Description
Masque Idoma, Okua, Nigéria Bois H. 27,5 cm Idoma mask, Okua, Nigeria H. 10 ¾ in Provenance : - Marceau Rivière - Collection privée Publication : - Frédéric Daussy et érik Patrix, Lumière Noire : Arts traditionnels, 1997, n° 44 - Christiane Falgayrettes-Leveau, Signes du Corps, 2004, p.267 - Alain Lebas, Arts du Nigéria dans les collections privées françaises, 2012, p .132 Expositions : - Lumière Noire : Arts traditionnels, , Centre d'Art, Tanlay, juin - septembre 1997, - Signes du Corps, Musée Dapper, Paris, septembre 2004 – avril 2005 - Arts du Nigéria dans les collections privées françaises, Musée des Civilisations, Québec, octobre 2012 - avril 2013 Ce masque féminin avec son labret d'une grande force stylistique est bien connu des Idoma méridionaux mais on le trouve aussi dans la Moyenne Cross River chez les Boki dont celui du MET est un des plus beaux exemples (F. Neyt, Les Arts de la Bénué, fig III 53, p.132) Le labret discoïde attaché à la lèvre supérieure marque l'esthétique de ce masque. Des scarifications en relief profondes marquent les chéloïdes, les joues ainsi que le front. Les sourcils sont hachurés. La coiffure simple comprend trois lobes. L'ensemble est recouvert d'une patine profonde.
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Masque Idoma, Okua, Nigéria Bois H. 27,5 cm Idoma mask, Okua, Nigeria H. 10 ¾ in Provenance : - Marceau Rivière - Collection privée Publication : - Frédéric Daussy et érik Patrix, Lumière Noire : Arts traditionnels, 1997, n° 44 - Christiane Falgayrettes-Leveau, Signes du Corps, 2004, p.267 - Alain Lebas, Arts du Nigéria dans les collections privées françaises, 2012, p .132 Expositions : - Lumière Noire : Arts traditionnels, , Centre d'Art, Tanlay, juin - septembre 1997, - Signes du Corps, Musée Dapper, Paris, septembre 2004 – avril 2005 - Arts du Nigéria dans les collections privées françaises, Musée des Civilisations, Québec, octobre 2012 - avril 2013 Ce masque féminin avec son labret d'une grande force stylistique est bien connu des Idoma méridionaux mais on le trouve aussi dans la Moyenne Cross River chez les Boki dont celui du MET est un des plus beaux exemples (F. Neyt, Les Arts de la Bénué, fig III 53, p.132) Le labret discoïde attaché à la lèvre supérieure marque l'esthétique de ce masque. Des scarifications en relief profondes marquent les chéloïdes, les joues ainsi que le front. Les sourcils sont hachurés. La coiffure simple comprend trois lobes. L'ensemble est recouvert d'une patine profonde.
