographie compte plusieurs dizaines de films et séries populaires, des années 1950 à 2000. Mais Gunther Philipp est un homme aux multiples passions et le sport automobile en fait également partie. Au début des années 50, il crée son équipe de course sous le nom "Ecurie Vienne" et remporte même le Championnat d'Autriche GT dans les années 60. Puis, après avoir raccroché son casque, il animera avec Jochen Rindt l'émission Motorama, sur la station ORF. C'est dans ce contexte enthousiaste qu'il fait l'acquisition de cette Mercedes 300 SL roadster qui lui est livrée le 25 juillet 1957 avec un kilométrage de 3 735 km, et qui est immatriculée à Berlin via Herbert Schulze Automobile, sous le numéro B-PP 99. Selon les indications fournies par Éric Lemoine, spécialiste reconnu du modèle, plusieurs courriers échangés avec l'usine témoignent de nombreuses améliorations apportées à cette voiture, à la demande de son propriétaire particulièrement connaisseur et exigeant. Ainsi, une lettre datée du 14 août 1957 et adressée à Mercedes Munich mentionne de façon très directe plusieurs défauts auxquels Gunther Philipp souhaite qu'un remède soit apporté au plus vite. Il déplore un manque de puissance du moteur et suspecte que le rapport de pont n'est pas celui qu'il a commandé. Il précise également que "les freins sont dangereux sur revêtement mouillé", que "l'embrayage broute et présente une course trop courte". Par ailleurs, il se plaint "que la carrosserie vibre trop, en particulier autour des portes, et que des fissures au niveau du coffre doivent être réparées et repeintes, ce qui imposera de repeindre entièrement la voiture." Enfin, il commande des jantes Rudge à fixation centrale. Ces courriers ne restent pas sans suite ; des améliorations sont en effet apportées au système de freinage et un courrier de Mercedes Munich du 6 septembre 1957 confirme la pose des jantes Rudge chromées (quatre plus une roue de secours). Mercedes n'ayant pas usage des roues d'origine, elles sont laissées à Gunther Philipp. Par ailleurs, un courrier atteste du remplacement probable du moteur d'origine, sans doute courant août 1957, ce qui pourrait expliquer la raison pour laquelle le numéro du moteur équipant la voiture a été refrappé. Sur une commande de travaux datée du 21 août 1957, Gunther Philipp demande le prix d'arbres à cames sport, mais il n'est pas précisé si ceux-ci seront finalement montés. Le 11 mai 1959, la voiture est repeinte de couleur blanche (code DB 50) : elle affiche alors 40 345 km et porte encore son immatriculation berlinoise. Un peu plus tard, un pont arrière plus court (1 : 3,64) est posé en préparation d'une épreuve de course prévue le 30 septembre 1959. Entre ses engagements d'acteur, Gunther Philipp prend part à diverses épreuves régionales, comme en attestent en particulier plusieurs photos jointes à la documentation et qui ont été prises lors des courses suivantes : - 23-24 mai 1959, Internationale Semperit-Rallye (résultat non connu). - 4 octobre 1959, Internationales Autorennen Innsbruck (abandon). - 12 juin 1960, Internationales Autorennen Flugplatz Linz, cinquième au classement général et victoire en GT de plus de 1600. - 25 septembre 1960, Internationales Flugplatzrennen Klagenfurt (résultat non connu). En septembre 1960, Gunther Philipp adopte le pseudonyme "Constantine", quand il s'inscrit avec sa 300 SL roadster à la course de côte du Gaisberg, épreuve comptant pour le Championnat d'Europe de la Montagne. On le retrouve d'ailleurs quatre ans plus tard, en 1964, au départ de cette même épreuve, mais sous son nom Placheta et au volant d'une Ferrari 250 GT berlinette châssis court. Après avoir fait bon usage de sa 300 SL, l'acteur et pilote amateur s'en sépare au début des années 1960. Jusqu'à 1962, elle est immatriculée au nom de Herbe

Estim. 900 000 - 1 200 000 EUR

2014 Ferrari F12 Berlinetta No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° ZFF74UHB000203243 • 2 629 km d'origine seulement ! • Achetée neuve par Staffan Wittmark • Options rares et recherchées • Superbe teinte "Grigio Silverstone" • Sans réserve Cette voiture dont l'état est proche du neuf n'affiche que 2 629 km d'origine ! Après l'avoir achetée neuve auprès de Autoropa, Staffan Wittmark l'a vendue en 2016 à un ami mais, regrettant son geste, il l'a reprise via un échange contre sa 550 Maranello. La dernière révision dont elle a fait l'objet a été effectuée en novembre 2022 chez Autoropa, spécialiste Ferrari-Maserati de Stockholm. Cette berlinette F12 bénéficie d'un équipement extrêmement complet, avec de nombreuses options : teinte "Grigio Silverstone", étriers de freins jaunes, ceintures de sécurité beiges assorties à la sellerie, sièges Daytona, badge Scuderia, barrettes de calandre chromées, compte-tours jaune, caméras avant et arrière, bas de caisse sport, régulateur de vitesse, écran passager, sièges entièrement électriques, système HiFi, habillage cuir sur les montants de pavillon, le tableau de bord et le coffre, rétroviseur anti-éblouissant électrique, matelassage diamant pour le ciel de toit et le compartiment à bagages, volant cuir, jantes 20 pouces forgées. Cette voiture est livrée avec ses carnets et sa housse d'origine. Remplaçante de la 599 GTB Fiorano, la Ferrari F12 poursuivait la lignée des berlinettes Ferrari à moteur V12 avant, dans la grande tradition des 275 GTB et Daytona. Son moteur 6,3L développait la puissance incroyable de 740 ch, ce qui permettait à ce bolide d'atteindre 340 km/h. Sa beauté radicale était au service de l'aérodynamique et Ferrari la présentait comme "le fer de lance de l'extrême". Avec son faible kilométrage et son état proche du neuf, l'exemplaire que nous présentons permettra à son nouveau propriétaire de pleinement profiter des performances hors du commun de cette machine d'exception. Incidence sur la TVA : Le véhicule ayant moins de 6000 km d’utilisation, il peut être considéré « comme neuf » dans certains pays de l’Union Européenne. Nous vous remercions de prendre contact avec votre administration fiscale pour avoir confirmation du statut dans le pays de destination. En cas d’adjudication à un acheteur résident en France, une TVA de 20% sera facturée sur l’adjudication et les frais. Swedish title Chassis no. ZFF74UHB000203243 • Only 2,629km from new! • Bought new by Staffan Wittmark • Rare and sought-after options • Magnificent ‘Grigio Silverstone’ colour • No reserve This car, which is in virtually new condition, has covered only 2629km from new! After buying it new from Autoropa, Staffan Wittmark sold the car in 2016 to a friend, but, regretting his decision, bought it back in exchange for his 550 Maranello. Its last service was carried out in November 2022 by Autoropa, a Ferrari and Maserati specialist in Stockholm. This F12 Berlinetta is extremely well equipped and has numerous options: ‘Grigio Silverstone’ paintwork, yellow brake callipers, beige seat belts to match the upholstery, Daytona seats, Scuderia Ferrari shields, chrome radiator grille slats, yellow rev counter, front and rear cameras, sports side skirts, cruise control, passenger screen, fully electric seats, hi-fi system, leather trimmed windscreen pillars, dashboard and boot, electric auto-dimming rear-view mirror, diamond-quilted padding for the headlining and boot, leather steering wheel and 20-inch forged wheels. The car will be supplied with its books and manuals, as well as its original fitted cover. The successor to the 599 GTB Fiorano, the Ferrari F12 continued the line of V12 front-engined Ferrari berlinettas, in the great tradition of the 275 GTB and the Daytona. Its 6.3-litre engine produced an incredible 740bhp, enabling it to reach 340kph. Its radical styling contributed to its aerodynamic efficiency and Ferrari presented the F12 as “A spearhead of extreme V12-cylinders”. With its low mileage and near-new condition, the example presented here will let its new owner enjoy to the full the extraordinary performance of this exceptional car. Impact on VAT: As the vehicle has been driven less than 6,000 kilometers, it can be considered “as new” for VAT purposes in certain European countries. Please contact your local tax authorities for confirmation prior to purchase. For a French buyer, a VAT of 20% will be charged on the hammer price and the premium.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

Nathalie du PASQUIER (1957) - France - Rovere - Céramique - D 21 x H 35 cm - ED 13/50 - 2018. Un certificat de la galerie sera remis à l'acheteur. Nathalie Du Pasquier a travaillé comme designer au sein du groupe Memphis jusqu'en 1987, produisant des motifs, des textiles, des surfaces décorées et du mobilier. Depuis lors, elle se consacre principalement à la peinture. Au cours des trente-cinq dernières années, Du Pasquier a été intriguée par la relation entre les objets et les espaces dans lesquels ils sont installés. Cette recherche permanente s'est manifestée dans des peintures, des sculptures, des dessins, des motifs, des constructions, des tapis, des livres et des céramiques - agissant constamment entre le représentatif et le non-représentatif, le tangible et l'intangible, la réalité et l'imagination, et les formes bidimensionnelles et tridimensionnelles. Peintre élargie travaillant entre les formats, Du Pasquier est ouverte à de nouvelles possibilités et à l'expérimentation, jouant continuellement avec des arrangements complexes de formes. Pendant une longue période, elle a réalisé des natures mortes en suivant une méthodologie précise combinée à une intuition pure : construire des ensembles avec différents éléments - d'abord des objets quotidiens, puis des constructions en bois faites à la main - et représenter méticuleusement ce qu'elle avait sous les yeux. Aujourd'hui, Du Pasquier travaille directement sur papier ou sur toile et réalise des constructions qui jouent sur la juxtaposition de surfaces planes et d'objets tridimensionnels. Ses peintures peuvent respectivement exister en tant qu'objets, espaces ou environnements, brouillant les distinctions entre une œuvre et ses structures inhérentes de présentation. De nouveaux objets enrichissent constamment le monde imaginaire et symbolique de Du Pasquier et elle suit des chemins particuliers et poétiques pour construire et composer des formes, sculpter l'espace et rendre la représentation à nouveau. Elle considère tout ce qu'elle a fait comme une matière première pour de futurs projets - un travail qui fixe ses propres limites à chaque instant mais qui, en même temps, est toujours prêt à échapper au cadre de toute règle, entrant dans un territoire inconnu. Prix Golden A' Design Award - En 2020, Du Pasquier a remporté le Golden A' Design Award dans la catégorie Arts, Crafts, and Ready-Made Design pour sa table d'appoint "Fassett". AD Design Award - En 2017, elle a reçu un AD Design Award dans la catégorie "Designer of the Year" pour son travail exceptionnel dans le domaine du design. Elle Decoration International Design Award (EDIDA) - Du Pasquier a reçu le Elle Decoration International Design Award dans la catégorie "Best Fabric Design" en 2016. Compasso d'Oro - Elle a également remporté le prestigieux prix Compasso d'Oro en 1986 pour sa contribution au design.

Estim. 800 - 1 000 EUR

1963 Porsche 356 C Carrera 2 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 127697 Moteur n° P 97369 • Vendue neuve au baron de Rothschild via Sonauto • Restauration de haut niveau, état irréprochable, moteur d'origine • Modèle rare, la plus puissante des 356 commercialisées • Propriété de Valentin Kaiser pendant près de 30 ans • Moteur et combinaison de couleurs d'origine • Sans réserve Sortie d'usine à la fin de l'année 1963, cette rare Porsche 356 Carrera 2 a été livrée en janvier 1964 à Sonauto, importateur Porsche en France, pour être vendue neuve au baron David de Rothschild. Comme l'indique sa fiche de fabrication, elle était à l'origine gris 6401 A avec intérieur en simili rouge. On retrouve ensuite la voiture dans le nord de la France avant qu’en 1985 elle soit achetée par Valentin Kaiser, directeur du Centre Porsche Classic de Vélizy, près de Paris. Ce dernier nous a confirmé qu’il avait acheté auprès d’un industriel du nord, deux 356 Carrera le même jour ! Il nous a confirmé que la voiture était équipée de son moteur d’origine et que la boîte de vitesses avait été changée. Il va ensuite restaurer la voiture dans la configuration qu’il trouvait la plus désirable : rouge signal avec sièges en cuir noir. Il l'a conservée presque 30 ans dans un parking bien protégé. C'est là que Roberto Bertaccini, de Cremonini Classic (à côté de Modène), l'a découverte et en a fait l'acquisition. Acheminée jusqu'à l'atelier modénais, elle a fait l'objet d'une seconde restauration, là aussi de grande qualité, avec démontage complet. Le moteur a été envoyé au mécanicien suisse Armin Baumann pour vérification et la sellerie confiée à Ferraresi Interni Auto pour être entièrement refaite en cuir rouge, dans le respect de la couleur d'origine. La carrosserie a été préparée par Cremonini puis repeinte dans la teinte grise d'origine, n°6401 A. Une fois la restauration terminée, cette voiture a été achetée en 2014 par un autre collectionneur, puis par Staffan Wittmark. Elle a bénéficié en 2020 d'une révision par Porsche Haninge, en Suède. Aujourd'hui, cette Porsche Carrera 2 C se présente dans un état que l'on peut qualifier de "concours". La tôlerie et la peinture sont parfaites et l'intérieur est proche du neuf, avec ses sièges magnifiques, son tableau de bord impeccable avec autoradio d'époque, son volant bois et ses moquettes irréprochables. Le coffre avant reçoit la roue de secours ainsi que le cric, la trousse à outils et un chargeur de batterie, et le coffre arrière présente encore le badge "Sonauto - Paris". Cette voiture est accompagnée d'un livre complet édité spécialement et qui reprend son historique, les documents qui la concernent et tout un ensemble de photos. Rappelons que la Carrera 2 C est la plus puissante des Porsche 356 commercialisées, à la suite de la première Carrera 1500 GS présentée au Salon de Francfort 1955. Née en 1961, elle recevait le 4-cylindres à plat refroidi par air issu de la 550, doté de deux ACT par banc et d'un système de double allumage, ici dans une cylindrée de 2 litres. Véritable "compétition-client", elle atteignait 200 km/h, ses freins à disques l'arrêtaient de façon efficace et elle restait facile à utiliser grâce aux indispensables équipements de confort. Enfin, c'est un modèle particulièrement rare puisque la production de Carrera 2 n'a pas dépassé 436 unités. L'exemplaire que nous présentons présente de nombreux avantages : belle provenance française, appartenance à une personnalité du monde des affaires, conservé par un des plus grands connaisseurs de Porsche en France et état hors du commun faisant suite à une restauration de haut niveau, moteur d'origine, couleurs d'origine. A ce titre, c'est une des Carrera 2 C les plus intéressantes du marché, ce qui ne saurait échapper aux amateurs du genre. Swedish title Chassis no. 127697 Engine no. P 97369 • Sold new to Baron David de Rothschild by Sonauto • High-quality restoration, impeccable condition, original engine • Rare model, the most powerful 356 ever sold • Owned by Valentin Kaiser for nearly 30 years • Original engine and colour combination • No reserve This rare Porsche 356 Carrera 2 left the factory at the end of 1963 and was delivered in January 1964 to Sonauto, Porsche’s importer in France, who sold it new to Baron David de Rothschild. As its build card indicates, it was originally grey (6401 A) with a red leatherette interior. The car then showed up in northern France, before it was bought in 1985 by Valentin Kaiser, the director of the Porsche Classic Centre in Vélizy, near Paris. Kaiser confirmed that he bought two 356 Carreras on the same day from an industrialist in the north! He also confirmed that the car had its original engine but that the gearbox had been changed. He then restored the car in what he c

Estim. 500 000 - 700 000 EUR

1971 Porsche 911 2.4 S No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9112300634 Moteur n° 6320961 • Restauration de grande qualité, intérieur magnifique • Modèle recherché, à trappe à huile extérieure • Moteur d'origine, couleurs d'origine • Set de bagages assortis à la sellerie par Ferraresi • Sans réserve Cette Porsche 911 S 2,4L se distingue par la qualité de sa restauration et sa finition intérieure de toute beauté. Vendue neuve en Italie, à Varese, elle a appartenu de 1980 à 2013 au même propriétaire, M. E. Sassi, d'Alessandria. C'est probablement lui qui l'a fait restaurer avant de la céder à un M. Invernizzo, de Tortona, qui l'a lui-même vendue à un spécialiste anglais, Fine Cars. C'est auprès de ce dernier que Staffan Wittmark en a fait l'acquisition, en 2014. Il s'agit d'une enviable version à trappe à huile à l'extérieur. Rappelons que cet aménagement a accompagné à l'époque le déplacement du réservoir d'huile, mais que sa confusion avec la trappe à essence à amené Porsche à le supprimer rapidement. Les survivantes qui en sont dotées sont aujourd'hui rares et recherchées. Grâce à sa restauration de haut niveau la carrosserie de cette voiture, dans sa teinte noire d'origine, est superbe, avec des ouvrants magnifiquement alignés et une peinture impeccable, même si le noir ne pardonne pas les défauts. Le compartiment moteur semble d'origine et le coffre avant est représentatif de la qualité de la restauration. Il contient la trousse à outils ainsi qu'un jeu de sacs de voyage dans le même tissu que celui des sièges et fabriqué par Ferraresi Interni Auto, un des plus grands selliers italiens basé à Ferrare et qui a sans doute restauré l'intérieur de la voiture. Magnifique, l'habitacle est tendu de cuir brun clair avec un tissu assorti, ce qui procure une atmosphère lumineuse. L'ensemble est pratiquement neuf et donne l'impression de n'avoir jamais été utilisé. Cette voiture est accompagnée d'un intéressant dossier historique, avec un certificat d'origine Porsche, un ensemble de documents et factures relatifs à sa vie en Italie, incluant la copie de l’ancien titre de circulation, et un manuel d'utilisation. La dernière révision a été effectuée par Porsche Haninge, en 2020. Avec sa restauration magnifique et son millésime recherchée, c'est une pièce de choix pour tout amateur de cette classique allemande. • High-quality restoration, magnificent interior • Sought-after model with outside oil filler • Original engine and colours • Set of luggage to match upholstery by Ferraresi • No reserve This Porsche 911 2.4 S is set apart by the quality of its restoration and exquisite interior finish. Sold new at Varese in Italy, from 1980-2013 it belonged to the same owner, E. Sassi from Alessandria. It was probably Sassi who had the car restored before selling it to a Sig. Invernizzo, from Tortona, who in turn sold it to an English specialist, Fine Cars. It was from them that Staffan Wittmark bought it in 2014. It is a desirable version with the wing-mounted oil filler flap. This arrangement went with the relocation at the time of the oil tank, but it could be confused with the fuel filler flap and quickly led Porsche to scrap it. The surviving cars with it are now rare and sought after. Thanks to its high-quality restoration, the bodywork of this car, finished in its original black, is magnificent, with superbly aligned panels and immaculate paint, even though black does not forgive any faults. The engine compartment appears original, while the boot at the front is representative of the standard of the restoration. It contains the tool kit as well as a set of travel bags in the same fabric used for the seats made by Ferraresi Interni Auto, one of the top Italian trimmers, based in Ferrare, who in all probability restored the interior of the car. The magnificent passenger compartment is trimmed in light brown leather with matching cloth, giving it a light and airy feel. The whole car is virtually new and gives the impression that it has never been used. The car comes with an interesting history file with a certificate of origin from Porsche, a set of documents and invoices from its time in Italy (including a copy of its former registration certificate) and an owner’s manual. The last service was carried out by Porsche Haninge in 2020. Superbly restored and from a sought-after model year, this is a prime example for any lovers of this German classic.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR