Description
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Tête romaine en marbre d'Harpocrates. 1er-2e siècle de notre ère. Une tête grandeur nature de l'enfant divin Harpocrate, son visage juvénile au menton arrondi et aux traits potelés, un sourire timide sur les lèvres fendues, les yeux en amande aux paupières lourdes, les cheveux tombant en cascade en de douces vagues bouclées de chaque côté de la tête avec un nœud supérieur central ; monté sur un support de présentation fait sur mesure.Voir Daremberg & Saglio, Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines, Paris, 1873-1917 ; le portrait a un bon parallèle avec l'image d'Harpocrate représenté avec Isis et Osiris sur un relief en marbre trouvé à Henchir el-Attermine, Tunisie, daté du dernier quart du IIe siècle après J.-C., aujourd'hui au Louvre (MA3128) ; voir aussi le portrait du Vatican dans Bennorf, O., Schoene, R., Die Antike Bildwerke des Lateranischen Museum, Leipzig, 1867, no.133.15 kg, 36,5 cm y compris le support (14 1/4"). Ex galerie de Londres Nord ; précédemment dans une collection familiale de Londres, Royaume-Uni, depuis avant 1960 ; accompagné d'une expertise archéologique par le Dr Raffaele D'Amato ; ce lot a été vérifié dans la base de données Interpol des œuvres d'art volées et est accompagné du certificat AIAD n°10682-175204.Harpocrates était l'interprétation grecque du dieu égyptien Harpa-Khruti (Horus l'enfant), généralement représenté comme un petit garçon. Des statues d'Harpocrate sont conservées au Musée gréco-romain d'Alexandrie (inv.25785) et au Musei Capitolini de Rome (inv. Scu 646"). Comme dans la sculpture capitoline, le visage est dominé par de grands yeux et des traits doucement modelés propres au jeune dieu, comme l'abondante chevelure tombant sur le cou. Un portrait facial d'une autre statue du jeune dieu, au Musée du Vatican (Sala Corazze, inv. no.10270), montre la même chevelure sans le couvre-chef, et ici aussi il manque toute indication du geste typique des doigts. Une autre tête du dieu est celle réalisée en basalte au Musée archéologique national de Naples (inv.896), provenant de la collection Borgia, où les traits stylistiques sont résolument hellénistiques. Sa statue se trouvait à l'entrée de presque tous les temples, pour indiquer que dans ces lieux des dieux, il fallait s'honorer avec silence, ou, selon Plutarque, les hommes qui avaient une connaissance imparfaite de la divinité ne devaient en parler qu'avec respect. Une vidéo de ce lot est disponible sur le site de TimeLine Auctions.

londres, Royaume-Uni