Tableaux

Le temps, vite ! Dans les ventes live et ventes online de Tableaux, les tableaux anciens règnent sur un vaste domaine couvrant sept siècles, des icônes gréco-byzantines aux paysages romantiques.
Après 1870, les tableaux impressionnistes et modernes leurs emboîtent le pas jusqu’à la Seconde Guerre mondiale avec les écoles impressionniste et néo-impressionniste suivis des fauves, des cubistes, des surréalistes…
A partir de 1945, les tableaux d’après-guerre et contemporains recouvrent les productions artistiques de l’expressionnisme abstrait à l’Arte Povera, en passant par le Spatialisme et le Pop art.
Les peintures proposées dans les ventes online de Tableaux font défiler de façon étourdissante toute l’histoire de l’art : tableaux religieux, natures mortes, vanités, tableaux de fleurs et tableaux de genre des écoles hollandaises et flamandes, sujets historiques et scènes mythologiques, tableaux d’histoire, paysages de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècles…Les révolutions picturales de la fin du XIXe et l’aventure des avant-gardes du XXe siècle se rejouent aussi sous nos yeux aux enchères, jusqu’aux subversions de l’art le plus actuel de Soulages, Combas, Vasarely, Arman,Capron, Mitoraj, Sonia Delaunay, Garouste, Hartung, Tal coat , etc.
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Lots recommandés

Gabriel REVEL (Château-Thierry 1643 - 1712 Dijon) - Portrait en Judith, présumé de la marquise de Montespan, née Françoise de Rochechouart de Mortemart (1640-1707) Huile sur toile 98,5 x 75 cm. Signée et datée, sur l'entablement: Revel pinxit 1688 Présentée dans un beau cadre en bois doré et sculpté, d'époque Régence Provenance: Possiblement le “Judith et Holopherne” cité au château de Petit-Bourg, demeure du duc d'Antin, en 1736: “un dessus de trumeau de 3'[pieds]6”[pouces]: “Judith et Holopherne” (vraisemblablement pour la chambre à coucher du Pavillon Nord). Collection privée, Paris Ce portrait inédit et captivant de Gabriel Revel, exécuté en 1688, présente un portrait saisissant d'une femme incarnant l'esprit de l'héroïne biblique Judith. Positionnée appuyée sur la tête coupée d'Holopherne, elle tient une épée dans sa main droite, désormais au repos après avoir rempli sa fonction. L'interaction des couleurs et des textures est magistralement utilisée par l'artiste, portraitiste longtemps camarade de Charles Le Brun. Un drapé rouge vermillon qui, semblable à un flot de sang, divise la composition entre le bas du corps de la femme et la tête décapitée. Sa robe, d'un bleu cristallin, obtenue grâce à l'utilisation méticuleuse de poudre de lapis-lazuli, ajoute une impression d'élégance éthérée à la scène. L'exécution habile de Revel va au-delà des normes conventionnelles de l'époque. La profondeur de la perspicacité psychologique représentée dans le regard de la femme est remarquable, en particulier à une époque où prévalait souvent une satisfaction superficielle. Ici, nous rencontrons une femme qui a choisi d'être représentée à grands frais, incarnant le courage et la détermination de Judith, vainqueresse d'un puissant ennemi. Cette peinture témoigne des prouesses artistiques de Revel et de sa capacité à capturer les complexités de l'émotion humaine et de la résonance historique dans un seul cadre. Une perle rare qui traverse le temps et offre aux spectateurs un aperçu d'un moment de triomphe et de défi. Nous remercions M. Dominique Brême, auteur de plusieurs articles sur la carrière de Gabriel Revel, de nous avoir confirmé l'attribution de ce portrait, par un écrit en date de mars 2024, sur la base d'un examen de photographies, tout en nous exprimant ses réserves sur notre proposition d'identification du modèle. Proposition d'identification: la marquise de Montespan, de Vénus à Marie-Madeleine Judith: une figure ambigüe Parmi les grandes figures féminines des Saintes Écritures, seules Ruth, Judith et Esther sont le sujet d'un Livre entier qui conte leur histoire édifiante. Judith, juive de la cité de Béthulie, veuve douée d'une grande beauté, pour sauver sa cité d'un siège mené par les assyriens, séduit leur général Holopherne et, profitant de son ivresse et de son sommeil, le décapite, provoquant la fuite des assiégeants. Comprise depuis le Moyen-Âge parmi les “Neuf Preuses” - ces femmes de l'Histoire Ancienne dignes de mémoire - Judith est, dans les Arts, l'équivalent féminin du roi David, que l'iconographie montre tenant la tête de Goliath, mais aussi la “contre-Salomé”, laquelle se servit de ses attraits pour obtenir de son beau-père Hérode une faveur scandaleuse et pécamineuse: la mort du prophète Jean le Baptiste. Pourtant, l'attitude de Judith, entre courage et ruse, entre prières et mensonges, sera pour les théologiens catholiques un sujet régulier de questionnement, ainsi qu'Isaac-Louis Le Maistre de Sacy l'énonce: « On est surpris d'abord, et on a peine à comprendre, comment une femme aussi chaste que Judith, peut avoir dessein de servir de piège par sa beauté à un homme ». La première moitié du XVIIe siècle a connu dans l'art et la littérature un développement sans précédent du thème des Femmes illustres. Peuvent être en effet cités les tableaux ornant le cabinet de la reine au château de Richelieu, peints pour le cardinal par Nicolas Prévost (1604-1670), ceux réalisés par Simon Vouet vers 1645- 1646 au Palais Cardinal à Paris pour l'appartement de la régente Anne d'Autriche, ceux encore dus au pinceau de Charles Poerson, également vers 1645, encastrés dans les lambris de l'appartement de Madame de La Meilleraye à l'Arsenal de Paris. À la même époque, Claude Vignon donnait des modèles pour illustrer La Galerie des Femmes fortes publiée en 1647 par le jésuite Pierre Le Moyne, grand succès de librairie dont les gravures d'Abraham Bosse furent reprises par la suite dans plusieurs domaines des arts décoratifs. Ce thème des “Femmes illustres” ou “Femmes fortes” est donc en partie lié à la Contre-Réforme catholique, comme l'est celui de Marie Madeleine pénitente, si cher aux peintres du XVIIe siècle, et témoigne de l'évolution du statut de la femme depuis la Renaissance, à la fois « créature diabolique, agent de Satan, incarnation du péché originel » mais également, depu

Estim. 40 000 - 60 000 EUR

Georges MICHEL (1763-1843) - Le Gros chêne ou Chênes près d'une route; Huile sur toile 65 x 82 cm. Bibliographie: - Galerie Durand-Ruel. Recueil d'estampes gravées à l'eau-forte. Paris, Londres, Bruxelles, Maison Durand-Ruel, 1873, planche n°188, - Alfred Sensier, Étude sur Georges Michel, Paris, Lemerre, 1873, n°54, “Un gros arbre à trois cépées, Près d'un chemin sablonneux, dans l'ombre, à droite chaumières, fonds en vigueur. Ciel orageux, pluie lumineuse, Exécution farouche. À. M. Durand-Ruel, gravé par le Rat.”, - Archives photographiques Durand-Ruel, Paris, sous le n°4462. Provenance: Vraisemblablement acquis à la vente de l'atelier de l'artiste, en 1842, par M. de Villars, Paris, Acquis auprès de ce dernier par Paul Durand-Ruel (1931-1922), Paris, le 18 mai 1872, Acquis auprès de ce dernier par Nissim, comte de Camondo (1830- 1889), Paris, le 7 octobre 1873, Acquis auprès de ce dernier par Paul Durand-Ruel, Paris, le 18 septembre 1877, Vente “The Durand-Ruel Collection of French Paintings”, Moore's Art Galleries, New York, 5-6 mai 1887, lot 82 “An oak”, vendu 550 dollars à un collectionneur anonyme, Collection privée anonyme, États-Unis, Acquis par Helen Kendall Ladd Corbett (1859-1936), Portland (Oregon), en 1912, Offert par les héritiers de Mme Corbett au Portland Museum of Art (Oregon), en 1936, Collection du Portland Museum of Art, inv. 36.94 Inclus par le Portland Museum of Art dans sa Deaccession List, en 2021 Vente Bonham's Los Angeles, “Home & Interiors”, 1er février 2023, comme “Attributed to Michel George-Michel (1886-1985), a Landscape” Collection privée, France Outre sa remarquable provenance, notre “Gros chêne”, avec son ambiance orageuse et son traitement présentant de beaux et nerveux empâtements, est un superbe exemple du style brut et minimal de Georges Michel, qui plût tant à Vincent Van Gogh. Fasciné par les effets atmosphériques et la lumière changeante de l'Île de France, Michel professait que “celui qui ne peut peindre toute sa vie sur quatre lieues d'espace n'est qu'un maladroit qui cherche la mandragore et ne trouvera jamais que le vide”. Van Gogh, qui le surnommait “Maître Michel”, possédait d'ailleurs un exemplaire de son catalogue établi par Sensier de 1873, ainsi que des estampes issues du catalogue gravé du stock de la Galerie Durand-Ruel. Il est intéressant de noter que lorsque Paul Durand-Ruel organisa la vente d'une partie de sa collection, en 1887, afin de faire connaître certains impressionnistes au public américain, le “Gros Chêne” recueillit davantage d'enchères que des oeuvres de Sisley, Degas, Boudin, Renoir

Estim. 30 000 - 40 000 EUR

Alexandre CABANEL (Montpellier 1823 - 1889 Paris) - Portrait en buste de Nathalie, baronne Seillière (1846- 1929), née de Laborde Huile sur toile 66 x 55 cm. Signée et datée en haut à gauche: 1869 Exposition: Alexandre Cabanel, 1823-1889: la tradition du beau, Montpellier, Musée Fabre, 9 juillet-5 décembre 2010, Cologne, Wallraf-Richartz Museum, 4 février-15 mai 2011, Bibliographie: Cat.exp. Alexandre Cabanel, 1823-1889: la tradition du beau, Michel Hilaire, Sylvain Amic, (dir.), Paris, Somogy, 2010, p. 463, n°240. Deuxième fille de Léon, marquis de Laborde (1807-1869), directeur des archives de l'Empire et grand voyageur, Nathalie épouse, en 1865, Frédéric Seillière (1839-1899), héritier d'une famille d'industriels, qui sera plus tard titré “baron Seillière” par Sa Sainteté Léon XIII en 1885 Anecdote singulière: le frère aîné de Frédéric, Aimé (1835-1870), épousa, en 1865, Marie (1844-1867), soeur aînée de Nathalie, qui ne devait vivre que deux ans de plus. Aimé épousa ensuite, en 1869, Marguerite (1849-1922), troisième soeur de Nathalie. Parmi leurs descendants, on compte des membres des familles suivantes: Blanchy, de Buor de Villeneuve, de Cacqueray de Saint-Quenti, de Cagny, Colonna de Giovellina, Droulers, d'Espous, Gangneron, de Geoffre de Chabrignac, Jehannot d'Huriel de Bartillat, de Jouvencel, de Juge de Laferrière, de La Fouchardière, de Lander, Lemoyne de Forges, de Lencquesaing, Maistre, Martin de La Bastide d'Hust, de Mascureau, de Nicolay, de Pierre de Bernis, Reille, Sallé de Chou, de Terrasson de Montleau, Villedey, de Vincens de Causans

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Adrien LEPRIEUR (Paris 1671-1732) - Portrait présumé de Marie Chardon des Roys (1677-?), née Ligier de la Prade Huile sur toile (toile d'origine) 81 x 65 cm Signée et datée au dos: 1715 ou 1725 Présenté dans un beau cadre en tilleul sculpté Provenance: - Considéré par une longue tradition familiale comme un portrait d'une membre de la famille Chardon des Roys - Vente Vassy-Jalenques, Clermont-Ferrand, 24 juillet 2014, lot 378, présenté aux côtés de trois autres portraits de membres de la même famille Notre portrait permet de compléter nos connaissances sur la carrière de Leprieur, ami et bras-droit de Hyacinthe Rigaud pendant 14 ans. Au delà de son évidente qualité, l'élégante effigie présente l'intérêt de reprendre presqu'à la lettre une posture inventée par Hyacinthe Rigaud dès 1696 pour son portrait de la marquise de Sourches (collection privée, château de Parentignat, Puy de Dôme). Notre modèle est représentée à mi-corps, sans mains, coiffée d'une courte perruque « à cruches » finissant par une longue boucle posée sur une épaule. Sa robe de brocard d'argent à large gorge, les manches relevées agrémentées de perles étaient complétées d'une large écharpe galonnée aux reflets de soie bleue. Marie Ligier de la Prade, née au sein d'une famille de médecins clermontois, épouse en 1705, à Clermont-Ferrand, Claude Chardon des Roys, garde des sceaux en la sénéchaussée d'Auvergne et siège présidial de Riom, puis trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Riom. Nous remercions M. Stephan Perreau pour les informations sur Adrien Leprieur et sur notre portrait, rendues disponibles sur son site consacré à Hyacinthe Rigaud, lesquelles ont contribué à l'écriture de cette notice

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Cerchia di Leonardo da Vinci (Ambrogio de' Predis?) - Cercle de Léonard de Vinci (Ambrogio de' Predis ?) Madone à l'enfant (Madone aux fleurs) Huile sur panneau Panneau cm. 45x36. Encadré Cerchia di Leonardo da Vinci (Ambrogio de' Predis ?) Cet admirable panneau de dévotion, produit raffiné du cercle proche de Léonard de Vinci à Milan, représente la Vierge dans une pose à mi-corps, tenant de sa main droite des fleurs de jacinthe et de trèfle à l'Enfant. Soutenu par la main gauche de sa mère, le petit Jésus se penche pour cueillir les fleurs, symboles du salut de l'homme par son futur sacrifice : un geste qui manifeste la conscience de son destin, comme le confirme le fait qu'il tourne son visage vers le spectateur, avec un expédient qui le projette dans la scène et renforce son implication émotionnelle.Le tableau développe le thème de la Madone aux Fleurs, déjà élaboré par Léonard dans sa Madone du Garofano de jeunesse. Cependant, divers détails ramènent l'œuvre en question à la période milanaise de Léonard et remettent directement en cause son formidable atelier. Le panneau fait en effet partie d'un groupe de répliques du même sujet attribuées aux plus proches disciples de Léonard, dont la version de plus haute qualité peut peut-être être considérée comme la Vierge à l'Enfant de la collection Datrino, attribuée par Carlo Pedretti à Marco d'Oggiono. Trois autres ébauches de la Vierge aux fleurs sont, pour la plupart, attribuées par les spécialistes à Bernardino de' Conti. Une comparaison des nombreuses variations du thème proposées par l'atelier de Léonard révèle quelques éléments utiles pour circonscrire l'œuvre dont il est question ici : si des raisons stylistiques conduisent à exclure une dérivation du panneau de la sphère de Boltraffio ou de Marco d'Oggiono, d'un autre côté, le tableau apparaît également assez éloigné des versions attribuées à Bernardino de Conti. D'autre part, il convient de souligner que, dans notre tableau, le petit Jésus semble être en relation directe avec la tête de putto de la feuille de la Pinacothèque Ambrosienne, inv. Inf. 100, un dessin à la pointe de métal sur papier préparé en bleu représentant le petit Francesco Sforza, généralement attribué à Ambrogio de' Predis.La Madone aux fleurs présentée ici semble répondre à l'ambiguïté typique du genre offert par les modèles de Léonard de Vinci de la Cène ou de la deuxième version de la Vierge aux rochers, œuvre à laquelle Ambrogio de' Predis a largement participé. Sont également associées à ce maître des œuvres telles que le Saint Sébastien du Cleveland Museum et la Vierge à la coupe de cerises du Metropolitan Museum de New York, qui présentent des éléments évidents d'assonance physionomique avec notre Madone aux fleurs. L'ensemble de ces indices conduirait à attribuer notre panneau à Ambrogio de' Predis ou à un peintre gravitant dans son cercle, dans lequel travaillaient des peintres tels que Francesco Galli et Bernardino de Conti. Comme ce dernier, notre peintre a élaboré selon sa propre sensibilité l'heureux modèle iconographique de la Vierge aux fleurs, particulièrement cher à l'atelier léonardesque milanais de la fin du XVe siècle et du début du XVIe siècle.

Estim. 40 000 - 60 000 EUR

Derrière Le Miroir. Tête de collection des 24 premiers numéros de la revue réunis sous un portefeuille de l'éditeur, en toile verte à lacets, plats illustrés de lithographies en couleurs de MIRO, réalisé par les éditions Maeght pour contenir les numéros de leur revue en 1956. Renferme les 24 numéros suivants, petit in-folio en ff. : - n°1 "Le noir est une couleur", publié en 1946 pour l’exposition à la Galerie Maeght d’œuvres de Bonnard, Matisse, Braque, Rouault, Marchand, Manessier, Thompson, Geer van Velde, Chastel, Villeri, Atlan, Rigaud, Dany et Pallut. Texte de Jacques Kober, témoignages de Henri Matisse, Georges Rouault et André Marchand. Rousseurs. - n°2 "Sur 4 murs", paru en février 1947. Texte de Michel Seuphor "Le chevalet et le mur", René Guilly "Il est permis de trouer le mur" et un hommage à Bonnard par Jacques Kober. Exposition de peintures murales et d’œuvres à caractère monumental. 6 lithographies originales en couleurs d’André MARCHAND. - n°3, édité en 1947 pour l’exposition RIGAUD à la Galerie Maeght. Textes de Jean Leymarie, Edouard Jaguer et Jacques Kober. 8 lithographies originales. - n°4, édité en 1947 pour la 1ère exposition BRAQUE à la Galerie Maeght. Poème de René Char. Texte de Jacques Kober. [8] pages dont la couv. 1 reproduction en impression lithographique en couleurs et 3 dessins inédits. 2 reproductions en noir. - n°5, "Les Mains éblouies", publié en 1947 pour l’exposition de jeunes artistes tels que Dmitrienko, Rezvani, Signovert, Thompson et Mason à la Galerie Maeght. Texte de Jacques Kober "Une année de peinture". [8] pp. dont la couv. 6 lithographies originales de Jean Signovert. + Supplément pour l'exposition David HARE à la galerie Maeght avec le texte de Jean-Paul Sartre "Sculptures à n dimensions", [4] pp. - n°6, édité pour l’exposition BAYA à la Galerie Maeght en novembre 1947. Textes de André Breton, Emile Dermenghem et Jean Peyrissac. Poèmes de Jacques Kober. [8] pp. dont la couv. en couleurs. 6 reproductions en impression lithographique en couleurs. - n°7, édité en 1948 pour l’exposition VILLERI à la Galerie Maeght. Textes de René Char, Yves Battistini, Lucien Coutaud, Gilbert Lely et Roger Chastel. [8] pp. dont la couv. couleurs. 4 reproductions en impression lithographique en couleurs. - n°8, publié pour l’exposition de 20 sculptures de PEYRISSAC à la Galerie Maeght en mars 1948. Textes de René Guilly, André Marchand et Jacques Charpier. [8] pp. dont la couv. couleurs. 2 reproductions en impression lithographique en couleurs et 3 reproductions en noir. - n°9, édité en 1948 pour l’exposition de 20 peintures de PALLUT à la Galerie Maeght. Textes de Jacques Kober, Franck Elgar et Raymond Mason. [8] pp. dont la couv. couleurs. 3 lithographies originales en couleurs et 3 dessins inédits reproduits en fac-similé. - n°10, édité en 1948 pour l’exposition BEOTHY à la Galerie Maeght. Textes de Léon Degand, Béothy, Luc Benoist et Luc Decaunes. [8] pp. dont la couv. couleurs. 3 lithographies originales en couleurs dont 1 en double page. + le supplément de 4 pp. "Un livre de Jean Signovert". - n°11-12, édités pour l’exposition d’œuvres de Bram et Geer VAN VELDE à la Galerie Maeght en 1948. Textes de Samuel Beckett "Peintures de l’empêchement" et Jacques Kober. 16 pp. incluant 2 lithographies originales de Geer van Velde et 8 reproductions en noir. - n°13, édité pour l’exposition Germaine RICHIER à la Galerie Maeght en octobre 1948. Textes de Francis Ponge, Georges Limbourd et René de Sorlier. [8] pp. 1 lithographie originale en couleurs et 5 reproductions en noir. Photographie d'atelier par Brassaï. Exemplaire numéroté 31. - n°14-15, édité en novembre 1948 pour l’exposition de peintures et céramiques de MIRO à la Galerie Maeght. Texte de Tristan Tzara, Jean Cassou, Raymond Queneau, Paul Eluard, Ernest Hemingway, … [12] pp. 7 lithographies originales en couleurs et 8 reproductions en noir. + le supplément pour "Ma Civilisation" de Gilbert Lély, 4 pp. - n°16, édité en 1949 pour l’exposition HOFMANN à la Galerie Maeght. Textes de Charles Estienne, Peter Neagoe et Tennessee Willimas. Poème de Weldon Kees. [8] pp. 2 lithographies originales en couleurs. - n°17, édité en 1949 pour la présentation de l’ouvrage "Le Bestiaire" illustré par Roger CHASTEL à la Galerie Maeght. Textes de Paul Eluard, Pierre Bérès, Paul Bonet, Georges Blaizot et Charles Peignot. [8] pp. 2 lithographies originales en couleurs. - n°18, édité en 1949 pour l’exposition CHAUVIN à la Galerie Maeght. Textes de Robert Rey, Georges Hugnet et Stanislas Fumet. [8] pp. 2 dessins reproduits en fac-simile. 3 reproductions en noir. - n°19, édité en 1949 pour l’exposition de 26 peintures de SELIGMANN à la Galerie Maeght. Textes de Pierre Mabille, Georges Duthuit Pierre Courthion et Charles Duits. [8] pp. 5 reproductions en impression lithographique dont 3 en cou

Estim. 1 200 - 1 500 EUR