Null [SILVESTRE (Armand)]. Les Ailes d’or
En français, manuscrit autographe avec…
Description

[SILVESTRE (Armand)]. Les Ailes d’or En français, manuscrit autographe avec corrections. France, 1878-1880. 70 ff., fine écriture à l’encre brune, nombreuses corrections et nombreux repentirs. Carnet de pleine percaline beige, dos lisse (accidenté), sur le plat supérieur des dessins, les initiales AS [Armand Silvestre] et des armoiries et une devise « Ultima solatio ». Frottements et état d’usage. Dimensions : 148 x 97 mm. Romancier, poète, librettiste et critique d’art, Armand Silvestre est né en 1837 à Paris et mort en 1901 à Toulouse. À partir de 1866, il publie des recueils de vers. Comme critique d’art et de théâtre, Silvestre collabore activement à des journaux tels que l’Opinion nationale, le Journal officiel, L’Estafette et la Grande Revue de Paris et de Saint-Petersbourg. En 1869, il entre au ministère des finances et devient sous-chef au bureau de la bibliothèque et des archives. Pendant l’affaire Dreyfus, il devient membre de la « Ligue de la patrie française », ligue anti-dreyfusarde. Dédicace autographe à Théodore de Banville : « Les Ailes d’or. 1878-1880. A Théodore de Banville. Mon maître et mon ami, Je vous dédie ce livre parce que c’est celui où j’ai mis le plus de moi-même. Je puis donc vous en dire, en vous l’offrant : et serves animæ dimidium meæ. Cette moitié ci de mon âme est faite d’admiration, de tendresse et de reconnaissance pour vous. … » [signé] Armand Silvestre. Paris 1880. Pour un échantillon de la main d’Armand Silvestre, voir son « Poème autobiographique » reproduit dans Joseph Uzanne, Figures contemporaines tirées de l’Album Mariani, Ernest Flammarion, Paris, vol. I, 1894, p. 206. L’ouvrage paru en première édition sous le titre Les Ailes d’or, Poésies nouvelles, 1878-1880, Paris, Charpentier, 1880. Le présent manuscrit offre plusieurs corrections et repentirs, certains poèmes nous apparaissent inédits et ne figurent pas dans le recueil publié. Sylvestre intègre également en fin de volume une pièce de théâtre non publiée : Myzzha (ff. 55-58).

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[SILVESTRE (Armand)]. Les Ailes d’or En français, manuscrit autographe avec corrections. France, 1878-1880. 70 ff., fine écriture à l’encre brune, nombreuses corrections et nombreux repentirs. Carnet de pleine percaline beige, dos lisse (accidenté), sur le plat supérieur des dessins, les initiales AS [Armand Silvestre] et des armoiries et une devise « Ultima solatio ». Frottements et état d’usage. Dimensions : 148 x 97 mm. Romancier, poète, librettiste et critique d’art, Armand Silvestre est né en 1837 à Paris et mort en 1901 à Toulouse. À partir de 1866, il publie des recueils de vers. Comme critique d’art et de théâtre, Silvestre collabore activement à des journaux tels que l’Opinion nationale, le Journal officiel, L’Estafette et la Grande Revue de Paris et de Saint-Petersbourg. En 1869, il entre au ministère des finances et devient sous-chef au bureau de la bibliothèque et des archives. Pendant l’affaire Dreyfus, il devient membre de la « Ligue de la patrie française », ligue anti-dreyfusarde. Dédicace autographe à Théodore de Banville : « Les Ailes d’or. 1878-1880. A Théodore de Banville. Mon maître et mon ami, Je vous dédie ce livre parce que c’est celui où j’ai mis le plus de moi-même. Je puis donc vous en dire, en vous l’offrant : et serves animæ dimidium meæ. Cette moitié ci de mon âme est faite d’admiration, de tendresse et de reconnaissance pour vous. … » [signé] Armand Silvestre. Paris 1880. Pour un échantillon de la main d’Armand Silvestre, voir son « Poème autobiographique » reproduit dans Joseph Uzanne, Figures contemporaines tirées de l’Album Mariani, Ernest Flammarion, Paris, vol. I, 1894, p. 206. L’ouvrage paru en première édition sous le titre Les Ailes d’or, Poésies nouvelles, 1878-1880, Paris, Charpentier, 1880. Le présent manuscrit offre plusieurs corrections et repentirs, certains poèmes nous apparaissent inédits et ne figurent pas dans le recueil publié. Sylvestre intègre également en fin de volume une pièce de théâtre non publiée : Myzzha (ff. 55-58).

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