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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
Retrouvez sur Drouot.com les plus belles ventes live d’objets de collection à Paris, dans toute la France et à l’étranger (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, etc.)

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Lots recommandés

1971 – Porsche 911 2.2L T Targa - Titre de circulation français Châssis n°9111110565 Moteur n°6133645 - Intéressante version Targa à la carrosserie très saine - Historique depuis l’origine, carnet d’entretien tamponné - Moteur 2.4L T et boîte de vitesses type 915 à 5 rapports - Belle teinte de carrosserie « Tangerine » et manuels de bord Localisation : région parisienne La voiture présentée est une 911 2,2L T Targa, qui a été vendue neuve en Caroline du nord aux USA le 12 décembre 1970, comme l’indique son carnet d’entretien d’origine, tamponné jusqu’en 1979. De 1973 à 1976, l’entretien a été assuré par le réseau au Texas, puis en 1979 en Arkansas. De 1980 à 1989, un carnet de note rempli consciencieusement par le propriétaire nous renseigne sur les kilomètres parcourus, les pleins d’essence et les travaux de réparation effectués. En 2008 elle fut exportée de Floride par un professionnel français qui la passa sous le marteau de maître Poulain en 2009 auprès duquel le propriétaire actuel l’acquit. Un dossier de factures accompagne la voiture. En 1979, une facture américaine nous indique que le moteur a été refait et le bloc remplacé par un 2.4 litres T (type 911/91). Les deux ailes arrière sont du type 2.7L Carrera RS, les 4 jantes de 7 et 8 pouces (de large) de 2.7L et la boîte de vitesse à 5 rapports du type 915. Elle est passée notamment chez Nourry Expérience à Bourth pour la réfection de la boîte de vitesses et chez Porsche distribution à Versailles. La peinture qui date de 2009, présente quelques petits éclats facilement retouchables et l’intérieur en vinyle noir d’origine est en état correct. Voilà une Porsche 911 targa attrayante et amusante, modifiée mais très abordable. Localisation : région parisienne

Estim. 50 000 - 70 000 EUR

1991 – Jaguar XJR-S - Titre de circulation français Châssis n°SAJJSAES4BK177683 - XJ-S dynamisée par TWR dans sa désirable version V12 6L - Un des 390 exemplaires à la configuration emblématique - Voiture française bien conservée totalisant 100 500 kms - Carnet d’entretien, manuels, dossier et accessoires Localisation : région lyonnaise Notre voiture est une Jaguar XJR-S, dite de la « deuxième série », c’est-à-dire équipée du V12 6 litres de 318 chevaux, de l’amortissement Bilstein, de la monte pneumatique Dunlop spéciale, du freinage renforcé et de la direction typée sport. Cette dotation mécanique s’accompagne évidement du kit carrosserie propre à cette version, notamment avec l’aileron, les pare-chocs et les bas de caisse spécifiques, ainsi que les jantes aluminium Speedline caractéristiques. La voiture se présente dans sa configuration d’origine aux accents très britanniques : « Brooklands Green » (HFB), avec intérieur en cuir « Magnolia » (AEM) à passepoil vert et boiseries en ronce de noyer. Il s’agit d’un rare exemplaire français, qui a été livré neuf par l’importateur Franco Britannic Automobiles de Levallois-Perret le 5 février 1991 et mis en circulation le 28 février suivant. Son historique est limpide, puisqu’après avoir été immatriculé au nom d’une société parisienne jusqu’en 1998, il n’a connu qu’un seul propriétaire avant que l’actuel en fasse l’acquisition, lors d’une vente aux enchères en 2005, soit il y a près de 19 ans. Soigneusement entretenue, cette XJR-S, qui totalise à peine 100 500 kms est dans un état de conservation appréciable. Effectivement, elle n’a jamais été restaurée bien que sa carrosserie ait reçu un voile de peinture il y a déjà de nombreuses années. On signale simplement un point de corrosion au bas de l’aile avant gauche qui serait à reprendre, tandis que les chromes ou les joints sont en bon état, alors que les jantes sont exemptes de défaut et que les quatre pneus sont de 2021. Dans l’habitacle, si les moquettes avant seraient à remplacer, la sellerie est en excellent état de préservation et les boiseries présentent bien, même si celle de la console centrale est un peu craquelée, alors que le ciel de toit a été refait. D’un point de vue mécanique, du fait d’un usage régulier cette XJR-S fonctionne bien, ainsi que nous avons pu le constater lors de l’essai. Le comportement dynamique de cette version sportive de la vénérable anglaise se ressent d’ailleurs clairement à son bord. Le carnet d’entretien présent au dossier et les factures qui le constituent permettent de constater qu’elle a constamment été suivie et de voir l’entretien dont elle a fait l’objet. La voiture est accompagnée de l’ensemble de ses carnets et manuels dans leur pochette en cuir originale, de teinte magnolia, assortie à la sellerie et embossée du logo Sport de Jaguar, ainsi que de son double des clés et de son cric dans sa housse d’origine. Dans une telle configuration, avec un tel historique, dans un très bon état d’origine de présentation et de fonctionnement, c’est donc une XJR-S 6L particulièrement désirable que nous proposons. Ce d’autant plus qu’il s’agit d’une voiture vraiment très rare, avec seulement 390 exemplaires produits, et en même temps de l’une des XJS les plus performantes et radicales, le tout à un tarif encore abordable. Alors sachez profiter de cette opportunité exceptionnelle. A sa sortie en 1975, la XJ-S a eu du mal à effacer le souvenir de la Type-E qu'elle remplaçait. Elle a souffert des chocs pétroliers successifs à son lancement et de sa conception, plus bourgeoise et moins sportive que sa devancière, qui en a déconcerté plus d’un. La ligne est pourtant acérée et tout à fait dans l’air du temps des années 1970, l’intérieur n’a jamais été aussi luxueux et le confort sur la route est impérial, mais les débuts sont difficiles. Cependant, John Egan, le patron de Jaguar de l’époque, croyait encore en la XJ-S. Il fit appel à l'ingénieur Michael May, père du système d’injection chez Porsche, pour améliorer ses performances en la dotant d’une nouvelle mécanique digne de son rang, à haut rendement énergétique. En 1981, le noble V12 de 5,3 litres, aux culasses de type « Fire Ball » (chambres de combustion à haute turbulence), développant désormais 10 chevaux de plus, soit 295, prend alors place sous le capot du coupé XJ-S dit « HE » pour High Efficency ». Deux ans plus tard, en 1983, une version six-cylindres de 3,6 litres est proposée, en même temps qu’une déclinaison découvrable (XJ-SC) produite chez Tickford, tandis que la variante entièrement cabriolet, conçue avec le carrossier Karmann n’arrivera qu’en 1988. La même année, Jaguar Sport, la société née de l’association de Jaguar avec l’écurie britannique Tom Walkinshaw Racing (TWR) et de ses succès en cha

Estim. 30 000 - 35 000 EUR

Simca 9 Sport 1953 - Châssis n°48914 
 Moteur n°128403
 Carte Grise Française Sans réserve Produite à moins de 1500 exemplaires entre septembre 1952 et août 1954 par Facel Metallon, la Simca 9 sport est conçue sur le châssis de l’aronde et la carrosserie allie aluminium et acier. La nouvelle Simca 9 Sport apparaît au Salon de Paris 1952, dessinée par Jean Daninos, elle est d’une grande nesse et dotée d’une finition impeccable. D’ailleurs, face à une mécanique modeste et une masse importante, l’auto n’est en fait pas une grande sportive, mais est incontestablement élégante. Cela dit, le modèle participe a quelques courses prestigieuses, dont les Mille Miglia et à de nombreux concours permettant alors de bien mettre sa robe en valeur. Elle changera de dénomination pour une appellation plus cohérente en 1954 pour « coupé de ville ». L’exemplaire présenté a bénéficié d’une restauration ancienne qui lui permet d’offrir aujourd’hui une belle patine générale tandis que l’intérieur en cuir vert patiné a été conservé dans son jus d’origine. Notre examen de la voiture a révélé la présence de rouille perforante, notamment au niveau de la poutre de châssis droit qui devra être traitée avant de pouvoir pro ter pleinement de la voiture. Une remise en route est également à prévoir, même si le moteur tourne librement. « Nous avions concentré nos efforts sur le dessin et l’harmonie de la carrosserie, précise Jean Daninos. Personnellement, je pense que ce modèle 53 est le plus beau de tous ceux que nous avons sous-traités pour Simca. Et nous avions atteint notre but puisque tout le monde salua sa beauté esthétique, sa finition et son originalité. » La Simca 9 Sport n’a été produite que pendant 3 ans avec un prix très élevé : plus élevé que le prix d’une Porsche 356. Voiture de luxe par son prix, mais aussi par sa finition et son habitacle avec de nombreux revêtements en cuir, la clientèle est rare pour cette voiture exclusive dans la seule version Coupé. Excessivement rares, ces élégantes voitures sont de plus en plus prisées par les amateurs de bon goût recherchant un très élégant coupé sport fiable, à l’entretien facile, capable de rouler été comme hiver ! Fait amusant, au jeu des différents rachats entre Talbot, Simca, Chrysler et PSA, les Simca 9 Sport vont se transformer en Talbot Sport 52 en préfecture! A l’arrière, l’écusson FM pour « Facel Metallon ». Plus tard, les Facel-Véga arborèrent le blason de Facel S.A. avec à la place du M, les armes de la ville de Paris. Cette Simca réussit à la perfection le mariage d’une élégance discrète et raffinée avec une ligne sport racée. Cette forme de pavillon est apparue en 1951 sur l’unique Bentley 4,5l dessinée par Jean Daninos et fut reprise à la fois dans la Simca 9 coupé sport en 1953, mais également sur le premier prototype Véga de chez Facel présenté à la presse en juillet 1954 et au public en octobre de la même année. Le moteur de la Sport est « gonflé » et développe 51 cv au lieu des 45 cv de la berline. FRAIS DE VENTE : 20% TTC

Estim. 5 000 - 10 000 EUR

2012 – Mercedes-Benz Classe G 63 AMG Brabus - L’indémodable 4X4 de la marque à l’étoile, perfectionné par son meilleur préparateur Titre de circulation français Châssis n°WDB4632721X202094 - Capacités routières et de franchissement hors du commun - Véhicule préparé et livré d’origine par Brabus - Moteur V8 5.5L bi-turbo de 620 chevaux - Finition spécifique et équipement pléthorique - Entretien exclusif par Mercedes et historique complet - Très bon état, à peine 132 000 kms avec service à jour Localisation : région parisienne Le Classe G présenté est un modèle Mercedes-Benz, de type 463 de 2012, dans sa version 63 AMG, commandé et préparé par le célèbre préparateur allemand Brabus dès l’origine. Ce Classe G, qui est l’un des premiers G 63 AMG revu par Brabus, dispose donc du V8 5.5L bi-turbo poussé à 620 chevaux, grâce au module Brabus B63-620 PowerXtra qui donnera son nom aux exemplaires suivant optimisé de la sorte. Initialement mis en circulation en Allemagne mais immédiatement enregistré en Angleterre fin 2012, ce Classe G change de main quelques mois plus tard. Il est alors acquis en 2013 avec un peu plus de 5000 kms par un éleveur de chevaux réputé, effectuant l’essentiel de son kilométrage, en le faisant entretenir régulièrement en Suisse, toujours chez le même concessionnaire de la marque, en l’occurrence le garage de l’Athénée à Genève (Cointrin). Il connait ensuite un autre propriétaire, avant que le 4ème et actuel l’achète chez un professionnel l’année dernière sur un coup de cœur. Il faut reconnaître que ce Classe G, dans sa configuration entièrement noire (Obsidian Black Metallic et intérieur cuir noir Designo), a de quoi plaire. Outre la préparation mécanique Brabus, incluant le dispositif B63-620 et la suspension pilotée Ride Control, celle-ci s’accompagne de toute une préparation esthétique, avec jantes noires en aluminium forgé monobloc Platinium Edition de 23 pouces, sorties d’échappements chromées noir mat siglées Brabus, étriers de freins peints en jaune, peinture de tous les éléments chromés ou argentés en noir, seuils de porte éclairés Brabus en aluminium, tapis de sol Brabus et multiples insignes. Tout ceci en plus de la multitude d’options Mercedes qui équipait déjà ce Classe G à la base, dont pour n’en citer que quelques-unes : pack Designo exclusif avec cuir matelassé, sièges électriques chauffants et ventilés à l’avant, toit ouvrant électrique, système audio Harman Kardon Logic7, régulateur de vitesse actif (Distronic Plus), caméra de recul, interface multimédia avec écrans pour les passagers arrière… Le détail de toute la dotation et la préparation figurant sur la facture originale présente au dossier (disponible sur demande). Aujourd’hui ce Classe G totalise à peine 132 000 kilomètres et est en excellent état d’usage. Il est strictement d’origine, c’est-à-dire conforme à ce qu’il était à sa sortie des ateliers Brabus, à la différence près que l’écran central a été remplacé par un plus grand, avec une interface plus moderne intégrant CarPlay pour une meilleure fonctionnalité. Le dernier entretien a été effectué en juillet 2023, à 127 725 kms, par le spécialiste agréé Mercedes du Chesnay en région parisienne, les consommables sont en bon état et la batterie est neuve. Le carnet d’entretien complet et le dossier de factures correspondant confirment l’entretien sérieux de ce Classe G, qui est aussi accompagné de tous ses accessoires (manuels d’utilisation, double de clés…). Prêt à partir à l’aventure avec un style et avec un niveau de prestation incomparable, cet exceptionnel Classe G, dans sa version 63 AMG 620 Brabus, aussi puissante que luxueuse, permet d’affronter tous types de routes en toute sérénité. Sa configuration particulièrement soignée, ainsi que le caractère intemporel du G lui procurant en plus la surprenante faculté d’être toujours en vogue, et de ne jamais être démodé, lui offrant même une certaine élégance, malgré son gabarit imposant. Commercialisé en 1979 dans sa version civile, le Geländewagen, ou G-Wagen en abrégé, développé par Mercedes en étroite collaboration avec l’entreprise autrichienne Steyr-Puch, a une origine militaire. Initialement, au tout début des années 1970 c’est le Shah d’Iran, alors actionnaire important de la maison mère Daimler-Benz de Mercedes, qui commande l’étude d’un véhicule tout-terrain pour son armée, accélérant ainsi un projet naissant tandis que le Range Rover vient de faire son apparition. Les premiers prototypes codés W460 roulent dès 1974, mais la fabrication de la version définitive du G-Wagen type W461 commence seulement cinq ans après, peu après la chute de son commanditaire… Les concepteurs du G-Wagen avaient eu les débouchés militaires et professionnels en tête, mais avaient heureusement visé aussi les particuliers, face à l

Estim. 80 000 - 100 000 EUR

PORSCHE 356 SPEEDSTER Première Porsche à porter le nom de son créateur, la 356 est un dérivé sportif de la Coccinelle, châssis, mécanique améliorée, suspensions, etc., elle apparaît en 1948. Sortie tout d'abord en 1100 cm3, elle passe rapidement en 1300 cm3, puis une version 1500 cm3 est proposée en 2 puissances, jusqu'à 70 chevaux. Elle est disponible en coupé et cabriolet. Suite à la demande, fin 1954, de Max Hofmann, fameux importateur new-yorkais de voitures de sport européennes, la firme développe la Speedster. C'est une version plus sportive, au pare-brise bas, à la capote simplifiée, sans vitres latérales descendantes. La 356 est engagée dans une multitude de compétitions, circuits, rallyes, courses de côte et y glanera d'innombrables victoires, qui créeront la légende Porsche et perdurera avec les versions suivantes la 356 B, puis 356 C, ainsi que sa fameuse descendante, la 911, toujours en production à ce jour. Fabriquée jusqu'en 1965, la 356 dans ses différentes versions, 356 pré A, A, B, C sera produite à plus de 76'000 exemplaires. Le modèle mis en vente a été fabriqué le 29 avril 1955, soit presque 69 ans jour pour jour avec la vente aux enchères! Selon le certificat de Porsche Classic GmbH du 3 mars 1997 qui accompagne le véhicule, celui-ci a été livré neuf à AMAG en Suisse. Son moteur et sa boîte d'origine ont été remplacés par le plus puissant moteur 1600 cm3. Il est dans sa couleur d'origine blanche. L'intérieur a été refait avec soin dans un magnifique et très enviable cuir bordeaux. Le compteur affiche 44'444 km. L'auto a été expertisée en vétéran en mars 2024. Ce véhicule iconique est une occasion à ne pas laisser passer!

Estim. 280 000 - 350 000 CHF

1989 – Mercedes-Benz 560 SEC « Wide body » - Titre de circulation français Châssis n°WDB1260451A508331 - Une des pionnières de l’ère des GT modernes - Version V8 5,6L de 279 chevaux - Style Wide Body particulièrement réussi - Moins de 182 500 kms au compteur Localisation : région parisienne Le coupé Mercedes W126 proposé est un modèle 560 SEC, soit la meilleure version de l’époque avec son V8 5,6L de 43 mkg couple ! La voiture a été livrée neuve quelques jours avant la chute du mur de Berlin et si elle est restée mécaniquement conforme à l’origine, sa présentation a été très travaillée (au risque d’être recalée au contrôle anti-dopage niveau stéroïdes), dans le plus pur style Wide Body : jantes AMG en trois parties, ailes larges, spoiler, bas de caisse, volant AMG, cuir étendu jusqu’au pavillon et à la plage arrière… Les images parlent d’elles-mêmes. Etant précisé que depuis la séance photos réalisée, la calandre a été remise en noir et les feux clignotants blancs remplacés par des oranges dans le respect de la dotation d’origine. S’agissant d’un exemplaire mis en circulation en Allemagne en octobre 1989, il s’agit d’une version catalysée développant un peu moins de 300 chevaux. D’après le rapport Histovec disponible la voiture a été importée en France en 2003 et n’a eu qu’un propriétaire à partir de ce moment-là jusqu’en 2018, avant d’en connaître deux autres jusqu’à aujourd’hui. Affichant un peu moins de 182500 kms au compteur cette 560 SEC est dans un état satisfaisant pour son âge, aussi bien esthétique que mécanique. La présentation et quelques détails de finition pourraient être à parfaire, mais la sellerie est plutôt bien conservée. La mécanique est saine et la boîte de vitesses a notamment été révisée il y a moins de 5000 kms. Le contrôle technique est à jour de moins de 6 mois. Pour autant, la voiture ayant peu roulé ces dernières années, au regard du caractère sophistiqué de ce modèle, une révision d’usage serait à prévoir avant d’envisager de longs parcours pour plus de tranquillité. Un dossier de factures et sa notice d’entretien en français accompagne cette GT emblématique. Au milieu des années 80 (et de la nuit) rien n’était trop cher, rien n’était trop beau et surtout pas la poudre aux yeux… Alors quand une berline Mercedes 560 SEL tarifée 11 ans de Smic était trop commune, que le coupé 560 SEC était trop discret, il ne restait que le tuning (et le carré VIP du palace ou du New Starflash Lazerline) pour se distinguer : de l’outrancier Koenig à conduire en survêtement Tacchini jusqu’à AMG pour les plus classes, en mocassins Nebuloni. Cette 560 SEC « Wide Body » a clairement choisi son camp. Alors retour dans les années 80 ? Apparu en 1981, le coupé Mercedes SEC W126 reprend, contrairement à son prédécesseur, le SLC basé sur la plateforme allongée W107 du SL, celle de la classe S, avec un empattement raccourci de 10 centimètres. Il se distingue par son élégance, avec des lignes tendues, une caisse assez basse et quelques détails tels que l’absence de montant central avec des vitres latérales descendantes. Il bénéficie d’emblée des équipements de sécurité apportées à la berline, comme le montage de prétensionneurs de ceintures de sécurité ou l’airbag conducteur en option. Visant avant tout le marché américain et afin d’offrir des performances de premier plan, seuls des V8 sont disponibles, sous les dénominations respectives de 380 et 500 (en référence aux cylindrées) à la sortie. Au début du coupé SEC, la 500 avec son V8 d’une cylindrée de 4973 cm3 développant une puissance de 231 chevaux et une transmission automatique à 4 rapports d’office, est donc le haut de gamme. D’ailleurs, la sellerie offrant quatre places généreuses est aussi luxueuse, le tableau de bord est recouvert d’inserts imitant le bois précieux et la qualité de la finition est irréprochable. En outre les options disponibles au catalogue sont également à la pointe, avec une sellerie tout électrique, un régulateur/limitateur de vitesse ou encore un toit ouvrant électrique par exemple entre autres. C’est alors la reine de la catégorie des grands coupés de luxe et malgré des tarifs prohibitifs elle connaît un certain succès. Aussi les premières évolutions arrivent seulement en fin d’année 1985, avec des jantes passant de 14 à 15 pouces, des boucliers plus enveloppants et des habillages de caisse mieux intégrés, tandis que les moteurs sont remaniés. Les V8 3,8L cède ainsi sa place à un 4,2L de 218 chevaux pour la 420 SEC, alors que le 5L atteint 245 chevaux et qu’un gros 5,6L de 300 chevaux fait son apparition avec la 560 SEC qui chapeaute la gamme. En tant que version la plus de gamme, cette dernière, voit son équipement encore enrichi avec les sièges et vitres électriques, la climatisation automatique, le correcteur d’assiette arrièr

Estim. 60 000 - 70 000 EUR

BERNAR VENET (born 1941) Undertermined Lines 1991 Signé, titré et daté en bas à droite Baton d'uuile sur papier Gesigneerd, getiteld en gedateerd rechtsonder Olieverf op papier Signed, titled and dated lower right Oilstick on paper 110 x 129 cm Footnotes: Provenance / Herkomst Eric Van de Weghe Gallery, Belgium Collection privée / privécollectie, Belgium L'authenticité de cette œuvre nous a été aimablement confirmée par l'artiste Cette oeuvre est enregistrée aux archives sous le numéro d'inventaire bv91d58 Bernar Venet devient artiste à une époque où l'abstraction lyrique explose en France et l'art conceptuel aux Etats-Unis. Il n'adhère pas à ces mouvements et cherche autre chose pour élargir le champ de la création. Il va donc trouver ailleurs son inspiration, dans des disciplines étrangères au monde de l'art telles que les mathématiques, la géométrie ou la physique. Son travail va se développer autour d'un thème : la Ligne, qui deviendra droite, courbe, indéterminée avant de se transformer en Arcs et en Angles. Dès ses prémices, son œuvre est radicale voire austère au regard de la création abstraite des années 60, généralement lyrique et colorée. Utilisant le noir et des matériaux industriels, par une gestuelle minimum et délibérément inexpressive, il a la volonté d'aboutir à l'objet absolu, celui dont la forme ne renverrait qu'à lui-même et non au « style » de l'artiste. Il restera fidèle aux principes initiaux de sa création (principe d'équivalence, refus de l'esthétique et principe de monosémie) sur lesquels il fonde une œuvre protéiforme : peintures, sculptures, dessins, photographies, architecture, poésie, œuvres sonores, films....Extrait du texte de Maud Barral. This lot is subject to the following lot symbols: AR AR Un pourcentage supplémentaire sera demander aux acquéreurs pour les lots précédés du symbole AR correspondant aux droits de suite aux artistes en vertu de la réglementation de 2006 sur le droit d'auteur. Veuillez vous référer aux conditions de ventes pour plus de détails. De koper is ons een extra premie verschuldigd ter dekking van onze kosten in verband met de betaling van royalty's krachtens de Artists Resale Right Regulations 2006. Zie onze algemene voorwaarden voor meer informatie. An Additional Premium will be payable to us by the Buyer to cover our Expenses relating to payment of royalties under the Artists Resale Right Regulations 2006. See our terms and conditions for further details. For further information on this lot please visit Bonhams.com

Estim. 50 000 - 70 000 EUR

1971 – Alfa Romeo 1750 GT Veloce - 1971 – Alfa Romeo 1750 GT Veloce Titre de circulation français Châssis n°AR*1390583 Moteur n°AR000548*G3439 - Version 1750 la plus équilibrée et sonore du coupé Bertone - Voiture d’origine française n’ayant eu que 4 propriétaires - Superbe configuration avec bel intérieur en simili cuir tabac - Importants travaux mécaniques récents, esthétique à parfaire Localisation : région lyonnaise Notre Alfa Romeo 1750 GT Veloce a été livrée à son premier propriétaire par la succursale Alfa Romeo de Paris du 8ème arrondissement, ainsi qu’en témoigne sa plaque d’importateur encore présente dans le compartiment moteur. Mise en circulation le 4 mai 1971, il s’agit d’une série 2, qui a conservé les phares jaunes de l’époque. Sa configuration de couleur noire avec l’intérieur en simili cuir tabac est particulièrement flatteuse. L’histoire de cette voiture est claire puisqu’elle n’a connu que 4 propriétaires. Le premier l’a conservée 23 ans, soit jusqu’en 1994, lorsqu’elle fut acquise par le deuxième propriétaire, qui l’a ensuite revendue au bout de 12 ans en 2006 au troisième propriétaire, lequel l’a lui gardée 16 ans, avant que l’actuel et quatrième propriétaire en fasse l’acquisition à son tour en 2022. Ce dernier a alors complété les travaux de carrosserie faits par son prédécesseur, en remplaçant la jupe avant notamment, bien qu’il se soit principalement concentré sur la partie mécanique, pour fiabiliser cette belle italienne au réel tempérament sportif. Effectivement, une révision des trains roulants a été effectuée, avec changement des silentblocs, de toutes les rotules de direction et un réglage de la géométrie. Dans le même temps, le flector de transmission et les supports moteurs ont également été remplacés. De plus, les circuits de freinage ainsi que de carburant ont aussi été révisés, outre un contrôle général, incluant différents graissages. Par la suite, c’est le moteur qui a été refait par un spécialiste avec rectification de la culasse, remplacement des chemises, pistons et coussinets de bielles, des joints, de la chaine de distribution, que de la pompe à eau, en plus de la vidange du circuit de refroidissement. En tout ce sont ainsi un peu plus de 10 000 € qui ont été dépensés ces deux dernières années pour la remise à niveau mécanique. Esthétiquement, la peinture déjà ancienne, quelques ajustements perfectibles et des chromes un peu ternes mériteraient de l’attention pour redonner tout son éclat à cette jolie voiture ancienne. Tandis que la sellerie qui avait déjà été revue il y a quelques années est en bel état, mais que dans l’habitacle, d’autres éléments de garnitures ou d’accastillage, comme la casquette de tableau de bord ou le ciel de toit, nécessiterait d’être remplacés ou nettoyés pour soigner la présentation. Si bien que la voiture arbore aujourd’hui une certaine patine, certes cohérente mais qui n’est pas aussi valorisante que ce qu’elle pourrait être. Ce coupé Alfa Bertone 1750 affichait un peu moins de 80 000 kms le jour de notre essai, probablement d’origine d’après le dossier de factures qui l’accompagne. Sans être parfait il est dans un état général de présentation satisfaisant et surtout de fonctionnement optimal suite au nombreux travaux récents dont il a bénéficié. Il devient de plus en plus difficile de trouver une voiture dont l’histoire peut être retracée et cela reste un avantage indéniable pour l’avenir. De plus, ce coupé Bertone, français, dans sa version la plus convoitée et à la configuration attractive d’origine, est prêt à rouler et n’attend plus qu’un nouvel acquéreur pour vrombir de plaisir. Présentée au salon de l’Automobile de Francfort de 1963, l’Alfa Romeo Giulia Sprint GT remplace la Giulietta qui a connu un grand succès commercial. Il en sera de même pour la Giulia dont la carrière avec de nombreuses versions durera plus de 15 ans. La beauté de sa ligne est due au coup de crayon d’un designer de talent d’à peine 21 ans qui vient d’entrer cher Bertone : Giorgetto Guigiaro. Il s’agit alors d’une de ses premières créations. Le coupé est très audacieux pour l’époque car sa mécanique « Bialbero » est à la pointe de la technologie. Le bloc moteur est entièrement en aluminium et dispose de deux arbres à cames en tête. Initialement proposé avec un moteur 1600 sur la Giulia Sprint GT, une plus petite version « Junior » à moteur 1300 du coupé Giulia Bertone apparaît en 1966. La version 1600 est alors dénommée Giulia Sprint GT Veloce. Plusieurs évolutions suivent, toujours plus puissantes et mieux finies. En 1968, la nouvelle GT Veloce (remplaçant la 1600) est présentée au salon de Bruxelles. La dénomination Giulia disparait, l’esprit de la voiture demeure. La gamme est alors basée sur deux motorisations : la 1300 Junior e

Estim. 35 000 - 40 000 EUR

1966 – Bentley T1 - Titre de circulation français Châssis n°SBX1213 Moteur n°1213 Carrosserie n°002062 - Combine l’élégance et le luxe discret - La première importée en France par la Franco-Britannic - Dossier de factures et dossier de montage de l’usine, matching numbers - Magnifique configuration de couleurs et sellerie d’origine Localisation : région parisienne La Bentley série T fit ses débuts en public au Salon de Paris, en octobre 1965. Elle marque une nouvelle étape dans l’histoire de la marque. Sa coque autoporteuse et ses roues indépendantes sont des progrès significatifs qui obligent la firme à 10 années de nouveaux aménagements dans l’usine. Les freins sont à disques aux 4 roues, avec servo et triple circuit. Les ressorts de suspensions sont combinés à des amortisseurs télescopiques à réglage électrique et correction automatique d’assiette. La voiture présentée est la 6e commandée par l’importateur français, la célèbre Franco-Britannic mais la 1ère livrée et immatriculée à Paris à M. Abecassis demeurant au 30 boulevard Flandrin à Paris 16e, comme l’atteste les relevés du dossier de montage de SBX 1213 fourni par l’usine. Le mécanicien de chez British Motor Assistance à Courbevoie, qui a entretenu cette Bentley pendant de nombreuses années, nous relatait, alors qu’il était apprenti en 1967 à la Franco-Britannic, qu’il avait été envoyé avec un mécanicien au Touquet pour dépanner cette Bentley fin 1967. Quelle a été notre surprise en ouvrant le dossier de montage, la facture en garantie de la Franco-Britannic adressée à l’usine pour dépannage et déplacements de mécaniciens etc…L’histoire était vraie ! Cette charmante Bentley a donc été vendue neuve à Paris et y réside toujours. Elle est de couleur « Smoke green », cuir « Beige », tapis de laine « Cumberland stone » et le ciel de toit est tendu de cuir « Fawn Ambla ». La carrosserie est saine, la peinture, ancienne, présente quelques petits défauts mais pas de rouille, des éclats autour de la lunette arrière qu’il faudrait reprendre mais rien de corrodé. L’intérieur est complètement d’origine, il conviendrait de l’entretenir, de graisser le cuir des sièges mais les boiseries sont en bon état. L’entretien a été fait depuis 2007 comme l’indique l’important dossier de factures de pièces et de réparations. Une radio Pioneer CD Bluetooth a été installée. Cette Bentley au cachet inimitable est prête à vous transporter avec classe et distinction.

Estim. 25 000 - 30 000 EUR

Salmson S4-D 1936 - Chassis n°58967 Moteur n°119-15 Carte grise française Comme l’atteste le certificat fourni par l’amicale Salmson, notre S4-D est sortie des usines de Billancourt le 4 août 1936 et fut livré directement à son propriétaire Monsieur Faivre, un médecin du Jura, via l’agent Salmson de Montmorot. Il est également précisé dans les archives de l’usine que la voiture est livrée avec une teinte verte d’Islande, toujours présente sur la voiture et magnifiquement patinée par le temps. Notre docteur s’en servira pour sillonner les routes du Jura et sa nièce, surnommée la « tigresse aux dents d’or » ne s’en séparera qu’en 1970, elle a alors moins de 30 000 km. Elle sera peu utilisée par son nouveau propriétaire, qui remplacera le moteur suite à une casse (le moteur d’origine sera livré avec la voiture.). En 2019, un enthousiaste tombe sous le charme de son extraordinaire état d’origine et achète la voiture avec la ferme intention de remettre sur la route notre luxueuse Salmson. Notre examen de la voiture a révélé une voiture très saine, elle est assez complète et malgré certains défauts, c’est une très bonne base qui méritera une restauration intelligente, pour conserver son état d’origine. À l’exception des deux ailes avant, nous n’avons constaté aucune corrosion perforante et son intérieur en cuir rouge, fidèle à la réputation de Salmson est somptueusement conservé. Notre exemplaire sera accompagné d’un beau lot de pièces supplémentaires, une calandre, son moteur d’origine, un vilebrequin avec trois bielles du moteur d’origine, un compteur en excellent état... À noter également, le catalogue original des pièces détachées de notre S4-D et la notice d’entretien complète ce lot. Faute de temps, le propriétaire actuel souhaite transmettre ce projet, pour que la belle endormie soit enfin réveillée ! « Refaire une peinture d’une voiture de cent ans nécessitera d’attendre cent ans pour obtenir la patine parfaite », disait Jacques Potherat. Voilà tout l’intérêt de cette Salmson, avec seulement trois familles de pro- priétaire et malgré ses presque 90 printemps, elle pourra reprendre la route en gardant son authenticité. Le moteur installé aujourd’hui est un moteur de S4-DA, il n’a pas tourné depuis 1972. A noter, les jantes sont peintes de la même teinte que la carrosserie, ce qui correspond vraisemblablement à une demande du premier propriétaire. Salmson avait pour réputation de proposer des intérieurs très luxueux, plus important encore, ils étaient de qualité supérieures à la concurrence, preuve en est, l’état dans lequel il se trouve aujourd’hui. Cette belle automobile offre l’exemple d’un grand classique de la berline française de prestige dont les beaux exemplaires se font rares. La boîte de vitesses est une Cotal électromagnétique. Avant tout constructeur d’aéronefs, Salmson, tout comme Avions Voisin, ne s’est tourné vers l’industrie automobile qu’après la Première Guerre mondiale. En 1919, les premiers cyclecars Salmson font leur apparition. Ce fabricant se distingue de ses concurrents en introduisant dans une voiture une culasse à deux arbres à cames en tête, une avancée mécanique moderne qui confère à la marque une réputation solide et un caractère sportif indéniable. Le moteur emblématique de Salmson, à double arbre à cames en tête, a été maintenu jusqu’à ses derniers modèles de la fifin des années 1950. La Salmson S4, lancée en juillet 1929 avec son moteur 1300 cm3 à double arbre à cames en tête, offrait d’excellentes performances dans sa catégorie, ainsi qu’une tenue de route remarquable et une grande robustesse. Elle est remplacée au Salon de 1932 par le modèle S4C, doté d’un moteur profondément modififié et d’une cylindrée supérieure (1500 cm3). À la fin de l’année 1934, le modèle S4D est dévoilé, avec un radiateur incliné et des roues à voile, d’abord pleines puis ajourées. La principale évolution réside dans l’augmentation de la cylindrée passant de 1465 à 1596 cm3, la voiture entre ainsi dans la catégorie des 9 chevaux fiscaux et reste nettement en avance sur la concurrence de l’époque. Son intérieur raffiné s’accorde avec des lignes simples et élégantes, formant un ensemble luxueux. La Salmson S4 remporte un succès technique et commercial, étant une voiture à la fois performante, économique et confortable, capable malgré sa puissance réduite d’atteindre des vitesses moyennes élevées. Ce succès remarquable est la juste récompense des efforts de la Société des Moteurs Salmson, qui poursuit toujours le même objectif dans toutes ses réalisations, que ce soit en aviation ou dans l’automobile : allier précision, légèreté et robustesse. FRAIS DE VENTE : 20% TTC

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

1968 – Mercedes-Benz 280 SL - Titre de circulation français Châssis n°11304412001616 - Très bon entretien régulier avec factures - Bel exemplaire, sain et élégant - Belle combinaison de couleurs - Hard top et capote Localisation : région parisienne Les 230 SL, 250 SL et 280 SL constituent une suite logique au concept de la 190 SL. Ces trois versions peuvent être considérées comme une série avec des moteurs de plus en plus puissants, les moteurs des 250 SL et 280 SL étant pratiquement les mêmes que ceux montés sur les berlines 250 SE et 280 SE. Cette série, dont la construction intervint entre 1963 et 1971, ne fut presque pas modifiée dans le style de sa carrosserie mais constamment améliorée mécaniquement parlant. La 230 SL était équipée de freins à disques à l’avant et de tambours à l’arrière alors que les 250 SL et 280 SL avaient 4 disques. Toutes les versions avaient des freins assistés. Les trois modèles étaient disponibles avec des boîtes manuelles à 4 ou 5 rapports ou une boîte automatique à 4 rapports très répandue sur les modèles US. Ces voitures étaient vendues en coupé (avec seulement un hard top amovible), en cabriolet (avec seulement une capote), ou bien en coupé/convertible (avec capote et hard top). Ce fut une voiture élégante et utilisable quotidiennement. La voiture présentée est une 280 SL de 1968 importée de Las Vegas, Nevada en 2015 et immatriculée en France par le propriétaire actuel. Elle est équipée de la boîte de vitesses automatique à quatre rapports, de la direction assistée et d’un hard top de la couleur de la carrosserie. L’intérieur en vinyle bleu électrique (Tex) est en bon état, tout comme la capote en Alpaga bleu foncé. Un dossier de factures depuis 2007 vient compléter le pedigree de cette belle auto ainsi qu’une copie de sa Datacard. Le moteur a été entièrement démonté et révisé en 2008, la culasse refaite ainsi que la pompe à injection. Un allumage électronique a été installé ainsi qu’un coupe batterie. Les silentblocs, le freinage, les rotules, les roulements et les amortisseurs ont été refaits ou remplacés. Les pivots de suspension nécessitent un remplacement. Un autoradio Becker Europa FM d'époque et une antenne électrique sont installés à bord ainsi qu’un filet anti-remous. C’est un très bel exemplaire de ce cabriolet à la ligne à la fois classique et intemporelle.

Estim. 85 000 - 95 000 EUR

1982 – Toyota Land Cruiser BJ42 - Titre de circulation français Châssis n°JT1VOBJ4200914849 - Un 4X4 aussi iconique qu’indestructible ! - Modèle de la série 4 la plus représentative, dans sa version la plus appréciée - Exemplaire en bel état général de conservation - Équipement très complet avec pare-buffle, treuil, attelage, blocage de différentiel Localisation : région lyonnaise Initialement conçu pour les forces de l’ordre japonaises et inspiré de la Jeep, le Land Cruiser né sous le nom de « Toyota Jeep BJ » en 1951. Mais c’est en 1953 que la version civile apparaît, déclinée en plusieurs carrosseries : 2 ou 4 portes, pick-up, toit souple ou toit rigide… Dès 1954 Toyota est contraint de la rebaptiser suite à l’interdiction de la marque américaine d’utiliser son nom. C’est à partir de là qu’il prend le nom de Land Cruiser. Par la suite, en 1955 il devient la première voiture particulière japonaise à être exportée et commence alors une carrière internationale en étant commercialisé dans toujours plus de pays. Dans le même temps, la gamme se diversifie encore d’avantage avec différents empattements notamment pour répondre à tous les besoins. Parallèlement à cette évolution il gagne aussi au fur et à mesure des multiples versions qui sortent quelques équipements de confort mais sans jamais sacrifier les capacités de franchissement qui font sa réputation ni sa fiabilité. Le Toyota Land Cruiser débarque en France en 1974 seulement, avec la quatrième série datant de 1960, en châssis court bâché ou avec hard-top, mais avec un nouveau moteur quatre-cylindres 3 litres diesel de 80 chevaux (de type B). D’autres versions sont commercialisées ultérieurement. Le Land Cruiser rencontre un franc succès à partir du milieu des années 70 avec des ventes qui décollent pour dépasser les 100 000 exemplaires chaque année. A partir de 1984, le Land Cruiser évolue en trois séries. Une utilitaire baptisée « Heavy Duty » avec suspension à lames et pouvant recevoir des moteurs de grosse cylindrée, ainsi que deux civiles adaptées aux marchés à l'international : « Light Duty » (disponible en France notamment) et « Station Wagon » avec suspension hélicoïdale et pouvant recevoir des motorisations de plus petite cylindrée, notamment 4 cylindres. Ce positionnement a permis au Land Cruiser d’élargir encore sa clientèle et de perdurer au fil d’innombrables versions et évolutions. Si bien que jusqu’à présent il a été produit à plus de 11 millions d’exemplaires toutes générations confondues ! Parmi toutes les itérations de ce véhicule au succès planétaire, c’est sans doute la série 4 qui est la plus emblématique avec son identité forte et précédent le vaste mouvement de diversification de la gamme. C’est justement Un Toyota Land Cruiser de la 4ème série que nous proposons, de type BJ42, c’est-à-dire à empattement court, motorisé par le 4 cylindres en ligne diesel 3,4L de 90 chevaux et en version bâché. Ce BJ42 fut mis en circulation le 1er mars 1982 en France et n’a connu que 4 propriétaires depuis. Il dispose de son titre de circulation en catégorie utilitaire 2 places et se présente dans un bon état général de présentation et de fonctionnement au regard de cette vocation. Affichant un peu moins de 143 500 kms au compteur, ce BJ n’a effectivement jamais été restauré, bien que repeint il y a quelques années. La peinture est ainsi homogène et a un bon éclat, tandis que la bâche est plus ancienne et porte quelques déchirures par endroits. A l’intérieur des sièges baquets et un arceau boulonné ont été installés. Pour le reste l’instrumentation est d’origine et en bon état. Mécaniquement cet engin réputé pour sa fiabilité fonctionne bien. On signale simplement une fuite à l’échappement. L’une des deux batteries est neuve. Par ailleurs les phares sont également récents. Cet exemplaire de BJ est en outre très bien équipé, avec son large pare-buffle, un treuil, une paire de phare longue-portée additionnelle, un attelage, ainsi qu’un blocage de différentiel qui a été monté pour renforcer encore ses aptitudes en tout-terrain déjà unanimement reconnues. Il profite par ailleurs des améliorations apportées à cette série avec les freins à disque à l’avant, le moteur diesel le plus puissant et la direction assistée d’origine, qui le rendent plus utilisable. C’est donc un Land Cruiser, de type BJ, dans sa configuration la plus désirable (42), en état d’usage, qui sera l’allié idéal, que ce soit pour vous aider dans des tâches de transports difficiles ou pour barouder hors des sentiers battus.

Estim. 17 000 - 23 000 EUR