Null EUGÉNIE (Eugenia Maria de Montijo de Guzman, comtesse de Téba) [Grenade, 18…
Description

EUGÉNIE (Eugenia Maria de Montijo de Guzman, comtesse de Téba) [Grenade, 1826 - Madrid, 1920], impératrice des Français, épouse de Napoléon III. Ensemble de 2 lettres autographes signées, adressées à Lucien Daudet : Cyrnos Cap Martin, le 19 mai 1913 ; 4 pages in-8°. « Je viens d'écrire à votre mère en réponse à la lettre par laquelle elle me fait part du mariage de votre soeur. J'espère qu'elle sera heureuse ? Elle a acquis l'expérience et si elle croit l'homme de son choix capable de lui assurer le bonheur, vous devez vous réjouir. Le nom, [] et la position ne sont pas de surs garants de facilité conjugale et si elle l'aime à cause des ses qualités morales, je ne vois pas pourquoi elle ne serait pas heureuse. » Le 13 août 1914 ; 3 pages in-8°. « Ce petit mot vous parviendra-t-il ? Vous devez penser combien je prends part à ce qui se passe et combien le souvenir du passé [] être loin et ne rien pouvoir faire personnellement dans cette lutte suprême est une souffrance inexprimable. Écrivez des nouvelles des amis car bien entendu le silence doit se faire en ce qui regarde le reste. LES BELGES ONT ÉTÉ ADMIRABLES ET L'ÉTAT D'ESPRIT EN FRANCE EST EN DESSUS DE TOUT [] mais que de malheurs sur le chemin de la gloire !!! »

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EUGÉNIE (Eugenia Maria de Montijo de Guzman, comtesse de Téba) [Grenade, 1826 - Madrid, 1920], impératrice des Français, épouse de Napoléon III. Ensemble de 2 lettres autographes signées, adressées à Lucien Daudet : Cyrnos Cap Martin, le 19 mai 1913 ; 4 pages in-8°. « Je viens d'écrire à votre mère en réponse à la lettre par laquelle elle me fait part du mariage de votre soeur. J'espère qu'elle sera heureuse ? Elle a acquis l'expérience et si elle croit l'homme de son choix capable de lui assurer le bonheur, vous devez vous réjouir. Le nom, [] et la position ne sont pas de surs garants de facilité conjugale et si elle l'aime à cause des ses qualités morales, je ne vois pas pourquoi elle ne serait pas heureuse. » Le 13 août 1914 ; 3 pages in-8°. « Ce petit mot vous parviendra-t-il ? Vous devez penser combien je prends part à ce qui se passe et combien le souvenir du passé [] être loin et ne rien pouvoir faire personnellement dans cette lutte suprême est une souffrance inexprimable. Écrivez des nouvelles des amis car bien entendu le silence doit se faire en ce qui regarde le reste. LES BELGES ONT ÉTÉ ADMIRABLES ET L'ÉTAT D'ESPRIT EN FRANCE EST EN DESSUS DE TOUT [] mais que de malheurs sur le chemin de la gloire !!! »

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