Null [YVELINES]. [MANTES]. Antiquités de la Ville de Mantes. 
En français, manus…
Description

[YVELINES]. [MANTES]. Antiquités de la Ville de Mantes.  En français, manuscrit sur papier. France, s. l., [vers 1867].  130 pages à l’encre brune sur papier, gravure de Mérian représentant Mantes et ses fortifications [ca 1650]. Reliure de demi-vélin blanc et plats marbrés, dos lisse. Titre à l’encre rouge sur première page. Ex-libris non identifié au chiffre « PVP ». Dimensions: 265 x 184 mm. Une note en fin de volume précise que « cette copie […] a été faite sur un manuscrit du commencement du XVIIIe siècle appartenant à M. Coqueret, greffier de justice de paix de Limay, au mois de juillet 1867. Cette version est celle d’Aubé ». L’auteur du manuscrit ne cache pas son enthousiasme pour sa petite ville « une des plus belles et accomplies qui soit dans la Province », dont « l’antiquité ne peut être que très grande ». Il en retrace ensuite l’histoire depuis les débuts du christianisme et l’envoi en Gaule de saint Nicaise premier évêque de Rouen qui évangélisa toute la région. Il referme son histoire sur la procession de la Fête-Dieu le 6 juin 1771. Notre érudit a fait d’importantes recherches sur l’histoire de sa ville dont il détaille les embellissements, les événements politiques qui s’y sont déroulés, l’histoire religieuse. Une gravure de Matthaüs Mérian de la ville de Mantes-la-Jolie vers 1650 a été ajoutée en début de volume. L’on peut y voir à gauche l’ancien couvent des Cordeliers, et dans l’enceinte de la ville, la collégiale Notre-Dame ainsi que le château détruit en 1719. Ce manuscrit a comme source primaire un manuscrit de la Bibliothèque nationale (Arsenal, ms n°4094), intitulé Antiquités de la ville de Mantes, dont l’auteur est Jean de Chévremont, curé de Vert à la fin du XVIIe siècle. D’ailleurs, l’auteur reprend ici le titre originel choisi par Jean de Chévremont. À ce premier travail, des additions ont été faites en 1718 par Jean Louis Aubé (1696-1725), greffier de la maréchaussée et de la prévôté de la ville de Mantes (1721) dans son Livre des antiquités de Mantes (Mantes, Bibliothèque municipale, ms. 24).

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[YVELINES]. [MANTES]. Antiquités de la Ville de Mantes.  En français, manuscrit sur papier. France, s. l., [vers 1867].  130 pages à l’encre brune sur papier, gravure de Mérian représentant Mantes et ses fortifications [ca 1650]. Reliure de demi-vélin blanc et plats marbrés, dos lisse. Titre à l’encre rouge sur première page. Ex-libris non identifié au chiffre « PVP ». Dimensions: 265 x 184 mm. Une note en fin de volume précise que « cette copie […] a été faite sur un manuscrit du commencement du XVIIIe siècle appartenant à M. Coqueret, greffier de justice de paix de Limay, au mois de juillet 1867. Cette version est celle d’Aubé ». L’auteur du manuscrit ne cache pas son enthousiasme pour sa petite ville « une des plus belles et accomplies qui soit dans la Province », dont « l’antiquité ne peut être que très grande ». Il en retrace ensuite l’histoire depuis les débuts du christianisme et l’envoi en Gaule de saint Nicaise premier évêque de Rouen qui évangélisa toute la région. Il referme son histoire sur la procession de la Fête-Dieu le 6 juin 1771. Notre érudit a fait d’importantes recherches sur l’histoire de sa ville dont il détaille les embellissements, les événements politiques qui s’y sont déroulés, l’histoire religieuse. Une gravure de Matthaüs Mérian de la ville de Mantes-la-Jolie vers 1650 a été ajoutée en début de volume. L’on peut y voir à gauche l’ancien couvent des Cordeliers, et dans l’enceinte de la ville, la collégiale Notre-Dame ainsi que le château détruit en 1719. Ce manuscrit a comme source primaire un manuscrit de la Bibliothèque nationale (Arsenal, ms n°4094), intitulé Antiquités de la ville de Mantes, dont l’auteur est Jean de Chévremont, curé de Vert à la fin du XVIIe siècle. D’ailleurs, l’auteur reprend ici le titre originel choisi par Jean de Chévremont. À ce premier travail, des additions ont été faites en 1718 par Jean Louis Aubé (1696-1725), greffier de la maréchaussée et de la prévôté de la ville de Mantes (1721) dans son Livre des antiquités de Mantes (Mantes, Bibliothèque municipale, ms. 24).

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