Null GENÉTEAUD (Henri). Classe 1909. Souvenir de ma deuxième année de service.
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Description

GENÉTEAUD (Henri). Classe 1909. Souvenir de ma deuxième année de service. En français, manuscrit sur papier France, 1911-1918 [2] ff.-355 pp.-[2] ff. (les pages 328-341 et 344-355 sont blanches), 25 illustrations in-texte à la plume, encre noire et rouge et crayons de couleur. Reliure de percaline verte (reliure usée de l’époque). Le volume débute le « 25 octobre 1911 à 8 h du soir et comptant encore 329 [jours] ». Il s’interrompt « Au bureau de la défense le 19 septembre 1912 à 7 H du soir » … Mais reprend brièvement (ff. 320-327) avec ces deux dates: « Fait le 2 mars 1918 à l’escadrille 481 à Grayan en attendant la classe mais quand ????? » et « Fait le 6 novembre 1918 espérant la fin de la guerre pour cette année ». Généteaud, pour tromper son ennui, recopie des chansons du répertoire de caf’conc et du music-hall de l’époque. Certaines ont fait l’objet d’enregistrements, à l’époque ou plus tardivement, comme « Ma petite bonne » (Mayol) – « On est en République » (Montéhus) — Bonsoir Madame la Lune (Fred Gouin) ou « Aimer c’est pleurer » (Jean Lumière). D’autres rappellent quelques inventions remarquables du début du siècle, par exemple « Dans mon aéroplane » chantée par Georgel, ou « La Formule 606 » chantée par Paul Lack… une formule qui traitait les maladies vénériennes, sans doute fort utile pour un militaire. Les paroles et la musique d’un grand nombre de ces chansons sont difficilement trouvables aujourd’hui et cette anthologie contient de nombreuses pépites qui réjouiront les amateurs de chanson française. Généteaud a illustré son volume de scènes représentant des militaires en goguette en compagnie de jeunes femmes dénudées.

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GENÉTEAUD (Henri). Classe 1909. Souvenir de ma deuxième année de service. En français, manuscrit sur papier France, 1911-1918 [2] ff.-355 pp.-[2] ff. (les pages 328-341 et 344-355 sont blanches), 25 illustrations in-texte à la plume, encre noire et rouge et crayons de couleur. Reliure de percaline verte (reliure usée de l’époque). Le volume débute le « 25 octobre 1911 à 8 h du soir et comptant encore 329 [jours] ». Il s’interrompt « Au bureau de la défense le 19 septembre 1912 à 7 H du soir » … Mais reprend brièvement (ff. 320-327) avec ces deux dates: « Fait le 2 mars 1918 à l’escadrille 481 à Grayan en attendant la classe mais quand ????? » et « Fait le 6 novembre 1918 espérant la fin de la guerre pour cette année ». Généteaud, pour tromper son ennui, recopie des chansons du répertoire de caf’conc et du music-hall de l’époque. Certaines ont fait l’objet d’enregistrements, à l’époque ou plus tardivement, comme « Ma petite bonne » (Mayol) – « On est en République » (Montéhus) — Bonsoir Madame la Lune (Fred Gouin) ou « Aimer c’est pleurer » (Jean Lumière). D’autres rappellent quelques inventions remarquables du début du siècle, par exemple « Dans mon aéroplane » chantée par Georgel, ou « La Formule 606 » chantée par Paul Lack… une formule qui traitait les maladies vénériennes, sans doute fort utile pour un militaire. Les paroles et la musique d’un grand nombre de ces chansons sont difficilement trouvables aujourd’hui et cette anthologie contient de nombreuses pépites qui réjouiront les amateurs de chanson française. Généteaud a illustré son volume de scènes représentant des militaires en goguette en compagnie de jeunes femmes dénudées.

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